Posts Tagged ‘Accouchement’

Une Américaine cliniquement morte « ressuscite » pendant que sa fille accouche

septembre 19, 2021

La grand-mère, qui a fait un arrêt cardiaque, n’a eu aucune séquelle au cerveau, rapporte le « Daily Mail ». Sa fille, elle, a accouché d’une petite Alora.

Malgre les efforts des medecins pour la ramener a la vie, Kathy Patten est declaree cliniquement morte pendant pres de 45 minutes. (Photo d'illustration)
Malgré les efforts des médecins pour la ramener à la vie, Kathy Patten est déclarée cliniquement morte pendant près de 45 minutes. (Photo d’illustration)© FREDERIC CIROU / AltoPress / PhotoAlto via AFP

Une situation invraisemblable qui ressemble à un miracle. À Baltimore, aux États-Unis, Kathy Patten a fait une crise cardiaque, alors que sa fille, Stacey Fifer, subissait une césarienne d’urgence, dans le même hôpital, rapporte le Daily Mail. La mère et la fille se trouvaient à seulement quelques chambres l’une de l’autre.

Les faits se sont déroulés le 2 juillet 2021. Alors qu’elle était sur un terrain de golf, Kathy Patten reçoit un appel de sa fille la prévenant qu’elle allait accoucher. La grand-mère se hâte de retrouver Stacey. Mais, lorsqu’elle se retrouve finalement auprès de sa fille, elle est prise d’un malaise. Et elle ne parvient pas à atteindre les urgences de l’hôpital. La grand-mère fait un arrêt cardiaque.

Aucune séquelle

Malgré les efforts des médecins pour la ramener à la vie, Kathy Patten est déclarée cliniquement morte pendant près de 45 minutes. La grand-mère n’a ni pouls, ni pression artérielle, ni oxygène dans le cerveau… Pourtant, elle se réveille. La suite est tout aussi incroyable. Kathy Patten n’a également aucune séquelle au cerveau.

Au même moment, l’accouchement de Stacey Fifer se complique. Après plus de 36 heures de travail, la jeune femme est dans l’obligation de subir une césarienne d’urgence. Elle accouchera finalement d’une petite fille nommée Alora. Pour Stacey, la naissance de son bambin a permis à sa mère de survivre à sa crise cardiaque. Car, sans son accouchement, Kathy ne se serait pas déplacée à l’hôpital et n’aurait sans doute pas été prise en charge rapidement.

Par Le Point avec AFP

Canada-Québec: Une femme accouche dans le stationnement d’un poste de police à Trois-Rivières

mai 21, 2021

«Je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi vite!», s’est exclamée la jeune maman Audrey Matte, qui a donné naissance à son deuxième enfant, un garçon du nom de Malyk, dans sa voiture, directement dans le stationnement de la Sûreté du Québec de Cap-de-la-Madeleine à Trois-Rivières, dans la nuit de mercredi à jeudi.

Audrey Matte a donné naissance au petit Malyk dans sa voiture. Un accouchement dont elle va se souvenir longtemps!

© Courtoisie Audrey Matte a donné naissance au petit Malyk dans sa voiture. Un accouchement dont elle va se souvenir longtemps!

C’est à minuit et quart qu’elle a perdu ses eaux à son domicile. «Je suis allée réveiller mon conjoint, on a appelé les grands-parents pour leur dire qu’on allait leur reconduire notre fille de trois ans. Ils n’habitent vraiment pas loin de chez nous», a raconté la mère.

Malgré la courte distance, ce n’était pas assez rapide pour le bébé qui semblait plus que prêt à sortir de son nid des neuf derniers mois. Quand ils ont quitté le domicile des grands-parents, c’était maintenant ou jamais. «J’avais déjà des super grosses contractions. Je mettais ma main et je sentais déjà sa tête qui sortait et qui rentrait, a-t-elle expliqué. J’ai dit à mon conjoint: ‘‘On ne se rendra jamais à l’hôpital. Arrête, appelle l’ambulance’’.»

