Après avoir provoqué un grave accident samedi à Paris alors qu’il conduisait sous l’emprise de l’alcool, le fils aîné d’Éric Zemmour a été mis en examen.
Hugo Zemmour, le fils aîné d’Éric Zemmour, a été mis en examen, ce lundi 8 mai, pour blessures involontaires ayant entraîné une incapacité totale de travail (ITT) inférieure ou égale à trois mois, avec deux circonstances aggravantes : son alcoolémie positive, et la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité. Il est soupçonné d’avoir provoqué, alors qu’il avait consommé de l’alcool, un accident de la circulation qui a sérieusement blessé deux personnes dans le 6e arrondissement de Paris, selon des informations du Parisien confirmées par le parquet de Paris.
Selon les déclarations du parquet au quotidien, il sera poursuivi pour « blessures involontaires ayant entraîné une incapacité totale de travail (ITT) supérieure à trois mois, aggravées par l’alcoolémie et la violation manifeste d’une obligation de prudence ou de sécurité », mais aussi pour « transport d’arme de catégorie D ». Un couteau aurait été retrouvé dans son véhicule.
Alcoolisé lors de l’accident
Les faits se sont déroulés à 7 heures, samedi 6 mai. Au volant de sa voiture, Hugo Zemmour aurait refusé la priorité à un scooter. Le conducteur du deux-roues et sa passagère ont été hospitalisés pour des blessures aux jambes. Après différents dépistages, Hugo Zemmour avait été placé en garde à vue. Alors qu’un taux de 1,6 g par litre de sang (soit trois fois plus que la limite autorisée) a été mesuré, il a demandé une contre-analyse sanguine.
Après l’accident, le maire LR du 6e arrondissement, Jean-Pierre Lecoq, a posté une photo des lieux, à l’angle de la rue de Vaugirard et la rue Cassette, sur Twitter en remerciant la police municipale et les services de la propreté de la Ville pour être « intervenus après cet accident spectaculaire ».
L’enfant a échappé au contrôle des adultes et « a eu accès à un pistolet semi-automatique chargé », dans la banlieue de Houston, au Texas.
Drame aux États-Unis. Une fillette de 3 ans a accidentellement tué dimanche au Texas, avec un pistolet semi-automatique, sa sœur âgée d’un an de plus, a indiqué la police américaine, dernier exemple en date des conséquences tragiques de la dissémination des armes à feu aux États-Unis.
L’enfant de 3 ans a échappé au contrôle des adultes et « a eu accès à un pistolet semi-automatique, chargé. Les membres de la famille ont entendu un coup de feu. Ils se sont précipités dans la pièce et ont trouvé la fillette de 4 ans, sur le sol, inerte », a indiqué à la presse le shérif du comté de Harris, dans la banlieue de Houston, Ed Gonzalez.
Le décès de la jeune victime a été constaté sur place.
Plus d’armes que d’habitants
« Il semble s’agir d’une nouvelle histoire tragique où un enfant a eu accès à une arme à feu et a touché quelqu’un d’autre », a ajouté le chef policier. Les États-Unis comptent davantage d’armes individuelles que d’habitants, soit environ 400 millions : un adulte sur trois possède au moins une arme et près d’un adulte sur deux vit dans un foyer où se trouve une arme.
Plus de 44 000 décès par arme à feu ont été enregistrés aux États-Unis l’an dernier, dont la moitié par suicide et l’autre moitié concernant des meurtres, des accidents ou des cas d’autodéfense, selon le site Gun Violence Archive. Et le Texas, immense État de 30 millions d’habitants, est aussi l’un de ceux où il est le plus facile de se procurer une arme.
Le port d’armes y est autorisé sans restriction, au nom du deuxième amendement de la Constitution américaine.
Christian M se demande en cas de décès si sa famille l’aurait accompagné dans sa tombe ? Comment les gens peuvent s’ingérer autant des problèmes dont ils n’ont pas souffert ! Depuis que sa famille a su que l’assurance l’a payé la somme de 5 millions cfa comme dédommagement de son accident de circulation, il est victime des menaces mystiques l’ayant poussé à embrasser la prière. Il ne veut pas céder au chantage de sa famille.
Il y a un an, Christian M a été percuté par un véhicule dont le chauffeur a perdu le contrôle et qui est sorti de la chaussée. Avec une épaule brisée, une oreille déchirée, Christian M a été déclaré invalide pour le reste de sa vie.
