Trône encore sur le lit arrangé
Ma belle sculpture allongée
Avec tes cuisses aimantées
De ta poitrine verte et luxuriante
Surplombent deux montagnes saintes
Souriante est ta plaine abondante
De viande sans os et croustillante
Exubérantes tes parties affriolantes.
Bernard NKOUNKOU
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Étiquettes : Poitrine, sculpture
This entry was posted on avril 6, 2012 at 1:20 and is filed under Culture, Littérature, Poésie. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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