Dans nos cœurs résonnent ses pas
L’écho douloureux de sa voix
Pleure en nous chaque fois
Que le cœur bouleversé dit
Affolé : il s’en est allé pardi
Au pays où chaque destin
Ne peut effacer le chagrin
Qui silencieusement lamine
Les âmes des vivants et chemine
Comme les eaux fraîches du printemps
Dans nos veines en trébuchant
Sous les ailes lumineuses du souvenir
À la recherche du retentissant rire
Venu de Sabaneta des années auparavant
Et à Caracas pour l’éternité s’endormant
Nous disons simplement:
Adios Comandante
Adios Comandante !
Marie-Léontine Tsibinda
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