Conscient de sa faute, le chauffeur du véhicule n’a pas pris la fuite et a assisté sa victime jusqu’à sa sortie d’hôpital. Pendant trois semaines, les médecins de l’hôpital militaire de Brazzaville ont limité les dégâts sur l’épaule de Christian M. Lui qui exerçait dans la maçonnerie ne pouvait plus rien faire.
Aidé par son bourreau dans les démarches bureautiques, Christian M a été dédommagé par les assurances avec un montant de 5 millions cfa. C’est à ce moment que sa famille qui l’a abandonné lors de son hospitalisation et post hospitalisation.
Sans honte bue, la famille a tenu une réunion pour ne traiter que de cette affaire et Christian M leur a rappelé leur abandon. Pour lui, il n’était pas question qu’il partage cet argent avec eux, bien au contraire, dans son état, c’est la famille qui devrait lui venir en aide au lieu de chercher à le dépouiller davantage.
Une refus que la famille n’a pas apprécié, promettant des représailles contre Christian M s’il ne changeait pas d’avis. Ce dernier s’est jeté totalement dans la prière et a demandé au pasteur de protéger divinement son argent qu’il comptait investir dans un projet lucratif.
Sur la route nationale 2 peu après Makoua à destination de la Sangha, six hommes d’un village n’ont plus d’érection et la cause serait selon plusieurs féticheurs deux accidentés qu’ils ont dépouillé au lieu de secourir. Deux hommes en provenance de Ouesso, à bord d’un véhicule qui a fait une sortie de route peu avant Makoua n’ont dû leur salut que grâce à un bus de voyageurs qui s’est arrêté pour les porter secours. Dans leur détresse, ils ont été dépouillé de leurs biens par six villageois, lesquels souffrent aujourd’hui d’un problème d’érection.
C’est la mode au Congo où les anti valeurs semblent prendre place chez les humains. Ils n’hésitent plus à dépouiller les personnes victimes d’un accident de circulation sur les routes congolaises. On voit souvent comment les riverains se jettent sur les produits que transportent des véhicules accidentés. Au lieu de porter secours au chauffeur, on vole les casiers de bière ou d’autres marchandises.
Un véhicule en provenance de Ouesso et à destination de Gamboma avec à son bord deux personnes, a été victime d’un accident après avoir percuté violemment un animal. Les deux occupants se sont retrouvés coincés dans le véhicule appelant à l’aide. Six villageois se sont précipités sur le lieu de l’accident et au lieu de porter secours aux victimes, ils les ont dépouillé de tous leurs biens. C’est un bus qui s’est arrêté pour les secourir.
Depuis, ces six villageois éprouvent des difficultés à avoir une érection et tous les féticheurs, guérisseurs consultés leurs demandent d’aller s’excuser auprès de leurs victimes qui vivent à Gamboma.
DRAME. Cet accident, qui a fait 20 morts et des dizaines de blessés, intervient alors que l’État a annoncé des mesures pour renforcer la sécurité routière.
Une semaine après le terrible accident qui a fait 42 morts à Kaffrine (Centre-Ouest), un nouvel accident tragique s’est produit ce 16 janvier à Sakal, dans la région de Louga, dans le nord du Sénégal. Cette fois-ci, une collision entre un car et un camion a fait des morts. « Encore un autre accident mortel sur nos routes à l’entrée de Ngeun Sarr. Dix-neuf vies humaines perdues », a tweeté le président Macky Sall, avant que le gouvernement ne révise le bilan à la hausse pour le porter à 20 morts et 24 blessés, dont 19 graves.
L’insécurité routière, un fléau
Un témoin interrogé par la radio privée RFM a rapporté que le car avait fait un écart pour éviter un âne, un de ces animaux nombreux à divaguer sur ou au bord des routes au Sénégal. Le choc est survenu près de la localité de Sakal (Nord), dans la région de Louga.
Le 8 janvier, c’est l’éclatement d’un pneu, selon l’enquête, qui avait provoqué le téléscopage de deux bus dans le centre du pays. Quarante-deux personnes étaient mortes, selon un nouveau bilan.
Ces accidents remettent en lumière les maux de la route bien connus au Sénégal comme dans de nombreux pays d’Afrique : vétusté et aménagement dangereux des véhicules, conduite inconsidérée, ou encore corruption répandue des agents chargés de faire respecter les lois ou passer le permis de conduire.
