
Bien que sa consommation ait chuté, chaque année plusieurs chats (ki wayi) en langue bembé, sont mangés dans la Bouenza.
Il est vrai qu’au Congo-Brazzaville, la loi reste muette sur cette pratique alimentaire, il va s’en dire que celle-ci met tout de même à mal les us sociaux, car le chat est considéré par tous comme un animal de compagnie.
Il est peut-être temps que les autorités se penchent sur la question, même si certains jeunes justifient leurs pratiques par la situation de crise qui sévit dans le pays.
Jack MAÏSSA / Les Echos du Congo Brazzaville
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