Posts Tagged ‘Albert II’

La fille présumée d’Albert II de Belgique s’adresse à la justice

septembre 9, 2013

« Déterminée » à prouver que l’ex-roi des Belges Albert II est son père, l’artiste plasticienne Delphine Boël a introduit lundi une procédure en reconnaissance de paternité devant le tribunal de Bruxelles. Ce dernier a fixé à septembre 2014 les plaidoiries.

A 45 ans, celle qui serait née de la longue liaison de sa mère, Sybille de Sélys Longchamps, et d’Albert, alors prince héritier, s’était décidée en juin à obtenir en justice la reconnaissance que l’ex-roi a toujours refusée de lui accorder.

L’abdication le 21 juillet d’Albert II, qui jusque-là était protégé par une immunité totale, au profit de son fils Philippe, a obligé Delphine Boël à modifier sa stratégie judiciaire.

Après avoir abandonné le 2 septembre une première plainte, ses avocats ont introduit une nouvelle procédure devant le tribunal de première instance de Bruxelles, qui a donné aux parties jusqu’au 7 juillet 2014 pour échanger leurs conclusions. Les plaidoiries auront ensuite lieu en septembre.

Test ADN en vue

L’action de Delphine Boël devra se dérouler en deux phases. Elle va d’abord contester la paternité de son père légal, Jacques Boël, qui était alors le mari de sa mère et dont elle porte le nom. Très discret jusqu’ici, celui-ci devrait faire connaître sa position aux parties dans les prochains jours, a indiqué lundi son avocat.

Si cette première étape aboutit, la jeune femme pourra alors enclencher la procédure visant Albert II, qui conteste formellement être son père.

Delphine Boël pourrait recevoir le soutien du fils cadet de l’ancien roi de 79 ans, le prince Laurent. Selon son avocat, il est « plausible » que Laurent accepte de se soumettre à un test ADN pour aider à déterminer l’existence ou non d’un lien de parenté entre la jeune femme et la famille royale.

Photos dans la presse

L’avocat de Delphine Boël, Alain De Jonge, a « pris acte » lundi de cette possibilité, ajoutant que sa cliente restait « déterminée ».

Albert II avait évoqué en 1999 « la crise » que son couple avait traversée dans les années 1960 et 70, mais il n’a jamais reconnu officiellement que Delphine Boël était sa fille. Les photos publiées récemment dans la presse belge montrant Albert II en compagnie de Delphine enfant « ne prouvent pas » qu’il est son père, a expliqué l’avocat du Palais, Guy Hiernaux.

Romandie.com

La Belgique célèbre son nouveau roi, Philippe

juillet 21, 2013
Le prince Philippe de Belgique et son épouse, la princesse Mathilde, à Bruxelles le 21 juillet. © AFP

Le prince Philippe de Belgique et son épouse, la princesse Mathilde, à Bruxelles le 21 juillet. © AFP

Albert II a abdiqué dimanche en faveur de son fils Philippe, qui devient le septième roi des Belges le jour de la fête nationale, avec l’espoir de préserver l’unité d’un pays divisé.

A l’issue d’un règne de 20 ans, Albert, 79 ans, a signé son acte officiel d’abdication à 10H45 (08H45 GMT), lors d’une cérémonie dans la grande salle du trône du Palais royal de Bruxelles.

Philippe, 53 ans, doit prêter serment à 12H00 (10H00 GMT) devant les chambres réunies, à quelques centaines de mètres du Palais. Dans sa dernière adresse à la Nation, le souverain a de nouveau appelé les responsables du pays à « travailler sans relâche à la cohésion de la Belgique ».

La voix brisée par l’émotion, il a rendu hommage à son épouse Paola, qui l’a « constamment soutenu dans (sa) tâche ». « Je voudrais simplement lui dire merci ». « Et un gros kiss! », a-t-il ajouté en sortant de son discours écrit. Il a alors été acclamé par tous les dignitaires rassemblés. Paola et la future reine Mathilde n’ont pu retenir leurs larmes.

