Mon regard béni sur ton dos nu
Refuse de voir ton ventre poilu
Quand au bord secret de tes seins
Se dessine la couleur de tes reins
Tu me provoques depuis le salon
Après mille tours dans la maison
Quand tu fais tomber ta belle robe
Dans la beauté nubile de tes courbes
Fumant au collet un chaleureux baiser
Au bout pulpeux de tes lèvres braisées
Je me délecte de la crême de ta langue
Comme le suc vital d’une belle mangue.
Bernard NKOUNKOU
Votre commentaire