C’est à ce moment que le couple s’est stationné à l’endroit le plus près, soit le poste de la Sûreté du Québec. L’adrénaline a alors pris place chez les deux parents, le conjoint a appelé l’ambulance et s’est assuré que la femme se portait bien.

«Il était au téléphone avec la répartitrice qui lui posait des questions pour faire un suivi pendant que les ambulanciers étaient en route. On était sur l’adrénaline vraiment beaucoup, donc par moments, il déposait son téléphone sur le top de l’auto et il s’occupait de moi au lieu de répondre à la personne», a soutenu la jeune mère, le sourire dans la voix.

Un bébé pressé

Dans les neuf minutes qu’a duré l’appel, le nouveau-né a décidé que c’était son moment de gloire. Pas question d’attendre l’ambulance. «Je lui ai dit [au conjoint] que la tête était sortie, il a regardé, et tout de suite, le reste a suivi. Il a attrapé le petit, il me l’a mis dessus. […] Le bébé pleurait déjà, il avait les yeux ouverts, il respirait, tout avait l’air normal de notre côté», a rapporté Audrey Matte, qui se disait rassurée que tout se soit bien déroulé.

La date prévue de l’accouchement était le 19 mai. La maman avait donc eu un suivi le mercredi matin à la clinique de périnatalité, mais sans signe que le bébé allait naître dans les prochaines 24 heures. «On m’a dit que je n’étais pas beaucoup ouverte et que le bébé était encore très haut, donc je ne m’attendais pas à ce que ça arrive à ce moment. On avait prévu un rendez-vous pour me déclencher la semaine d’après.»

Toutefois, sa marche d’après-midi en forêt la même journée pourrait avoir eu une incidence sur le moment de l’accouchement. «J’ai vraiment marché beaucoup, donc j’imagine que ça a aidé à descendre un petit peu et que ça arrive de cette manière», a-t-elle dit avec un brin de rire.

Tout est bien qui finit bien

Le fait que tout le monde se porte bien en conclusion de cet évènement permet aux parents de se dire que c’est une belle histoire à raconter. «Il n’y a pas eu de complications, autant le bébé que moi, ça va bien, et mon chum s’est remis de ses émotions aussi. On a juste hâte d’être tranquille en famille à la maison et de reprendre notre petite routine», a confié la jeune mère.

D’ailleurs, leur jeune fille âgée de trois ans, Olivia, a bien hâte de rencontrer son petit frère. «On l’a appelée en vidéo pour qu’elle puisse le voir et me voir aussi. Elle est bien excitée, ça fait longtemps qu’elle demande quand on va avoir son petit frère et elle a hâte qu’on le ramène à la maison», a conclu Audrey Matte à quelques heures de retourner chez elle avec le nouveau membre de la famille.

Avec Rosie St-André – Le Nouvelliste 

[Chronique] Mali : la preuve par neuf… enfants

mai 7, 2021
Damien Glez

Une jeune tombouctienne vient d’accoucher, au Maroc, de neuf bébés. Si l’état de santé des enfants se maintenait, l’événement pourrait être une première à l’échelle de la planète.

Si Emmanuel Macron entend toujours, conformément à son intervention de juillet 2017, susciter un ralentissement de la fécondité africaine sans laquelle « des milliards d’euros » ne « stabiliseraient » aucun développement, il a du pain sur la planche sahélienne. Alors que le président français déplorait la situation où « des pays ont encore sept à huit enfants par femme », une jeune malienne vient de lui administrer la preuve par… neuf que la tâche est plus complexe qu’il n’y paraît.

Alors qu’elle attendait les septuplés dénombrés sur ses échographies, Halima Cissé a donné naissance à des « nonuplés ». Difficile de faire baisser une moyenne malienne de 6,1 naissances par femme, quand on accouche de neuf enfants dans la même journée…

Une procréation extraordinaire

Originaire de Tombouctou, c’est au Maroc que la jeune femme de 25 ans avait été transférée par avion le 30 mars, tant une grossesse de sept fœtus était déjà jugée « extraordinaire » et porteuse de risques, aussi bien pour la mère que pour sa progéniture. Mardi 4 mai, une césarienne a été pratiquée. « Extraordinaire », cette procréation multiple l’est assurément, à l’échelle de la planète. Alors que huit naissances d’octuplés sont listées dans le monde et qu’aucune naissance humaine de dix bébés ou plus n’a été enregistrée, seules deux naissances de nonuplés ont été répertoriées, en Australie en 1971 et en Malaisie en 1999.

