Au seuil butoir de la prison
Cesse la liberté de la maison
Qui doit affronter la sévérité
Dans l’ambiance de la brutalité
Devant les paroles souvent rigides
Le corps bien molesté devient frigide
A la moindre action de résistance
La peau se déchire de violence
Le respect disparaît devant les geôliers
Une fois vêtu de votre tenue de prisonnier
Votre matricule est une référence identifiable
Dans l’enclos inconfortable de l’univers carcéral.
Bernard NKOUNKOU
Étiquettes : la liberté de la maison, Prison, seuil butoir
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