La journée avait commencé peu après 09H00 (07H00 GMT) par un Te Deum en la cathédrale Saints Michel et Gudule de Bruxelles, en présence de la famille royale au grand complet. Le roi Albert II et son fils Philippe, en grand uniforme, ainsi que leurs épouses Paola et Mathilde, ont été longuement acclamés à leur arrivée par quelques centaines de personnes.

Mathilde, soutien actif et atout charme

« C’est vraiment une fête à ne pas manquer, une triple célébration. C’est une nouvelle page pour la monarchie », se réjouissait Maximilien De Wouters, un étudiant 24 ans drapé dans un drapeau national noir, jaune et rouge.

Le nouveau roi, qui aurait pu succéder à son oncle après la mort brutale du roi Beaudoin en 1993, n’avait alors pas été considéré comme prêt à assumer la fonction. Vingt ans plus tard, le doute subsiste en raison de quelques propos maladroits et de son manque persistant d’aisance en public.

Il pourra compter sur le soutien actif de Mathilde, populaire, compétente et atout charme de la monarchie depuis leur mariage en 1999. A 40 ans, elle deviendra la première reine d’origine belge de l’histoire du pays.

« Philippe, tu as toutes les qualités de cœur et d’intelligence pour très bien servir notre pays dans tes nouvelles responsabilités », a affirmé Albert II dimanche matin. « Toi et ta chère épouse Mathilde avez toute notre confiance ».

La monarchie est présentée comme un des derniers symboles d’unité du pays, devenu un Etat fédéral au fil des crises politiques qui se sont succédé ces 40 dernières années. Défendue dans le sud francophone du pays, elle est remise en cause dans le nord néerlandophone, particulièrement par les indépendantistes de la N-VA, républicains par principe et à tout le moins partisans d’une monarchie purement protocolaire.

Au balcon du Palais

La preuve en a été fournie cette semaine lors des dernières visites officielles du couple royal. Albert et Paola ont été accueillis dans une quasi-indifférence par quelques centaines de personnes à Gand, deuxième ville de Flandre, alors qu’ils étaient acclamés par des milliers de personnes à Liège, en Wallonie, lors d’une « joyeuse sortie » marquée par l’émotion et les appels à l’unité du pays.

Le règne d’Albert II a été ponctué par plusieurs crises politiques, particulièrement après les élections de 2010 où les partis avaient mis 541 jours, un record mondial, pour former un gouvernement. Le roi avait alors joué un rôle majeur pour sortir de l’impasse.

A l’approche des élections législatives de 2014, qui devraient voir une nouvelle poussée des indépendantistes flamands, une majorité de Belges auraient préféré que le vieux monarque reste encore sur le trône malgré sa santé déclinante. Dans ce contexte, l’intronisation de Philippe sera marquée par la sobriété. Le programme conçu pour célébrer la fête nationale du 21 juillet a été à peine modifié.

Après la prestation de serment, le nouveau couple royal apparaîtra au balcon du Palais avant d’assister au traditionnel défilé militaire et de prendre un bain de foule au milieu des animations auxquelles sont attendues plusieurs centaines de milliers de personnes dans le centre de Bruxelles.

Aucune tête couronnée ou dirigeant étranger n’a été invité aux cérémonies. La seule personnalité est le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, venu en voisin.

Jeuneafrique.com

ALERTE – Le roi des Belges, Albert II, annonce sa décision d’abdiquer

juillet 3, 2013

BRUXELLES – Le roi des Belges, Albert II, a annoncé mercredi, dans une allocution à la nation, son intention d’abdiquer le 21 juillet, jour de la fête nationale, en faveur de son fils aîné, le prince Philippe.

C’est avec sérénité et confiance que je vous fais part de mon intention d’abdiquer ce 21 juilet 2013, jour de notre fête nationale, a déclaré le roi Albert, en justifiant sa décision par son âge (79 ans) et ses problèmes de santé après vingt ans sur le trône.

Romandie.com avec (©AFP / 03 juillet 2013 18h09)

Albert II de Belgique attaqué en justice pour reconnaissance de paternité

juin 18, 2013

Delphine Boël veut prouver qu’elle est la fille légitime du roi

ALBERT II DE BELGIQUE

La famille royale de Belgique est en pleine tourmente. Le roi Albert II, le prince Philippe et la princesse Astrid sont cités à comparaitre devant la justice belge par Delphine Boël qui demande à être reconnue comme la fille légitime du souverain.