Cette perspective de voir naître neuf bébés de la même grossesse est à ce point rare que sa survenue devient systématiquement une affaire nationale. En 2012, la Mexicaine Karla Vanessa Perez avait piégé des médias fébriles en annonçant, à tort, qu’elle attendait des nonuplés…

LES ÉQUIPES MÉDICALES DU MALI ET DU MAROC, DONT LE PROFESSIONNALISME EST À L’ORIGINE DE L’ISSUE HEUREUSE DE CETTE GROSSESSE

Cette fois, la naissance exceptionnelle de cinq filles et quatre garçons n’est pas un canular et le ministère malien de la Santé s’est saisi du buzz feel-good, la ministre relayant elle-même les informations du médecin malien dépêché pour accompagner la mère au Maroc. Fanta Siby a officiellement félicité « les équipes médicales du Mali et du Maroc, dont le professionnalisme est à l’origine de l’issue heureuse de cette grossesse ». Le président de la transition du Mali a même téléphoné au père des nouveau-nés, l’adjudant Kader Arby.

Aucun nonuplé n’a jamais vécu plus de six jours

Régulièrement endeuillé par l’insécurité devenue endémique, le Mali a bien besoin de carnets roses enthousiasmants. Et si la santé de la mère et des bébés mérite une attention prudente, pendant les jours qui viennent, le caractère historique de cet heureux événement pourrait se muer en exploit inédit. Aucun nonuplé n’a jamais vécu plus de six jours. Les neuf bébés maliens qui pesaient entre 500 grammes et 1 kilo à leur naissance devraient passer deux à trois mois dans des couveuses. C’est un Mali ému qui retient son souffle, suspendu aux informations médicales.

Avec Jeune Afrique par Damien Glez

Espagne: greffé du cœur pendant que sa femme accouche

avril 9, 2021

Atteint d’une grave maladie cardiaque, un Espagnol était sur le point d’assister à la naissance de son premier enfant quand un cœur s’est révélé disponible et lui a été greffé pendant que sa femme accouchait, a annoncé ce vendredi un hôpital de Madrid.

«Quand je suis entré en chirurgie, je n’étais pas encore père. J’ai parlé à ma femme par appel vidéo et nous nous sommes tous deux souhaité bonne chance. Quand je me suis réveillé, j’étais doublement satisfait», a témoigné Antonio Salvador, 39 ans, cité dans un communiqué de l’hôpital Gregorio Marañón où il a été opéré mi-mars.

Atteint d’une insuffisance cardiaque héréditaire, «la greffe était l’unique solution» pour ce patient, a expliqué l’hôpital. «J’ai pris quelques minutes pour prendre la décision car cela signifiait manquer la naissance de mon premier enfant», a ajouté Antonio. Pour sa femme Ana María González, âgée de 44 ans, ce fut un énorme soulagement. «Je n’arrivais pas à croire qu’après 10 ans» d’attente pour avoir un enfant, «nous allions recevoir la chose la plus merveilleuse de notre vie, au moment même où Antonio recevait la vie dont il avait besoin. Notre fils Samuel est venu avec un cœur sous le bras pour son père», a-t-elle raconté.

Victime d’un arrêt cardiaque en 2002 en sortant du métro à Madrid, Antonio avait été réanimé par une infirmière du même hôpital. «Désormais, il pourra mener une vie relativement normale», a assuré son cardiologue, le Dr Eduardo Zatarain. Depuis 2002, Antonio estimait avoir «deux anniversaires», celui de sa naissance et celui de sa réanimation, car «ils m’ont sauvé la vie ce jour-là». Avec «la transplantation cardiaque et la naissance de mon fils le même jour, nous allons célébrer trois anniversaires», s’est-il réjoui.

