Mes yeux baignaient dans l’océan du ciel azur,
consolaient et caressaient des vagues de nuages
qui pleuraient en larmes humides, mûres et sages
Dans la joie de ce beau voyage de la détente,
mon regard assis sur la cime verte des arbres,
nourrissait le destin du rossignol au cou glabre
Adossé contre la chaise, les pieds à l’orient
de mes orteils buvaient la lumière jaune du
soleil qui attérissait sur ma poitrine nue.
Bernard NKOUNKOU
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