A la dernière heure de ton destin
Quand le souffle vital de ta fin
Annonça la mort de ta personne
Des sanglots déchirèrent les montagnes
Devant la présence de ta chère fille
Quand on te ferma les yeux en éveil
Les pleurs solidaires de ses amies
L’accompagnaient à la ronde sur ton lit
Aux premières minutes de la triste nouvelle
Lorsque les réseaux se mirent en branle
Ta disparition portée à dos du vent
Traversa les cieux mais aussi les océans
Ô mon cher ami, ô mon cher papa
Tu es parti dans la beauté de ton visage
Au pays sans retour du paradis sans âge
Où un jour tu nous accueilleras dans tes bras
Bernard NKOUNKOU
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