Par Le Figaro avec AFP

Une Colombienne a accouché dans le coma à cause du coronavirus

juin 27, 2020

 

Lorsqu’elle a donné naissance à son fils Jefferson en mai dernier, Diana Angola luttait pour sa survie. La jeune femme de 36 ans, atteinte par le coronavirus, a été plongée dans un coma artificiel pour pouvoir accoucher.

En raison de l’état des poumons de la jeune femme affaiblis par le Covid-19, les médecins ont pratiqué une césarienne et Jefferson est né 14 semaines avant terme.

«C’est un cas qui a généré beaucoup de stress car nous savions qu’il y avait peu de cas de survie signalés dans un contexte aussi grave que celui de notre patiente», a expliqué à l’AFP Paula Velasquez, médecin spécialiste en médecine interne à la clinique de Versalles, dans la ville de Cali (sud-est).

La trentenaire, déjà mère d’un enfant, a été hospitalisée le 15 mai en raison d’une forte fièvre. Trois jours plus tard, elle a été plongée dans un coma artificiel et maintenue ainsi jusqu’à l’opération.

En raison de sa grossesse, elle a dû être maintenue assise à un angle de 45 degrés, alors que les personnes souffrant de pneumonie sont normalement couchées à plat ventre pour faciliter leur respiration.

Jefferson est né à 24 semaines et demi de grossesse et sans le coronavirus. «Un être humain peut survivre à partir de 24 semaines avec un bon poids, mais avec beaucoup de technologie et un effet sur le développement neurologique et les poumons», souligne le Dr Velasquez. Mais selon le pédiatre Edwin Olivo, un des spécialistes impliqués dans l’accouchement, l’enfant a rapidement commencé à prendre du poids et l’état du nourrisson, toujours en couveuse, s’est peu à peu amélioré.

«Il est né avec de grandes difficultés pour respirer, nous avons dû le réanimer, nous avons dû passer par toute la procédure d’un patient critique», explique le praticien. «C’est vraiment émouvant de savoir que nous nous sommes battus, que les médecins nous ont aidés à survivre», témoigne Diana d’une voix encore faible.

La jeune femme, désormais guérie du coronavirus, ne sait pas comment elle a été contaminée et sa famille assure qu’elle a rigoureusement respecté le confinement imposé dès le 25 mars en Colombie.

Par Le Figaro avec AFP

Canada: Acceptés par l’immigration, ils devront quand même payer l’accouchement

novembre 21, 2019
La RAMQ refuse de couvrir l’accouchement pour un couple de Vénézuéliens pourtant acceptés par l’immigration au Québec.

© Alexandre DUVAL
 

Natifs du Venezuela, Erick et Daniela ont tous deux quitté leur pays natal en quête d’une vie meilleure. Erick a été le premier à faire le saut. Il a étudié au Canada, il est résident permanent depuis 2017 et il a obtenu un emploi à temps plein dans un commerce de Québec.

Daniela est venue le rejoindre en janvier 2019, puis ils se sont mariés. Au printemps, ils ont entamé les démarches de parrainage pour que Daniela puisse aussi devenir résidente permanente.

Les choses allaient bon train. En septembre, la jeune femme de 24 ans a obtenu un permis de travail. Puis le 1er novembre dernier, elle recevait son certificat de sélection du Québec (CSQ).

Daniela Garrido a reçu son certificat de sélection du Québec le 1er novembre 2019

© Fournis par Canadian Broadcasting Corporation Daniela Garrido a reçu son certificat de sélection du Québec le 1er novembre 2019
La Belle Province venait donc de l’accepter comme immigrante, soit l’étape qui précède l’obtention de la résidence permanente au Canada. Erick s’est alors précipité à la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ), croyant que sa femme serait désormais couverte.

Or, il lui manquait un document : une lettre remise par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), démontrant que Daniela a la volonté de s’établir au pays.

Cette fameuse lettre devrait être envoyée au couple tôt ou tard, car Erick a déjà payé les frais liés à la future résidence permanente de sa conjointe. Or, le temps presse : l’accouchement est prévu le 26 novembre.

