L’ONG Médecins sans frontières a annoncé ce 17 février interrompre l’ensemble de ses activités au Burkina Faso, après que deux de ses employés ont été tués le 8 février lors d’une attaque de jihadistes présumés dans le nord-ouest du pays
« À la suite de l’attaque au cours de laquelle deux employés MSF ont été tués le 8 février dernier dans la région de la Boucle du Mouhoun, nous suspendons l’ensemble de nos activités dans le pays [Burkina Faso] », a annoncé l’ONG Médecins sans frontières dans un communiqué, ce vendredi 17 février. « Dans toutes les localités où MSF appuie et fournit de l’aide médicale et humanitaire, seules les urgences vitales seront assurées pour une durée indéterminée », précise le texte.
Mercredi 8 février, MSF avait annoncé la mort de deux de ses employés burkinabè tués le jour même par des « hommes armés », jihadistes présumés, qui avaient « pris pour cible » un « véhicule de Médecins sans frontières, clairement identifié ». Le véhicule, qui transportait une équipe médicale de quatre personnes, se trouvait sur la route entre Dédougou et Tougan, dans le nord-ouest du pays.
Analyser les risques
« Cette mesure, nécessaire au temps du deuil, est essentielle pour analyser les risques auxquels sont actuellement exposées nos équipes », explique l’ONG. « Il s’agit aussi de réaffirmer la nature inacceptable de cette attaque contre des collègues circulant dans un véhicule MSF clairement identifié dans le cadre de leur mission médicale », ajoute-t-elle. Le 8 février, la présidente de MSF, Isabelle Defourny, avait dénoncé « une attaque délibérée et intentionnelle ».
Le Burkina Faso est pris depuis 2015 dans une spirale de violences jihadistes apparues au Mali quelques années auparavant et qui s’est étendue au-delà de ses frontières. Jeudi, cinq personnes dont deux soldats ont été tués lors d’une attaque dans la province de la Tapoa (est). Les violences ont fait plus de 12 000 morts – civils et militaires – selon l’ONG Acled, qui recense les victimes de conflits dans le monde. Quelque deux millions de personnes sont déplacées à l’intérieur du pays.
Au bord de la mer et le soir au Mbongui ont reuni, le 6 juillet au Centre des ressources du conte et des arts de l’oralité à Côte matève, dans le 6e arrondissement Ngoyo, les amoureux et férus du conte qui sont venus dire au revoir à Jorus Mabiala, conteur congolais résidant à Marseille, après son long séjour de travail dans la ville océane et d’autres villes du pays.
Photo: Les conteurs à la plage. Crédit photo »DR »
Après près de dix mois d’activités dans la ville océane, Jorus Mabiala, conteur de la compagnie Africa Graffitis, a offert une journée de conte en guise d’aurevoir, en organisant le conte au bord de la mer et le dernier Mbongui autour du feu. Deux activités qui ont connu la participation de Jules Ferry Moussoki, comédien et conteur congolais, médaillé d’or aux 8es Jeux de la Francophonie en 2017 à Abidjan (Côte d’Ivoire).
Au cours de cette journée dédiée au conte, les conteurs d’Africa Graffitis, Jules Ferry Moussoki et Jorus Mabiala ont égayé le public d’abord à la plage en fin de journée puis au Centre de ressources du conte et des arts de l’oralité en soirée. Les contes d’ici et d’ailleurs, les animations diverses autour du feu, les danses ont égayé le public heureux d’avoir participé à une journée mémorable.
Signalons que Jorus Mabiala, le conteur congolais résidant à Marseille, a, lors de son séjour au Congo, joué avec sa compagnie de conte « Africa Graffitis » dans les écoles, les lieux et salles de spectacles, sans oublier les nombreux spectacles et rencontres diverses, formations et ateliers qu’il a initiés au Centre des ressources du conte et des arts de l’oralité à Côte matève.
La chaîne McDonald’s a notamment un restaurant tout près du Kremlin. Photo : Reuters/Maxim Zmeyev
Ciblés par des critiques croissantes, les multinationales américaines McDonald’s, Coca-Cola et PepsiCo font partie des entreprises qui ont à leur tour annoncé, mardi, qu’elles suspendaient leurs activités en Russie, dans la foulée de l’invasion de l’Ukraine.
