L’un des plus grands voleurs du Congo est entrain de tenter de retirer de la Jyske Bank et RBS bank de Gilbratar une somme de 100 millions d’euros. La justice espagnole qui a ouvert une enquête sur les avoirs des dirigeants africains, surveille de près ces mouvements.
Le manque de professionnalisme des voleurs africains, ajouté à leur idiotie les pousse toujours vers la nullité. Ce qu’ils volent en Afrique, ils viennent le cacher en Europe, alors les voleurs européens ne le font jamais.
Ayant pillé à volonté et sauvagement le trésor public congolais, Jean jacques Bouya a placé ses avoirs dans plusieurs paradis fiscaux dont Gilbratar, au large de l’Espagne. La relation étroite en matière de la lutte contre la criminalité entre Gilbratar et l’Espagne a permis aux juges espagnoles de tracer les avoirs mal acquis des dirigeants africains et narcos sud-américains.
Conscients de cette situation, les banques pourtant offshore posent des conditions impossibles à leurs clients qui tentent de retirer leurs avoirs. Même les chinois tergiversent avec les voleurs congolais.
Sous la menace d’arrestation depuis que le FMI campe sur ses positions au Congo, Jean Jacques Bouya s’est lancé dans une course à la montre pour apaiser le cœur de son oncle Denis Sassou Nguesso, pour rapatrier ses avoirs et les mettre au service du clan.
Si les banques offshore de Gibraltar ont fuité l’information à la justice espagnole, c’est tout simplement parce qu’elles sont animées de mauvaise foi et n’entendent en aucun cas servir leur client Jean jacques Bouya. On se retrouve dans la situation du voleur volé.
Sacer-infos.com par Stany Franck
Étiquettes : Banque, ESPAGNE, Gilbratar, Jean Jacques Bouya, Jyske Bank et RBS bank, Retrait
Votre commentaire