Faute d’avoir ce document, le couple devra lui-même payer pour l’accouchement sans possibilité de remboursement. C’est compliqué. Mon seul mot à dire, c’est que je souhaite ça à personne, lance le futur père de famille de 28 ans.

Erick Hurtado a payé tous les frais nécessaires - y compris ceux liés à la résidence permanente - dans sa demande pour parrainer Daniela Garrido

© Fournis par Canadian Broadcasting Corporation Erick Hurtado a payé tous les frais nécessaires – y compris ceux liés à la résidence permanente – dans sa demande pour parrainer Daniela Garrido

«La madame que j’avais en face de moi au comptoir [de la RAMQ], elle était super gentille. Elle était même désolée envers nous. Elle était comme « je m’excuse énormément pour votre situation, mais il n’y a absolument rien que je peux faire. »»

-Erick Hurtado

Des frais exorbitants

L’enjeu est énorme pour ce couple. À l’hôpital Saint-François d’Assise, là où aura lieu l’accouchement, les frais d’hospitalisation pour la mère sont de 3651 $ par tranche de 24 heures.

À cela s’ajoutent les honoraires du médecin, qui peuvent facilement représenter plus de 1000 $.

Si une complication devait survenir et que la mère se retrouvait aux soins intensifs, les frais seraient alors de 10 299 $ par jour.

Pour ne prendre aucun risque, Erick a donc contracté un prêt ouvert de 20 000 $.

«Je ne sais pas qu’est-ce qui peut arriver après l’accouchement […] peut-être qu’on peut retourner à la maison et qu’ensuite il y a quelque chose qui ne marche pas et il faut retourner à l’hôpital.»

-Erick Hurtado

Erick Hurtado et Daniela Garrido

© Fournis par Canadian Broadcasting Corporation Erick Hurtado et Daniela Garrido
C’est beaucoup plus de stress pour nous deux, comme famille, mentionne Erick, qui ne sait pas encore s’il prendra son congé de paternité tellement la pression financière est forte.

Je ne peux pas travailler maintenant, rappelle Daniela dans un anglais hésitant. Erick travaille beaucoup et je reste seule à la maison […] C’est stressant actuellement, mais je ne sais pas si ce sera mieux demain.

Lightbound appuie le couple

Dans une lettre datée du 8 novembre dernier, le député fédéral de Louis-Hébert, Joël Lightbound, implore la RAMQ de couvrir les soins de santé de Daniela.

Le processus dans lequel ils se sont engagés en juin dernier est assez long certes, mais l’issue est pour ainsi dire certaine : Mme Garrido obtiendra, à terme, la résidence permanente au Canada, écrit le député.

«Mme Garrido obtiendra la lettre d’acceptation d’IRCC d’ici quelques semaines, mais son enfant lui n’attendra pas. »

-Joël Lightbound

Joël Lightbound, député fédéral de Louis-Hébert

© Fournis par Canadian Broadcasting Corporation Joël Lightbound, député fédéral de Louis-Hébert
Les délais de traitement de ces demandes sont très longs, en raison du volume important de demandes, poursuit M. Lightbound dans sa missive. Mme Garrido et son enfant ne devraient en aucun cas faire les frais de cette situation.

La RAMQ exige la lettre

La RAMQ n’a pas voulu commenter le cas de Daniela ni accorder d’entrevue à Radio-Canada. Par courriel, la porte-parole Caroline Dupont explique néanmoins que le règlement sur l’admissibilité en assurance maladie est clair.

Pour admettre une personne au régime, nous devons au minimum avoir la lettre des autorités canadiennes de l’immigration qui atteste de la volonté de s’établir de la personne et une preuve de résidence au Québec, dit-elle.

Et si Daniela recevait ladite lettre dans les jours suivant son accouchement? Elle ne serait quand même pas remboursée, assure Mme Dupont.

«Il faut effectivement que la personne soit admissible le jour où des soins médicaux sont prodigués afin de pouvoir demander un remboursement.»

