Hier encore collègues de classe,
ils s’estimaient,
devenus amis dans la cour de l’école,
ils s’admiraient,
ayant allumé la flamme de l’amour –
l’on ne sait par qui ? –
ils flirtaient,
dans le jardin du quartier
comme d’heureux amoureux entiers,
prêts à convoler, en justes noces,
comme à une partie de chasse,
jusqu’à devenir de doux époux.
Joyeux comme un fécond troupeau,
ils donnèrent de beaux agneaux,
avec leurs ailes de tourtereaux,
ils s’embrassaient dans la beauté de leur peau.
Élevés chacun dans le giron paternel,
maternel, familial et national,
ils se livraient, à cœur joie, dans l’apprentissage,
du vol initial et nuptial dans le champs de la liberté,
à la découverte de l’âme sœur à l’heure du bonheur.
Savourant la douceur de l’affection,
avec de joyeuses caresses pleines de lotion,
ils s’entouraient de tendresse dans leur forteresse,
comme des colombes de l’amour,
roucoulant au milieu de la cour,
dans la maturité et l’effectivité du bel âge,
au bord du rivage d’un bon mariage,
durant lequel ils partagèrent leur belle image.
Bernard NKOUNKOU
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juillet 18, 2013 à 8:56 |
La joie luit et fleurit sur le visage le jour du mariage quand les mariés sont aux anges