Le drame du 8 janvier, l’un des plus meurtriers au Sénégal ces dernières années, a suscité un flot de critiques contre les autorités pour leur incapacité à faire respecter les règles de conduite, mais aussi la réglementation sur l’état des véhicules.
Le gouvernement a annoncé dans la foulée une vingtaine de mesures. Nombre d’entre elles sont décriées comme étant inapplicables par les professionnels du transport, les principaux concernés. Le chef de l’État en a réaffirmé la nécessité sur Twitter. L’accident de lundi « met en évidence la nécessité de renforcer les mesures de sécurité routière », a-t-il dit.
Bras de fer entre l’État et les transporteurs
Nombre de professionnels ont jugé les mesures en déphasage avec les réalités économiques ou les modes de vie, par exemple l’interdiction faite aux bus et minibus de circuler la nuit, ou l’interdiction d’importer des pneus usagés.
Les bus convoyant des passagers aussi bien que des marchandises sont un moyen de transport essentiel entre localités, faute d’autres solutions. Les bus sont communément transformés pour accroître leur capacité et équipés de porte-bagages de toit souvent surchargés au point de menacer la tenue de route.
Non seulement les passagers emportent volontiers des effets volumineux, mais les porte-bagages sont une source de revenus supplémentaires pour les transporteurs.
Une partie des syndicats de transport a annoncé une grève illimitée à partir de mardi pour protester. « Régulation du secteur : l’État dans un gros bouchon », titrait lundi en première page le journal Le Quotidien. Les autorités ont vite fait marche arrière sur l’interdiction d’équiper les cars de porte-bagages et ont accordé un délai d’un an.
Le gouvernement aurait fait d’autres concessions. Une organisation syndicale a refusé de faire grève après avoir obtenu la révision de différentes mesures annoncées, par exemple sur l’âge maximum des véhicules autorisés à rouler, lors d’une rencontre au ministère la semaine passée, a dit un responsable cité dans la presse.
Autre motif de confrontation entre le gouvernement et les transporteurs, dans un contexte inflationniste : les prix. Des exploitants de minibus viennent d’annoncer une hausse de leurs tarifs dans la région de Dakar, arguant de la baisse récente par l’État des subventions aux carburants et de l’augmentation de 100 francs CFA (15 centimes d’euros) des prix du gazole et du super.
Le gouvernement a refusé cette augmentation qui serait illégale selon lui, faute d’avoir été validée par les autorités. Les accidents de la route tuent officiellement 700 personnes chaque année au Sénégal, pays de plus de 17 millions d’habitants. Le Sénégal accusait en 2019 une mortalité sur les routes de 24 pour 100 000 habitants, et l’Afrique subsaharienne de 27 pour 100 000, pour un taux de 6 pour 100 000 dans l’Union européenne et de 2 en Suisse, selon la Banque mondiale.
Le président sénégalais a annoncé un deuil national de trois jours et des mesures immédiates pour améliorer la sécurité routière, après la collision de deux bus qui a fait trente-neuf morts et une centaine de blessés.
C’est l’accident le plus meurtrier de ces dernières années au Sénégal. Une collision entre deux bus a eu lieu autour de 3 heures locales (et GMT) dans la nuit de samedi à dimanche à Sikilo, près de la ville de Kaffrine, à environ 250 km au sud-est de Dakar. Selon les sapeurs-pompiers et les autorités locales, 39 personnes ont été tuées et une centaine blessées. Un drame qui a conduit le président Macky Sall à décréter un deuil national de trois jours et à annoncer des mesures immédiates pour améliorer la sécurité routière.
Le gouvernement a précisé que 53 personnes avaient été hospitalisées et 42 blessés plus légers traités dans des centres de santé locaux. « Les deux bus auraient contenu 139 voyageurs au moment de l’accident », a souligné le gouvernement dans un communiqué. Dix des blessés sont en « urgence vitale », a précisé le président Macky Sall après s’être rendu au chevet des blessés, à l’hôpital de Kaffrine, en compagnie de son Premier ministre, Amadou Ba. « Plus de 20 corps ont déjà été identifiés et bientôt pourront être remis à leur famille », a-t-il ajouté.