Elles ont été plus lentes à réagir que les entreprises occidentales de divers secteurs, mais leur couperet est tombé lourdement. Dans la seule journée de mardi, quatre géants américains de l’alimentation – Starbucks, McDonald’s, Coca-Cola, puis PepsiCo – ont tour à tour signalé en après-midi qu’ils coupaient, à divers degrés, temporairement les ponts avec la Russie, au 13e jour d’une guerre qui a propulsé les Ukrainiens dans une crise humanitaire d’une ampleur catastrophique.
Une décision qui s’inscrit dans un mouvement grandissant auquel se sont déjà ralliées de grandes entreprises comme Ikea, Apple, Samsung, Netflix, Nike, Visa, Mastercard, H&M, GM, BMW, Mercedes-Benz, Volvo, Toyota, Volkswagen, Chanel et Hermès.
Le conflit en Ukraine et la crise humanitaire en Europe ont causé des souffrances indicibles à des personnes innocentes. Nous nous joignons au monde pour condamner l’agression et la violence et prier pour la paix, a déclaré le PDG de McDonald’s, Chris Kempczinski, dans un courriel d’abord transmis au personnel et aux franchisés, puis publié sur le site web de la multinationale.
« Nos valeurs font en sorte que nous ne pouvons pas ignorer les souffrances humaines inutiles qui se déroulent en Ukraine. »— Une citation de Chris Kempczinski, PDG de McDonald’s
S’il n’est pas isolé, le geste de McDonald’s apparaît particulièrement emblématique : l’entreprise américaine, symbole du capitalisme et du monde occidental, avait connu un succès immédiat avec l’ouverture de son premier restaurant à Moscou, en 1990, au crépuscule de l’URSS. Ses activités en Russie comptent pour 9 % de ses revenus.
Présente en territoire russe depuis une trentaine d’années, la société, dont l’enseigne y exploite, directement ou par ses franchisés, 850 succursales, dit servir des millions de clients chaque jour. La chaîne de restauration rapide y emploie 62 000 employés, qu’elle dit avoir l’intention de continuer de rémunérer.
À ce stade, il est impossible de prévoir quand nous pourrons rouvrir nos restaurants en Russie, ajoute le PDG, qui évoque entre autres des perturbations dans sa chaîne d’approvisionnement.
Au cours des derniers jours, la multinationale, à l’instar de Coca-Cola et de PepsiCo, faisait l’objet d’un appel au boycottage sur les réseaux sociaux en raison de son mutisme et de la poursuite de ses activités dans le pays de Vladimir Poutine.
Le contrôleur de l’État de New York, Thomas DiNapoli, qui supervise le fonds de pension de l’État, d’une valeur de 280 milliards de dollars américains, a même écrit à plusieurs entreprises pour les exhorter à mettre temporairement fin à leurs activités en Russie.
Une telle décision permettrait de prévenir divers risques d’investissement associés au marché russe et jouerait un rôle important dans la condamnation du rôle de la Russie dans l’atteinte fondamentale de l’ordre international, qui est vital pour une économie mondiale forte et saine, arguait-il, cité par l’agence Reuters, soulignant entre autres une possible atteinte à leur réputation.
Selon un recensement régulièrement mis à jour par un professeur de l’école de gestion de l’Université américaine Yale, près de 300 entreprises internationales, dont Canada Goose et Canadian Tire, se sont jusqu’ici retirées de la Russie.
McDonald’s annonce son retrait temporaire de la Russie. C’est une autre multinationale qui sanctionne ainsi Moscou, mais celle-ci a une signification particulière comme l’explique Mariève Bégin.
Une réaction en chaîne
Starbucks a emboîté le pas à la fameuse entreprise aux arches d’or et a annoncé la suspension de toutes ses activités commerciales en Russie, y compris la fermeture temporaire de ses 130 cafés et l’exportation de ses produits. Elle s’est de plus engagée à verser tous les profits tirés de ses activités en Russie à des opérations humanitaires en Ukraine.
La chaîne de café américaine a précisé dans un communiqué que le groupe koweïtien possédant la licence d’exploitation en Russie fournirait un soutien aux 2000 employés qui dépendent de Starbucks pour vivre.
Coca-Cola a elle aussi suspendu ses activités, mais elle continuera à surveiller et à évaluer la situation au fur et à mesure des circonstances, a-t-elle ajouté dans un communiqué laconique. Nos cœurs sont avec les personnes qui endurent des effets inadmissibles de ces événements tragiques en Ukraine, a soutenu la direction du géant des boissons gazeuses.
