N’Djamena – Le procureur de la République tchadienne a requis jeudi six mois de prison ferme contre cinq leaders de la société civile et reporté la suite du procès au 14 avril, alors que la police a violemment dispersé leurs sympathisants.
Le parquet a requis six mois de prison ferme, il s’agit d’une décision purement politique qui vient de l’exécutif, a déclaré à l’AFP l’un de leurs avocats, Frédéric Nanadjingue au terme d’une audience de deux heures interdite à la presse.
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avril 7, 2016 à 9:00 |
Il le faut
avril 7, 2016 à 9:18 |
La liberté d’expression, d’association et de mouvement n’a pas droit de cité dans les démocraties africaines au lieu chaque fois de bâillonner les citoyens, surtout lorsqu’on dirige l’Union Africaine?
On doit être exemplaire au lieu de faire semblant de bon dirigeant, dont l’estime des pairs n’est que pure illusion sinon façade de comportement alors que tout ne va à merveille chez soi.
On est pas trop loin des dictateurs qui sont épinglés…
avril 7, 2016 à 9:20
Oui, c’est certain