Les mains de la nuit

  

Les mains de la nuit sur les hanches

Ont esquinté les reins le dimanche

Au réveil le corps était tout endolori

Je n’arrivais plus à écouter mon colibri

 

Quand sonnait le téléphone au salon

Je ne pouvais bien marcher sans talons

La souffrance m’empêchait de le décrocher

Le temps de la sonnerie était déjà passé

 

Pensant à cette soirée de gladiateurs

J’aimerais bien y revenir en boxeur

Pour mieux supporter les coups partout

Comme un lieutenant vraiment debout.

 

Bernard NKOUNKOU

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