Pour ta plume et ta liberté
Tu as été froidement assassiné
Pour ton devoir d’informer
Tu as été une cible à museler
Ô monde des tenants des armes
Quand allez-vous respecter l’âme
De tous ceux qui exercent ce métier
Pour le bonheur de leur communauté
Car depuis l’hémisphère de ma résidence
Où je médite instamment sur cet acte crapuleux
Je condamne l’odieuse oppression contre la presse
Pour rendre les journalistes plus libre et heureux
Bernard NKOUNKOU
Étiquettes : Assassinat, Journaliste, Liberté, Opinions, Presse
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