Un patron de boîte de nuit qui avait lancé une invitation à Nabilla, chantre du « Allô quoi ! », à l’occasion de la 37e édition du Printemps de Bourges, se serait vu opposer une fin de non-recevoir par la préfecture de la ville. Il dénonce cette décision sur son blog.
« La préfecture de Bourges m’interdit de la faire venir en boîte de nuit ! » explique ainsi le directeur artistique du Q Discothèque et du Jeremstar Café dans un billet posté le 22 avril. Celui qui voulait profiter du buzz Nabilla est dépité et peine à comprendre le choix de la municipalité. Alors que la présence de la star des « Anges de la téléréalité 5 » lui aurait garanti une soirée exceptionnelle, il fait part de son désarroi. Selon le papillon nocturne, « la préfecture assure ne pas pouvoir gérer la sécurité » et « les débordements » éventuels provoqués par la vedette. Elle prétend « qu’il est trop dangereux pour Nabilla de venir au moment du festival ».
« Nabilla, aussi compliquée que Madonna«
La pin-up 2.0 serait-elle devenue trop « bankable » ? Ou « aussi compliquée que Madonna », pour citer le salarié déçu. Il est vrai que lors de son passage au « Grand Journal » de Canal + début avril, elle avait déclaré crouler sous les propositions, tandis que son passage chez Michel Denisot a dû encore affoler les marques.
Le patron de la programmation du Jeremstar peut toujours se rassurer en pensant aux récents « lapins » de la jeune femme. Celle-ci a en effet pris la mauvaise habitude, depuis son interview chez Michel Denisot, de ne pas honorer ses rendez-vous. Une manie qui coûte cher aux propriétaires de discothèques.
Le Point.fr
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