Quand la bétise humaine engendre la catastrophe, l’horreur germe dans l’histoire
Au cœur mortel de l’horreur
repose l’ombre du malheur
car chaque débris ensanglanté
porte la marque du soldat éclaté
Sous le sable mouvant innocent
gémissent encore des esprits en sang
emportés par la puissance de la détonation
entre mutation du réveil et sommeil d’inattention
Quand la poussière avait maintenant fait son lit
la fumée au corps noir montait au ciel sans répit
les yeux dans l’impuissance de la catastrophe
larmoyaient hébétés devant la bêtise sans étoffe.
Bernard NKOUNKOU
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