Le chef de l’État a promis des mesures rapides pour éviter la réédition d’une nouvelle « tragédie » de ce genre. « On ne peut pas exposer la vie de nos compatriotes dans un système de transport qui fait fi du respect de la vie humaine », a affirmé Macky Sall. Dès ce lundi, le Premier ministre devait réunir un conseil interministériel pour prendre des mesures portant sur l’état des véhicules, le contrôle technique, la délivrance du permis de conduire ou encore les horaires de transport. « Nous sommes prêts, bien entendu, en tant qu’État, à accompagner le secteur des transports pour le renouvellement du parc et la limitation des âges des véhicules de transport en commun qui nous viennent de l’étranger », a-t-il fait savoir, assurant que les mesures nécessaires seraient « prises dès demain ».
« Fléau » sur le continent
Le maire de Kaffrine, Abdoulaye Saydou Sow, par ailleurs ministre de l’Urbanisme et du Logement, et le procureur de la République de la ville voisine de Kaolack ont imputé la collision à l’éclatement d’un pneu d’un des deux bus, qui a alors dévié de sa trajectoire. Le principal opposant sénégalais, Ousmane Sonko, candidat à l’élection présidentielle de 2024, a indiqué sur Twitter reporter une opération de levée de fonds en raison de l’accident et appelé les autorités à « accorder une attention prioritaire » à l’insécurité routière, un « fléau aux conséquences humaines, sociales et économiques désastreuses pour le pays ».
Les accidents de bus sont fréquents sur le continent, en raison du mauvais entretien des véhicules, de routes en piteux état, mais aussi d’erreurs de conduite, de nombreux automobilistes étant détenteurs de permis achetés auprès d’inspecteurs corrompus, sans avoir jamais fréquenté d’auto-école. Vingt-et-une personnes ont ainsi péri samedi soir en Afrique de l’Est dans un accident de bus à la frontière entre le Kenya et l’Ouganda, a indiqué dimanche la police ougandaise. Selon la police, 49 personnes ont été blessées. Selon les premiers éléments de l’enquête, le chauffeur aurait perdu le contrôle du véhicule en raison d’une vitesse excessive.
Le gouvernement ougandais prépare lui aussi de nouvelles mesures pour améliorer la sécurité routière après une hausse des accidents mortels pendant la période des fêtes de fin d’année. Selon la police ougandaise, 104 accidents de la route ont été enregistrés en seulement trois jours, du 30 décembre au 1er janvier, faisant 35 morts et 114 blessés.
L’accident a eu lieu à Macamic en Abitibi-Ouest. (archives) Photo : Sûreté du Québec/Olivier Leclerc
La femme qui s’est retrouvée coincée entre deux véhicules dans une cour privée ce matin à Macamic a succombé à ses blessures.
La victime était âgée d’une trentaine d’années selon la Sûreté du Québec.
Les policiers ont été contactés vers 6 heures mercredi pour lui venir en aide.
Elle a été transportée au centre hospitalier dans un état critique où malheureusement son décès a été constaté , rapporte Nancy Fournier, agente à l’information pour la Sûreté du Québec.
L’enquête se poursuit, mais la thèse accidentelle est privilégiée par les policiers pour le moment.
Selon nos informations, c’est une dame qui se trouvait dans une cour privée. Elle s’est malheureusement retrouvée coincée entre son véhicule et un autre véhicule qui était stationné, avait décrit Nancy Fournier tôt mercredi matin
Le milliardaire et ancien patron de Tata, Cyrus Mistry, est mort dimanche dans un accident de voiture, selon la BBC. Il se rendait à Mumbai dans l’après-midi (heure locale) quand l’accident s’est produit à Palghar, au nord de sa destination, affirme la police locale. Le véhicule aurait heurté un diviseur alors qu’il traversait un pont. Une autre personne est décédée, et deux autres ont été transportées à l’hôpital. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l’accident.
Le Premier ministre, Narendra Modi, a réagi sur Twitter : « La disparition prématurée de Shri Cyrus Mistry est choquante. C’était un chef d’entreprise prometteur qui croyait aux prouesses économiques de l’Inde. Son décès est une grande perte pour le monde du commerce et de l’industrie. Condoléances à sa famille et ses amis. Que son âme repose en paix. »
Cyrus Mistry avait été évincé de Tata, le plus gros groupe indien, en 2016, après avoir été critiqué sur les performances du conglomérat sous sa direction. Il avait été remplacé par Ratan Tata, qui avait été lui-même remplacé par Cyrus Mistry quatre ans plus tôt. Le licenciement du milliardaire avait secoué l’Inde et avait terminé au tribunal, qui avait statué en faveur de Tata. Cyrus Mistry est seulement le deuxième président du conglomérat à ne pas porter le nom du fondateur, éponyme du nom de l’entreprise.