-Caroline Dupont, porte-parole de la RAMQ

Au moment d’écrire ces lignes, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada n’avait pas encore répondu à nos questions concernant les délais d’envoi de la lettre que Daniela et Erick attendent.

De l’humanité

Le couple dit s’être fait demander à quelques reprises pourquoi il ne retournait pas au Venezuela pour l’accouchement. Or, leur pays d’origine est plongé dans une crise depuis des années.

La situation des hôpitaux chez nous, c’est très grave, au point où les femmes accouchent dehors de l’hôpital parce qu’il n’y a pas d’électricité à l’intérieur, résume Erick.

De toute façon, c’est ici que le couple veut vivre, sans aucune hésitation. Erick aimerait simplement que des solutions soient trouvées lorsque des cas exceptionnels, comme celui de sa famille, surviennent.

On est dans un pays très libre, un pays très chaleureux, un pays qu’on a adopté, qu’on aime beaucoup aussi. On remercie tout le monde, mais je répète la même phrase : il est où, le côté humain?

Par Alexandre Duval avec la collaboration de David Rémillard

Une femme de 74 ans accouche de jumeaux

septembre 6, 2019

 

Une Indienne âgée de 74 ans pourrait bien être la femme la plus âgée au monde à donner naissance à un enfant. Elle a accouché de jumeaux ce jeudi 5 septembre.

C’est un accouchement qui va faire parler de lui aux quatre coins du monde. Ce jeudi 5 septembre, Erramatti Mangayamma a donné naissance à deux petites filles. Jusque-là, rien de vraiment exceptionnel. Ce qui l’est plus, c’est que cette Indienne est âgée de 74 ans. Si son âge se confirme, elle deviendrait la « jeune maman » la plus âgée du monde.

Deux bébés après 57 ans de mariage

Mariée depuis 57 ans avec Raja Rao, âgé de 78 ans, et ménopausée depuis 30 ans, la septuagénaire n’avait jamais eu la chance d’avoir des enfants malgré de multiples tentatives. Pour cette naissance, elle a eu recours à la fécondation in vitro. Les médecins ont obtenu des ovules d’une donneuse et elles ont été fécondées avec le sperme de son mari. L’accouchement a eu lieu par césarienne.

« Je ne trouve pas les mots pour exprimer ce que je ressens. Ces bébés me comblent. Mes six décennies d’attente sont enfin terminées et maintenant plus personne ne pourra dire que je suis infertile », a déclaré la maman.

© Metro

Un coup de pub pour la clinique

Il semblerait que la clinique Ahalya IVF de Guntur où l’accouchement a eu lieu ait grandement participé au financement de cette opération et ce, afin d’entrer dans l’Histoire et de se faire une publicité auprès d’autres sexagénaires et septuagénaires Indiennes qui voudraient des enfants.

« C’est un miracle médical », ont déclaré les médecins aux médias indiens, précisant « qu’il n’y avait pas eu de complications ».

Avec Metrotime.com

Pologne: Morte cérébralement depuis 55 jours, elle accouche d’un enfant

avril 19, 2016

Une Polonaise en état de mort cérébrale a été maintenue en vie artificiellement pendant 55 jours pour accoucher d’un enfant prématuré. L’état de santé du nouveau-né « ne présente pas de complications » majeures, a-t-on appris mardi auprès d’un hôpital de Wroclaw.

« Le garçon est né au début de l’année, dans la 26e semaine de grossesse. Il pesait 1000 grammes. Au bout de trois mois de soins, son état de santé correspond à celui d’un prématuré extrême, sans complications. Il vient de quitter l’hôpital », a déclaré à la chef du département de néonatologie de l’hôpital universitaire de Wroclaw.

« Il est rarissime de réussir à maintenir une grossesse aussi peu avancée, à sa 17e ou 18e semaine, pendant si longtemps », a-t-elle souligné.

Cancer du cerveau
Quand la mère de l’enfant, une femme de 41 ans a été emmenée à l’hôpital par ambulance, les neurochirurgiens ont constaté sa mort cérébrale, due à un cancer du cerveau.