«Je suis sa chair, son sang, comment peut-on imaginer que j’ai pu avoir envie de lui faire du mal!». Ces mots, recueillis par Gala en 2008, étaient ceux de Delphine Boël, fille illégitime d’Albert II qui déplorait à l’époque que celui qu’elle affirme être son père la rejette. Aujourd’hui, elle brise le silence, change de tactique et saisit la justice. Cette femme de 45 ans cite à comparaître le roi, le prince Philippe, 53 ans, et la princesse Astrid, 51 ans, pour prouver qu’elle est la fille naturelle d’Albert II.

Bruno Nève de Mévergnies, porte-parole du Palais, a déclaré que la famille royale «ne se prononcerait pas» puisque cette action en justice relève «de la vie privée» mais glisse malgré tout qu’«on peut deviner l’objet de cette démarche».

Si les enfants d’Albert II sont cités, c’est parce que le roi ne peut faire l’objet d’un test ADN. Delphine Boël veut donc se servir du sang du prince Philippe et de celui de la princesse Astrid pour prouver qu’elle est bien leur sœur et donc que le monarque est son père. Le constitutionnaliste Marc Uyttendael explique à la RTBF qu‘«en droit constitutionnel belge, c’est radicalement impossible» de viser directement le roi «alors peut-être est-il possible de contourner cet écueil en faisant référence à certaines dispositions de droit international…», en l’occurrence la convention européenne des droits de l’homme qui place au même niveau enfants naturels et légitimes.

Delphine Boël a récemment été déshéritée par son père, celui dont elle porte le nom légal, Jacques Boël. Sa mère est la baronne Sybille de Selys Longchamps qui aurait eu une longue liaison dans les années 60 avec Albert II, alors qu’il n’était que prince de Liège. L’existence de Delphine, née de cette histoire, n’a été révélée qu’en 1999 et celui qui n’était pas encore roi l’avait alors à peine reconnue.

Aujourd’hui, Delphine Boël a bien l’intention de faire éclater la vérité et s’interroge, faussement naïve: «Je ne comprends pas ce silence et cette façon de gérer l’histoire. Je pense que la situation serait beaucoup plus facile si mon père et moi on se voyait tout à fait normalement». La justice tranchera, l’affaire est pour l’instant reportée au 25 juin.

Gala.fr par Jean-Christian Hay

3000 euros d’amende pour avoir insulté Albert de Monaco sur Facebook

avril 24, 2013

Son statut égratigné sur Facebook 

 
3000 euros d’amende pour avoir insulté Albert de Monaco sur Facebook

 
3000 euros d’amende pour avoir insulté Albert de Monaco sur Facebook3000 euros d’amende pour avoir insulté Albert de Monaco sur Facebook3000 euros d’amende pour avoir insulté Albert de Monaco sur FacebookAlbert II de Monaco
 

Un homme qui avait une dent contre Albert II de Monaco et sa famille a été condamné hier pour les avoir insultés sur internet.  

Colère, alcool, réseau social et tête couronnée, c’est le cocktail qui a conduit un homme devant la justice hier. Comme le rapporte l’AFP, un photographe indépendant de 46 ans a été condamné par le tribunal correctionnel de Monaco pour avoir insulté Albert II de Monaco sur sa page Facebook. Le 22 novembre dernier, l’homme avait posté un cliché de son passeport monégasque brûlé agrémenté de commentaires insultants contre le souverain et sa famille.

Devant le tribunal, il a expliqué que son geste avait été motivé par « un contentieux avec le service de presse du palais ». Une rancœur exarcerbée par le fait qu’il s’était « remis à boire ». L’homme a ensuite fait son mea culpa : « J’ai perdu la tête. Je suis maintenant suivi par des médecins et je regrette mes propos », a-t-il assuré. Le tribunal l’a condamné à une amende de 3000 euros assortie d’une obligation de soins pour traiter ses problèmes d’alcool.