Cynthia Marcotte et son conjoint William, à vélo, avant l’accident. Photo : Capture d’écran – Facebook/Cynthia Marcotte Nutritionniste
Cynthia Marcotte et son conjoint se promenaient à vélo samedi soir lorsqu’ils ont été happés par un véhicule, à Notre-Dame-de-Lourdes, dans le Centre-du-Québec.
L’accident s’est produit sur la route 265 vers 20 h 30. Les cyclistes roulaient en direction nord quand ils ont été heurtés par le véhicule qui circulait dans la même direction.
La femme de 29 ans a succombé à ses blessures quelques heures après son arrivée à l’hôpital, alors que l’homme a subi des blessures sérieuses, mais les autorités ne craignent plus pour sa vie.
Un reconstitutionniste de la Sûreté du Québec a été dépêché sur les lieux. L’enquête est toujours en cours.
Les causes de la collision ne sont pas connues pour le moment.
Les enquêteurs ont rencontré le conducteur du véhicule, âgé de 45 ans.
Vague d’amour sur les réseaux sociaux
Sur les réseaux sociaux, le décès de la nutritionniste et influenceuse québécoise a fait grand bruit. C’est le conjoint de Cynthia Marcotte, William, qui a annoncé la nouvelle aux internautes sur la page Facebook de sa conjointe.
Le nutritionniste Bernard Lavallée a offert ses condoléances à la famille. Il n’y a aucun mot assez fort pour exprimer à quel point je suis désolé. Cynthia était une rassembleuse dans la profession. Elle a toujours été très généreuse de ses connaissances et aidait tout le monde. Je peux affirmer que l’ensemble des nutritionnistes au Québec sont très affectés par la nouvelle, a-t-il écrit.
La docteure en nutrition Isabelle Huot a également commenté. Une perte énorme. On adorait tous Cynthia, une femme et une professionnelle d’exception. Bon courage dans cette épreuve si difficile, a-t-elle exprimé à la suite de la publication.
L’équipe de L’épicerie a tenu à réagir au décès de la blogueuse sur sa propre page. Cynthia Marcotte avait collaboré quelques fois à l’émission. « Nous apprenons avec beaucoup de tristesse le décès tragique de la nutritionniste Cynthia Marcotte […] qui avait à cœur la santé physique et mentale des jeunes », peut-on lire sur Facebook.
Un hommage à Cynthia Marcotte a aussi été fait par les Éditions La Presse, qui avaient publié son ouvrage La faim, en 2019. « Son livre reste un des éléments marquants de notre catalogue. Son œuvre ne s’achève pas ici, brutalement au bord d’une route. Elle se poursuit dans l’impact qu’elle a auprès de celles et ceux qui l’ont suivie à raison avec intérêt. Des Cynthia Marcotte, il n’y en a jamais assez. La perdre ainsi, si tôt dans la vie, est évidemment un drame humain. C’est aussi un appauvrissement social. », a écrit le directeur général de la maison d’édition, Jean-François Bouchard.
Un bus de la société Ocean du Nord qui assurait la liaison entre Ouesso et Pointe-Noire a été victime d’un accident vers minuit entre Bouansa et Madingou. Le chauffeur qui s’est endormi au volant est l’auteur de ce grave accident qui a coûté la vie à un passager et causé 43 blessés dont 2 dans un état critique. Les blessés ont été acheminés aux hôpitaux de Madingou et Nkayi.
Après des mois de repos et respect à la vie de ses passagers, Océan du Nord a repris le chemin des accidents mortels sur la RN1. Un bus de cette société qui assurait la liaison entre Ouesso et Pointe-Noire est sorti de la voie entre Bouansa et Madingou à cause du chauffeur du dormait au volant.
On compte 43 blessés graves et 1 mort. La fatigue du chauffeur est la cause de cet accident qui vient une fois endeuillé les familles ayant fait confiance à cette société maléfique. Comment peut-on laisser un chauffeur conduire pendant plus de 12 heures sans le remplacer ?
36 des blessés ont été admis à l’hôpital de Nkayi et les 7 autres à celui de base de Madingou qui sont d’ailleurs très mal équipés. Des pertes tristes pour ces passagers qui comme toujours ne seront jamais dédommagés par Océan du Nord qui semble avoir fait de la mort son fond de commerce.