Qui veut assassiner Okombi Salissa, sort réservé à Ntsourou ? Le pouvoir a commencé par acheter (presque tous) ses proches collaborateurs, avant de mettre le feu à sa cellule, à la DGSE. Heureusement que ce n’était pas son jour. Okombi doit se souvenir de ce qu’on lui disait à Paris… Le dictateur veut aller vite dans sa salle besogne parce qu’il a peur. De plus en plus. Et ce n’est pas l’élection de Trump qui l’a sécurisé. Au contraire.
La fièvre brazzavilloise a, déjà, atteint JDO (Jean Dominique Okemba), « Demi-Dieu » (notre photo). Maintenant, sa toute puissance d’antan devient toute relative.
Avant, il résidait à Talangaï. Mais, contre toute attente, il a déserté son domicile pour établir ses quartiers derrière l’ambassade des Etats-Unis. Mais savait-il de quel bois Trump se chauffe ? Toujours est-il que, contre toute attente, une deuxième fois, il regagné Talangaï qu’il avait fui auparavant. Les va et vient de « Demi-Dieu » alimentent les conversations, même à Mpila.
S’il est visible toute la journée à Mpila, la nuit, à Talangaï, ne sait-on jamais, il est là sans y être vraiment. Où est-il donc ?
Contrairement à ce qu’il fait montre, le dictateur chancelle. Dangereusement. Lui et les siens. Alors qu’il a solidement (hermétiquement) gagné la présidentielle de mars 2016, il n’a, jamais, reçu la reconnaissance de la communauté internationale (Maison Blanche, Union européenne, Quai d’Orsay, etc.) où il est officiellement reconnu comme étant Monsieur Denis Sassou Nguesso, et non comme Monsieur le Président de la République du Congo. Une nuance de taille !
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