Au cours des derniers jours, des chaînes de supermarchés ukrainiens avaient pris la décision de retirer ses produits de leurs tablettes pour protester contre le maintien de ses activités dans le pays voisin.
Son concurrent PepsiCo a de son côté annoncé une pause dans la vente de ses boissons gazeuses, mais il a précisé qu’il continuerait de fournir à la population russe des aliments jugés essentiels, comme la poudre pour bébés.
General Electric a aussi signifié sur Twitter la suspension de ses activités en Russie, à quelques exceptions : elle continuera de fournir de l’équipement médical essentiel et des services d’électricité.
D’autres grandes entreprises ont annoncé des mesures similaires pendant la journée. C’est le cas du groupe français L’Oréal, de la société anglo-néerlandaise de l’agroalimentaire et des cosmétiques Unilever, du joaillier autrichien Swarovski et de l’horloger suisse Swatch Group.
Yum! Brands, la maison mère de Poulet frit KentuckyPFK et de Pizza Hut, avait annoncé lundi soir la suspension de tous ses investissements dans le pays, sans toutefois y cesser ses activités, essentiellement menées par des propriétaires indépendants sous franchise ou licence.
C’est sans compter le train de sanctions sévères imposées par la communauté internationale à l’État russe et à de riches ressortissants. Selon la base de données de Castellum.ai, la Russie est désormais ciblée par plus de 2800 sanctions, ce qui en fait l’État visé par le plus grand nombre de sanctions, devant l’Iran, la Corée du Nord et la Chine.
Radio-Canada par Sophie-Hélène Lebeuf avec les informations de Agence France-Presse
Les conférences de presse, les annonces et les autres activités publiques auxquelles devaient participer les ministres québécois sont annulées. Photo : Radio-Canada/Daniel Coulombe
En raison de la prolifération de nouveaux cas de COVID-19, le gouvernement du Québec suspend les activités publiques de ses ministres.
Cette suspension se traduit par l’annulation de leurs conférences de presse et de leurs annonces publiques ainsi que par leur absence aux autres activités auxquelles ils devaient participer, selon des sources de Radio-Canada.
La session parlementaire ayant pris fin le 10 décembre dernier, les membres de l’Assemblée nationale ne siègent donc plus en Chambre. Les travaux reprendront le 1er février 2022.
Il s’agit d’une mesure préventive. Depuis quelques jours, le Québec est aux prises avec une augmentation fulgurante du nombre de cas de COVID-19. Le variant Omicron est plus facilement transmissible que le variant Delta.
Plusieurs politiciens ont d’ailleurs attrapé la COVID-19 au cours de la dernière semaine. Le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, a récemment reçu un diagnostic positif à la COVID-19. La mairesse de Montréal, Valérie Plante, et le maire d’Ottawa, Jim Watson, ont eux aussi contracté la maladie.
Radio-Canada a appris que la santé publique doit faire un rapport demain matin au gouvernement Legault sur la situation épidémiologique dans la province. Québec devra évaluer la possibilité de resserrer davantage les mesures sanitaires.
Selon nos informations, plusieurs hypothèses sont sur la table, mais les décisions ne sont pas encore prises. De toute évidence, le rapport sera déterminant pour la suite des choses.
Le premier ministre François Legault doit recevoir un breffage de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) et de l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS) lundi en fin de journée pour se faire présenter de nouveaux scénarios.
Ce soir, tant au Cabinet du premier ministre que celui du ministre de la Santé, on n’exclut pas la tenue d’une conférence de presse pour faire le point.
Dimanche, les autorités de la santé publique enregistraient 3846 nouveaux cas de COVID-19 et 3 décès supplémentaires.
Après avoir autorisé les rassemblements de 20 personnes pendant les Fêtes, le gouvernement Legault a été contraint de faire volte-face et de ramener l’ampleur des célébrations à un maximum de 10 participants.
Par Radio-Canada avec les informations de Sébastien Bovet
Le Centre de femmes Parmi Elles de Bécancour annonce la reprise de ses activités en présentiel avec une nouvelle équipe, de nouveaux aménagements et même de nouveaux services.
La programmation automnale compte des activités diversifiées tant pour les femmes qui souhaitent rester à la maison que pour celles qui aimeraient être présentes dans les locaux de l’organisme.
