C’était ton choix de me suivre
Dans la ville où l’on voulait vivre
D’heureux moments sous le toit
Pour goûter à tous nos bons fruits
Mais un jour par une crise d’hystérie
Tu décidais de me quitter sans raison
Prenant ta valise pour t’éloigner de moi
Car tu avais trouvé un bougre de chenapan
Depuis lors tu n’avais jamais appelé
Pour des motifs inconnus et inavoués
Même pas pour m’annoncer tes maternités
Je devenais comme un sale pestiféré
Soudain, un matin frais de septembre
Le téléphone sonnait dans ma chambre
Que tu venais de quitter notre monde
Stupéfait, ton information faisait la ronde.
Bernard NKOUNKOU
octobre 10, 2017 à 6:38 |
Tristesse, incompréhension, dans ces mots. Bien écrit j’aime beaucoup