« Toute sa famille a désiré que l’on tente de préserver l’enfant », a indiqué la responsable. « C’était une longue bataille de 55 jours. Nous, néonatologues, souhaitions que le petit homme devienne le plus grand possible, mais un jour, un danger pour sa vie est devenu réel et nous avons opté pour l’accouchement », une césarienne, a-t-elle précisé.

Au bout de trois mois de soins intensifs, le garçon pèse trois kilogrammes, respire de manière autonome, est nourri au biberon et a quitté l’hôpital. Désormais, « il faut s’armer de patience et attendre de voir, comment il va grandir ».

Romandie.com

Aux Etats-Unis, une femme accouche dans un Subway et y abandonne son bébé

février 22, 2016

 Mary Grace Trinidad, à la sortie du restaurant. (Capture d'écran CCTV).

Mary Grace Trinidad, à la sortie du restaurant. (Capture d’écran CCTV).

West Covina Police

A West Covina, en Californie, une femme a accouché dans les toilettes d’un restaurant Subway, avant d’y abandonner le nourrisson. Elle est dorénavant accusée de tentative de meurtre et de délaissement parental.

C’est une terrible histoire que rapporte le Los Angeles Times. Lundi 15 février, Mary Grace Trinidad, une femme de 38 ans, s’est rendue dans un restaurant Subway de la ville de West Covina, dans la banlieue de Los Angeles, en Californie, pour y accoucher. Les caméras de surveillance montrent la femme pénétrer dans les toilettes, avant d’en ressortir ensanglantée 10 minutes plus tard, et de quitter précipitamment le restaurant.

Cette femme, déjà recherchée par la police pour une affaire de drogues, a accouché dans les toilettes avant d’y abandonner son bébé. Les clients, qui ont entendu le nourrisson crier, se sont précipités dans les toilettes pour sauver le nouveau-né. Ce dernier est maintenant hors de danger à l’hôpital.

2 millions de dollars de caution

Une trace de sang dans la rue a permis de conduire à Mary Grace Trinidad, qui a été arrêtée par la police. La jeune mère se trouvait à quelques rues du restaurant. Sa caution a été fixée à 2 millions de dollars, et elle a été accusée mercredi de tentative de meurtre et de délaissement parental.

Lexpress.fr

Kate Midd­le­ton révèle quand elle va accou­cher

mars 19, 2015

Kate Midd­le­ton

Kate Midd­le­ton

C’est prévu pour…

Enceinte de huit mois, Kate Midd­le­ton doit accou­cher le mois prochain. Plus préci­sé­ment ? La prin­cesse a lâché une confi­dence aujourd’­hui.

À quelle date naîtra le deuxième petit prince (ou la petite prin­cesse) du royaume d’An­gle­terre ? C’est la ques­tion que se posent tous les Britan­niques. Et une béné­vole, qui a eu la chance de rencon­trer Kate Midd­le­ton au Broo­khill Chil­dren’s Centre, a osé le lui deman­der.

La duchesse de Cambridge, que l’on sait très secrète sur le sujet, a pour­tant accepté de donner une four­chette : « Mon terme est prévu entre la mi-avril et la fin avril, a-t-elle avoué. Ce ne sera plus très long main­te­nant. » « Je n’ai pas pu me rete­nir, a confessé au DailyMail cette grand-mère, qui travaille pour le centre depuis 7 ans. C’était formi­dable et merveilleux de l’avoir ici. » Inutile en revanche de lui poser la ques­tion du sexe du bébé, William et Kate ont toujours fait savoir qu’ils gardaient la surprise pour le jour J.

Contrai­re­ment à la veille où, pour les céré­mo­nies de la Saint-Patrick avec William, elle avait revêtu un manteau très chic, Kate avait choisi pour cette visite une petite robe légère noire à pois blancs. La marque ? Asos. Son prix ? 35 livres, soit un peu moins de 50 euros. Un modèle qui s’est arra­ché sur le site dans les quelques minutes qui ont suivi l’ap­pa­ri­tion de Kate. On a rare­ment vu meilleur mannequin.

Voici.fr par Marie Astrid KUNERTH