Les activités se dérouleront les lundis, mercredis, jeudis et vendredis, de 9h à midi et de 13h à 16h.
Un petit salon est maintenant ouvert aux femmes qui veulent aller y prendre un café. Des portables sont accessibles sur place pour faire des recherches ou imprimer des documents.
Le centre précise que le passeport vaccinal n’est pas demandé pour entrer ou prendre part aux activités.
Le centre de femmes, situé en plein centre de la municipalité, dispose désormais d’une terrasse pouvant accueillir une quinzaine de femmes à la fois. Cet espace permet de défaire le préjugé voulant que le centre de femmes soit une maison d’hébergement pour femmes victimes de violence, indique l’organisme.
La terrasse est agrémentée d’une fontaine laquelle est incorporée dans une thématique de jardin communautaire. Cette nouvelle terrasse vise notamment à donner une visibilité à l’organisme en tant que milieu de vie.
Le Centre de femmes Parmi Elles rappelle que sa mission consiste à informer et sensibiliser les femmes pour les aider à modifier leurs conditions de vie par une prise en charge individuelle et collective. Il s’agit d’un lieu de rencontres favorisant l’échange sur les réalités vécues par les femmes. Du même coup, il se veut un réseau d’entraide et même un centre de documentation.
Par le biais de diverses journées ou soirées d’information, le Centre de femmes Parmi Elles vise également à renseigner ses participantes sur divers thèmes comme les droits des femmes, la santé mentale, la violence faite aux femmes, la sexualité, le travail, l’éducation et les loisirs.
L’organisme offre une écoute et un accueil aux femmes de la MRC de Bécancour ainsi qu’un nouveau service de halte-garderie les lundis, jeudis et vendredis, de 9h à 12h.
Une intervenante du centre offre même ses services en tant que doula pour l’accompagnement à l’avortement ou lors d’une fausse couche.
Le centre ouvre également une ludothèque, les vendredis, de 9h à 12h pour la location de jeux et jouets sur l’achat d’une carte de membre de 20 $.
Plusieurs activités éducatives composent la programmation de l’automne. Les cuisines collectives, notamment, repartent dans plusieurs villages. Certaines activités seront offertes en Zoom ou en groupes Facebook. Le 24 novembre, il y aura une conférence d’Ingrid Falaise, à 19h, pour lancer les 12 jours d’action contre la violence faite aux femmes.
Pour l’année 2021-2022, le Centre de femmes Parmi Elles entend sensibiliser les femmes aux situations qui les touchent sur les plans politique, économique et social. L’organisme veut accueillir les femmes de tous les villages, de tous les âges, peu importe leur appartenance sociale, origine ethnique et orientation sexuelle.
Le port joue un rôle d’entraînement des échanges commerciaux, puisqu’il assure plus de 80% des exportations et importations du pays. Il a poursuivi ses activités à quai en dépit de la crise sanitaire du coronavirus (Covid-19) et la fermeture des frontières.
Les installations du port de Pointe-Noire/Adiac
Le port de Pointe-Noire représente une des composantes d’un système multimodal de transport comprenant les voies maritimes, ferroviaires, routières et fluviales. La situation économique nationale dépend en partie de la dynamique des activités portuaires, dans un contexte de crise sanitaire mondiale.
Le concessionnaire du port Congo Terminal, filiale de Bolloré ports, rassure sur le maintien de ses activités. « Congo Terminal a instauré un plan de rotation de service pour un personnel restreint pour assurer la continuité des opérations au terminal à conteneurs. Les navires sont ainsi traités au quotidien 24h sur 24 et les conteneurs livrés en journée continue de 8h00 – 15h00. Les commerces de première nécessité peuvent ainsi continuer à s’approvisionner et répondre aux besoins de la population », précise le groupe.
Pour l’essentiel, le port assure la fluidité des entrées ou sorties de navires et le chargement ou déchargement de conteneurs. L’entreprise concessionnaire qui a investi plus de 300 milliards de francs CFA ces dix dernières années, pour l’aménagement des quais et autres équipements, ne veut baisser les bras face à la crise. En moins de dix ans, la capacité de mouvements au quai a augmenté de 15 mvts/h à une moyenne supérieure à 60 mvts/h.
