A bout, Valé­rie Trier­wei­ler se dit « traquée », « dévi­sa­gée » et moquée

Valé­rie Trier­wei­ler

Valé­rie Trier­wei­ler

« J’en ai marre »

Après avoir mis une claque à un inconnu qui lui deman­dait des nouvelles de son ex-compa­gnon, François Hollande, Valé­rie Trier­wei­ler a fait part de son désar­roi à des proches.

La semaine dernière, notre ex-première dame Valé­rie Trier­wei­ler giflait un homme dans un bar du XVème arron­dis­se­ment de Paris, suite à une remarque dépla­cée. Moha­med Rizki, la victime, candi­dat UMP aux dernières muni­ci­pales de Compiègne, racon­tait son alter­ca­tion avec l’au­teure de Merci pour ce moment dans les colonnes du Pari­sien : « J’étais atta­­blé à une terrasse de café avec un ami dans le XVe arron­­dis­­se­­ment, raconte-t-il. Il était aux alen­­tours de 14h30. J’ai vu arri­­ver Mme Valé­rie Trier­­wei­­ler vers nous. Je lui ai simple­­ment demandé : “Comment va François ?” […] Elle est venue vers nous en répé­­tant de manière très agres­­sive : “Excu­­sez-vous ! Excu­­sez-vous ! Excu­­sez-vous !” Elle était très, très hysté­­rique. Et là, elle m’a giflé avant de tour­­ner les talons. »

Après avoir hésité, Moha­med Rizki finis­sait par porter plainte. Son avocat, Me Emma­nuel Marsi­gny, allait plus loin en récla­mant une exper­tise psychia­trique de l’ex-compagne de notre président de la Répu­blique : « Au regard de la réac­­tion tota­­le­­ment dispro­­por­­tion­­née de Mme Trier­­wei­­ler et compte tenu d’autres faits de violences récents [elle s’en serait violem­­ment pris, au mois d’oc­­tobre 2014, à l’ex-femme du ministre Michel Sapin, ndlr], nous sommes en droit de nous inter­­­ro­­ger sur son état de santé psychia­­trique et son état de dange­­ro­­sité a précisé l’avo­cat. C’est un compor­­te­­ment qui relève, peut-être, d’une patho­­lo­­gie psychia­­trique. Et comme la justice nous permet de le faire dans les dossiers de cette nature, nous allons donc deman­­der une exper­­tise psychia­­trique de Mme Trier­­wei­­ler. »
Du côté de Valé­rie Trier­wei­ler, rien n’avait trans­piré si ce n’est un tweet que la jour­na­liste de Paris Match avait publié quelques heures après l’al­ter­ca­tion :

Nos confrères du Canard Enchainé on révélé, dans leur édition d’hier, ce qu’a­vait dit Valé­rie Trier­wei­ler à « quelques proches » au sortir de l’évé­ne­ment : « J’en ai marre ! Je suis traquée partout où je vais. On me harcèle, on me dévi­sage en rigo­lant… » A bout, la jour­na­liste a ajouté « C’est vrai­ment injuste. Moi, je ne demande qu’à vivre tranquille­ment, comme n’im­porte quelle Française. » Une femme normale en somme…

Voici.fr par Anthony Martin

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