Devant le tombeau du Bienheureux Fréderic
Mes pensées tournées vers ton sourire sympathique
Revivaient encore la chaleur de nos discussions
Autour d’un café avec du lait et des collations
Brutalement réveillé par la triste nouvelle
De ta disparition, je me brûlais les ailes
Par le foudroiement mortel de ton départ
Qui n’a pas attendu ton âge sur le tard
Abattu comme un arbre tombant sans relève
Je vivais ce moment d’adieu comme un rêve
Sans un moment d’assistance dans l’endurance
De ta souffrance vécue loin de toute ingérence.
Bernard NKOUNKOU
Étiquettes : Adieu, Disparition, Pensées, Rêve
octobre 5, 2017 à 11:19 |
Magnifique poème
octobre 5, 2017 à 11:42 |
Merci !
octobre 5, 2017 à 12:37
🙂