Autour du plat chaud de l’amour
Nos becs d’oiseaux réveillent le jour
Quand tes yeux épient mon corps étendu
Tu te délectes de moi comme de la fondue
Sous la couette au chant des corneilles
Doucement je te tiens par les ailes
Quand tu ouvres l’arrière de tes plumes
Je m’introduis par la fenêtre qui se referme
Car dans le royaume et les méandres du plaisir
La délectation savoureuse du croquant désir
Est une volonté divine de la fusion des corps
Devant se passer dans la merveille soudure du Centaure.
Bernard NKOUNKOU
octobre 28, 2016 à 1:00 |
L’auteur a beaucoup de talent
octobre 28, 2016 à 2:50 |
Merci, Claire !
octobre 28, 2016 à 3:24
☺☺☺☺☺☺
octobre 28, 2016 à 1:26 |
Chaud, sensuel et très bien écrit. J’adore 🙂
octobre 28, 2016 à 2:52 |
Merci, Gys !
Je regardais les corneilles entrain de picorer au balcon et puis j’ai été inspiré pour la suite poétique.