Au crépuscule de l’été
ton corps dans la nuit dorée
approche la chambre de mes baisers.
Au carrefour de nos étreintes enlacées
tes soupirs enchantés aux élans endiablés
traversent les parois des murs ébranlés.
Dans le tangage de ton corps étendu
tes beaux seins de déesse Bahia nue
dégustent la pointe de ma banane dévêtue.
Bernard NKOUNKOU
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