Sous les feuilles mortes du cimetière
Nos corps reposent sous les pierres
Quand nos âmes le jour regardent le soleil
La nuit elles admirent les étoiles vermeilles
Chacun de nous dans ce monde du silence
A sa belle référence devant sa résidence
Que nos yeux éteints ne peuvent plus lire
Pour avoir perdu le sens de la lumière
Au fond de la tombe habillés sous terre
Quand les racines avec leur substance amère
Nous côtoient avec leurs pointes végétales
Nous sommes la proie des termites sans ailes.
Bernard NKOUNKOU
Étiquettes : le soleil
octobre 30, 2013 à 11:43 |
bel écrit Bernard 🙂
octobre 30, 2013 à 11:52 |
Merci Gys !