Le port de Pointe-Noire peut accueillir des navires de 400 mètres de long, transportant jusqu’à 14 000 conteneurs. Sur 1 840 mètres linéaires de quais bien aménagés se dressent d’imposants portiques qui chargent et déchargent, à longueur de journée, des bateaux de grands tonnages dans un périmètre hautement sécurisé. Depuis 2018, le port a dépassé le seuil de soixante-dix mille conteneurs manipulés par mois, atteignant parfois quatre-vingt-deux mille conteneurs.
En juillet 2019, l’infrastructure portuaire a été distinguée « Prix de meilleure productivité à quai des ports d’Afrique centrale et de l’ouest » par la Fondation african ports awards. Le jury de la fondation a salué les progrès réalisés par le port et surtout la fluidité remarquable des entrées ou sorties de navires, ainsi que l’excellence des cadences à quai. À partir de cette année, l’entreprise aspire au titre de « hub de transbordement en eaux profondes de référence sur la côte ouest-africaine » et ambitionne de devenir également le meilleur port de transit de la sous-région, grâce à tous les efforts consacrés au développement des corridors qui desservent les pays du bassin du Congo.
Dans le cadre des Journées de la culture et de la Fête de la culture, Radio-Canada ouvre ses portes et organise plusieurs événements publics aux quatre coins du pays.
À Montréal, la Maison de Radio-Canada a ouvert ses portes samedi à des milliers de visiteurs, et le fera de nouveau dimanche, de 10 h à 16 h.
Le public peut notamment découvrir le Centre de l’information, où travaillent les journalistes. Samedi, des visiteurs ont pu assister à l’émission RDI en direct week-end, animée par Louis Lemieux.
Les curieux peuvent aussi découvrir les ateliers des décors et costumes, ainsi que les plateaux des dramatiques 30 vies et L’auberge du chien noir. De nombreux interprètes de ces téléromans sont présents sur place pour rencontrer le public.
Un salon est consacré à la plateforme Internet et Services numériques, dans lequel les visiteurs peuvent aussi vivre une expérience interactive et assister à une démonstration technique en studio. En outre, de nombreuses émissions de la Première Chaîne radio et d’Espace musique sont présentées devant public.
Plusieurs vedettes de Radio-Canada tiendront ou ont tenu des séances de signatures d’autographes, dont Michel Barrette, France Beaudoin, Renée-Claude Brazeau, Annie Brocoli, Véronique Cloutier, Michel Desautels, Boucar Diouf, Anne-Marie Dussault, Simon-Olivier Fecteau, Liza Frulla, Céline Galipeau, Alain Gravel, René Homier-Roy, Patrick Labbé, Julie Le Breton, Patrice L’Écuyer, Joël Legendre, Luc Langevin, Pénélope McQuade, Patrice Roy, Joey Scarpellino et Charles Tisseyre.
Des activités partout au pays
Les stations de Radio-Canada de partout au pays organisaient samedi des activités permettant au public de découvrir leurs installations et de rencontrer les artisans dans plus de 30 villes, dont Moncton, Sept-Îles, Rimouski, Chicoutimi, Québec, Trois-Rivières, Sherbrooke, Ottawa, Toronto, Winnipeg, Regina et Vancouver. Une carte interactive permet de connaître l’ensemble des activités offertes.
Fête et Journées de la culture
De nombreuses autres institutions culturelles ouvrent leurs portes d’un océan à l’autre jusqu’à dimanche dans le cadre de la Fête et des Journées de la culture.
Au Québec, la 15e édition des Journées de la culture se déroule jusqu’à dimanche sous le thème « Culture à volonté ».
Plus de 2500 organismes et près de 10 000 artistes, artisans et travailleurs culturels présentent cette année encore des milliers d’activités culturelles gratuites dans 345 municipalités québécoises.Dans les villes et villages de la province, ces petites et grandes activités permettent aux citoyens de participer ou d’assister à des performances artistiques tous azimuts, de la danse aux arts visuels, de la joaillerie au chant.
Pour une deuxième année consécutive, la Fête de la culture, inspirée du modèle des Journées de la culture créé au Québec en 1997, a lieu aux mêmes dates, dans les autres provinces.
Sur le site web des Journées de la culture, vous pouvez rechercher l’activité qui vous convient selon vos champs d’intérêt, votre région ou encore votre âge. Sur celui de la Fête de la culture, vous pouvez créer votre horaire personnalisé.