En 2011, un Français de passage à Monaco avait également subi les foudres de la justice pour avoir insulté le prince. Toujours sur fond d’alcool, cet homme avait fait du grabuge dans un bar parce qu’on refusait de le servir vu son état. A l’arrivée des policiers, il n’avait rien trouvé de mieux que d’injurier Albert II de Monaco. Conduit en cellule de dégrisement, il avait été condamné le lendemain à six jours de prison ferme pour insulte publique au souverain, un crime de lèse majesté selon la loi monégasque.

Voici.fr par C.G.

Albert II de Monaco : nargué par la mère de son fils ?

juillet 2, 2011

Que cherche Nicole ?

Albert II de Monaco : nargué par la mère de son fils ?Le mariage d’un ex, c’est toujours douloureux, surtout quand celui-ci est le père de votre enfant. Nicole Coste qui a vécu une vraie histoire avec Albert II de Monaco est venue la lui rappeler en se promenant sous son nez.

Monaco voit sa population doubler ces derniers jours : tout le monde veut être de la noce.

Mais dans la foule qui parcourt les rues monégasques, on n’a vu qu’elle. Nicole Coste, la mère du petit Alexandre, le fils illégitime qu’Albert II de Monaco a fini par reconnaître. Mais que venait donc faire l’ancienne hôtesse de l’air sur le Rocher, elle qui réside à quelques kilomètres de là, à Villefranche-sur-Mer ?

Nicole espère-t-elle faire douter le Prince en se rappelant à son bon souvenir ? Les ex-amants ont une relation passionnée durant six années, Albert II n’hésitant pas à emmener Nicole lors de ses déplacements ou de ses soirées.

Lorsque le conte de fée s’est terminé (Rainier n’étant pas ravi ravi d’avoir une hôtesse de l’air comme future belle-fille), Nicole est repartie le cœur lourd avec un dernier cadeau du prince Albert : leur fils, Alexandre qui naîtra quelques mois plus tard, le 24 août 2004, à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul, à Paris.

La seule visite que Nicole recevra est celle d’un émissaire d’un laboratoire français accrédité par l’Institut médico-légal suisse qui viendra faire un prélèvement sur le petit garçon. Les résultats seront sans appel : Albert II de Monaco est bien le père du petit Alexandre. Nicole se battra ensuite âprement pour que celui-ci reconnaisse publiquement son fils, allant jusqu’à dévoiler leur histoire dans Paris Match. Attitude payante puisque Albert reconnaît enfin l’enfant le 8 juillet 2005.

Alors que cherche Nicole Coste en se baladant ostensiblement dans les rues de Monaco ? Un retour de flamme d’Albert II ? Ou vient-elle tourner définitivement la page d’une belle histoire ?

Voici.fr

Albert II et Charlene: lune de miel en Afrique du sud

juin 10, 2011

Un mariage à 5.200 euros la nuit

Après la célébration de leur mariage les 1er et 2 juillet prochain, le prince Albert II de Monaco et son épouse devraient s’envoler pour l’Afrique du Sud afin d’ y passer leur lune de miel.

Franchement, l’hôtel à l’air sympa. People.com croit savoir où le prince Albert II de Monaco et Charlene Wittstock mettront le cap pour leur voyage de noces. Les jeunes mariés devraient roucouler en Afrique du Sud, le pays d’origine de la future princesse de Monaco. Ils séjourneraient au Oyster Box, un établissement fort luxueux situé à 20km au nord de Durban, face à l’océan Indien.

Un proche du couple a confirmé l’information à People : « C’est un lieu unique en Afrique du Sud. Depuis des générations, c’est l’endroit privilégié des Sud-Africains pour les célébrations nuptiales, il attire également de nombreuses célébrités du monde entier. » On comprend. En surfant sur le site du Oyster Box, on est bien tentés de casser le Codevi pour partir y passer quelques nuits.

Enfin, en optant pour une autre chambre que celle choisie par le couple princier. Albert et Charlene auraient en effet craqué pour la suite présidentielle à 5 200 euros la nuit. Quand on aime, on ne compte pas. D’autant plus si l’on en a les moyens.

Voici.fr C.G.