Je regardais encore sa photo
De ce cher collègue et bon ami
Avec qui je partageais le gâteau
À l’université et même chez lui
Je ne savais pas qu’il était mort
Dans ce pays où l’on tue à tort
Les bons cadres travaillant avec équité
Sacrifiant leur vie pour la liberté
Pensant à lui durant mon sommeil
Je le revoyais avec son sourire vermeil
Jovial et candide comme un beau bébé
Agneau innocent de procureur en majesté.
Bernard NKOUNKOU
http://donewithjob.com/? ref=38832
Étiquettes : Collègue, Gâteau, Liberté, Photo, Procureur, Université
février 24, 2017 à 8:44 |
Tristesse que tous ces mots
Très bien écrit dans le respect et la dignité
février 24, 2017 à 10:06 |
J’étais surpris et ému de l’apprendre quand j’ai vu sa photo.
février 24, 2017 à 11:21
j’imagine
février 24, 2017 à 5:55 |
Poème triste mais rempli d’émotion
février 24, 2017 à 6:10 |
J’ai eu de la peine en découvrant cette information avec sa photo.
février 24, 2017 à 6:17
Tu m’étonnes
février 24, 2017 à 8:20
Ah bon !
février 25, 2017 à 11:17
Je souhaite mes sincères condoléances