Ton corps vaste étendue de sable
Sur lequel je me promène à l’infini
Où chaque empreinte de ma chair
Au contact de ta voluptueuse chair
Ressemble à la belle mousse éteinte
De cette vague d’océan Atlantique
Brin de fraîcheur de ton océan corporel
Je courre derrière le ressac des vagues maritimes
Comme sur le talon de tes pas
Je tombe à la limite de l’eau
Où je rattrape ta jambe charnue
Sur laquelle je dépose la mienne au bord de l’eau
Dans une étreinte d’une belle partie d’amour
Qui se prolonge au fond de l’eau
Comme si nous étions des poissons marins
Loin des turbulences terrestres
Pour le bonheur intime de notre amitié
Bernard NKOUNKOU
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décembre 31, 2010 à 7:38 |
Je lis toujours avec intérêt tes magnifiques poêmes. Je me tiens au courant de la situation en Côte d’Ivoire et je prie que la situation se règle amicalement car lorsque l’on pense à ces familles qui fuient, ceux qui vivent dans la crainte et le deuil de ceux qui ont perdu des personnes chères… je ne peux même pas commencer à imaginer la situation… c’est triste.
Sur ce je te souhaite, à ta famille, tes amis une Bonne et heureuse année, bonne santé et que tes voeux les plus chers se réalisent en 2011.
Amicalement
Paul
décembre 31, 2010 à 8:54 |
Merci mon Cher Paul pour ton assiduité à ma poésie ainsi qu’à ta sensibilité sur cette triste situation de la Côte d’Ivoire. J’ai accueilli avec une grande joie amicale tes Vœux de Nouvel An dans un élan de cordialité exceptionnelle.