« Menacer WikiLeaks, c’est menacer la société dans son ensemble », a déclaré Julian Assange sur le balcon de l’ambasse de l’Equateur de Londres. « S’il y a unité dans la répression, alors il doit y avoir de l’unité en retour pour la combattre ».
Le fondateur de l’organisation s’exprimait depuis l’ambassade de l’Equateur où il a trouvé refuge depuis deux mois. Quito a accordé mercredi à Julian Assange l’asile politique, mais l’homme ne peut pas sortir du bâtiment sans se faire arrêter par les forces de police britannique. « Si ces dernières n’ont pas tenté d’entrer en effraction dans l’ambassade, c’est parce que le monde entier a les yeux braqués sur eux », a estimé le fondateur de WikiLeaks.
Assange a parlé pendant une dizaine de minutes, juste au-dessus de la tête des policiers britanniques qui veulent l’arrêter, avant de rentrer dans l’ambassade sans être inquiété.
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