Posts Tagged ‘alphonse’

Côte d’Ivoire: Alphonse Djédjé Mady annonce sa candidature à la présidence du Pdci

août 21, 2013

Le secrétaire général du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, ex-parti unique), le Pr Alphonse Djédjé Mady a annoncé mercredi à Abidjan, sa candidature à la présidence de ce parti, estimant que  »M. Bédié est disqualifié par les textes ».

Cette information qui était jusque-là au stade des rumeurs a été confirmée par M. Mady au cours d’une conférence de presse tenue au siège du Pdci, situé dans la commune de Cocody où résident les ambassadeurs.

‘’Je suis candidat à la présidence du Pdci parce que Bédié est disqualifié par les textes du parti ‘’, a déclaré le secrétaire général du Pdci, soulignant qu’il ‘’n’est candidat contre personne ».

Alphonse Djédjé Mady rejoint ainsi, Bertin Kouadio Konan dit KKB, président de la jeunesse du Pdci, qui a déjà déclaré sa candidature à la présidence de son parti.

Le président sortant du Pdci, Henri Konan Bédié, a accédé samedi à Yamoussoukro, au vœu de près 3000 secrétaires généraux de sections, en acceptant d’être candidat à sa propre succession à la tête dudit parti lors du 12ème congrès ordinaire prévu du 3 au 5 octobre prochain.

Cette annonce officielle de la candidature du Pr Alphonse Djédjé Mady, intervient alors que des divergences sont notées au sein du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp, coalition au pouvoir) après le conclave des secrétaires généraux du Pdci tenu samedi à Yamoussoukro.

A cette occasion, le Pdci a dénoncé sa mise à l’écart dans la gestion du pouvoir d’Etat, en dépit de sa contribution à l’élection du candidat du Rassemblement des Républicains (Rdr), Alassane Ouattara.

‘’Nous notons la mise en chômage des cadres du parti par leur remplacement systématique du fait de la politique du rattrapage’’, avait estimé le conclave de Yamoussoukro, en invitant à la ‘’promotion équilibrée et équitable’’ des cadres du Rhdp sans distinction.

Le Rhdp est composé de quatre partis politiques. Il s’agit du Rdr, du Pdci, de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (Udpci) et du Mouvement des forces de l’avenir (Mfa).

APA- Abidjan (Côte d’Ivoire)

Le ministre Alphonse Douati aurait été conduit vers une destination inconnue.

octobre 26, 2012
 
Réconciliation
© Abidjan.net par Nathan KONE
Réconciliation Nationale: Le Président de la CDVR Charles Konan Banny a reçu une délégation du FPI
Mercredi 28 Mars 2012. Cocody Riviera. Le Président de la commission Dialogue Vérité et Réconciliation a échangé avec une délégation du Front Populaire Ivoirien conduite par le Président par Intérim Miaka Oureto et composée des ministres Alphonse Douati (Photo), Danon Djedjé et de Mme Odette Lorougnon

Le jeudi 25 octobre 2012, aux environs de 19h00, des militaires lourdement armés ont extrait – de sa cellule de la MACA – et conduit vers une destination inconnue le ministre Alphonse DOUATI, Secrétaire Général – Adjoint du FPI.

Ces hommes en armes – à bord de plusieurs véhicules 4X4 – ont fait irruption à la prison civile d’Abidjan vers 17h30. Quelques minutes plus tard, une soixantaine de détenus pro-GBAGBO dont le ministre DOUATI ont été rassemblés au parloir de la maison d’arrêt. Un fourgon cellulaire s’est avancé et, à l’appel de leur nom, les prisonniers ont été poussés à l’intérieur du véhicule.

Le Secrétaire Général-Adjoint du FPI a été le dernier à être embarqué. Le long cortège s’est ébranlé à la nuit tombée, suivi par une voiture de l’ONUCI. Quand les portes de la prison ont été refermées (par l’administration pénitentiaire), on s’est aperçu que le Secrétaire Général Laurent AKOUN avait été placé en isolement temporaire pendant toute la durée de l’opération « d’enlèvement ».

Le Secrétaire Général-Adjoint du FPI chargé de l’Action Gouvernementale, Alphonse DOUATI a été arrêté le 18 août 2012 à Abidjan, conduit à la DST puis à la MACA pour « …atteinte à la sureté de l’Etat… ». Son procès n’a pas encore été programmé.

Comme lui, de nombreux cadres du FPI – dont le Président AFFI N’guessan – sont incarcérés dans les prisons du nord de la Côte d’Ivoire depuis le 11 avril 2011. Eux-aussi ont été inculpés « de génocide, d’atteinte à la sureté de l’Etat, de crimes économiques… », à l’instar des membres du gouvernement AKÉ N’GBO qui ne sont pas en exil.

Une source proche du microcosme carcéral de la MACA affirme que « le ministre DOUATI a été conduit à la prison militaire d’Abidjan (MAMA) avant un éventuel transfert dans une prison du nord du pays…probablement à Korhogo. »

Cette « information » n’a pas (encore) été confirmée par les autorités.

Le SNACOM

Côte d’Ivoire : Arrestation à Abidjan de l’ancien ministre de Gbagbo, Alphonse Douati

août 20, 2012
Alphonse Douati

Alphonse Douati

Alphonse Douati, ancien ministre de la Production et des ressources halieutiques, sous le régime de Laurent Gbagbo, a été arrêté, le 18 août 2012, à son domicile, par des éléments de la DST.

Arrêté et mis sous les verrous dans le cadre des enquêtes sur différentes attaques intervenues dans la capitale économique, ses environs et à l’Ouest. Ce baron du FPI a été cité par des assaillants qui ont été interpellés durant les menaces à répétition dans le pays, notamment à Yopougon, prenant d’assaut un commissariat de cet arrondissement; à Dabou, à 50 km à l’ouest d’Abidjan, où les assaillants avaient visé le camp FRCI, les bases de la police et de la gendarmerie, tuant trois civils et ouvrant la prison d’où se sont évadés des dizaines de détenus. Mais aussi celle contre le poste frontalier de Pehekambly, le 13 août où des hommes armés avaient attaqué la position des FRCI au niveau du village de Bakoubly, également situé à la frontière entre le Liberia et la Côte d’Ivoire. Sans oublier l’attaque du camp d’Akouedo où des militaires avaient été tués et du poste de contrôle de l’armée à l’entrée d’Agboville (80 km au nord d’Abidjan).

Cette arrestation intervient après les attaques  aussi du siège du FPI, brûlant une voiture à sa devanture et d’un journal pro-Gbagbo,  le Temps, le samedi et dimanche.

Alphonse Douati, gardé au frais dans une prison d’Abidjan, n’a pu recevoir la visite de son avocat en raison de la fête du Ramadan.

Bernard NKOUNKOU

Ahoussou Jeannot et Djédjé Mady se « battent »

août 8, 2012

Le Premier ministre Jeannot Kouadio-Ahoussou n`est pas du tout content du Secrétaire général de son parti le PDCI-RDA, le Professeur Alphonse Djédjé Mady. Et il l`a signifié hier mardi 07 août 2012, dans une déclaration officielle avec les sceaux et armoiries de la République.

Le mécontentement du chef du gouvernement tire son origine d`une sortie dans les médias de Djédjé Mady. « Dans une déclaration en date du 03 août 2012, largement reprise dans la presse écrite et sur Radio France Internationale (RFI), le Professeur Alphonse Djédjé Mady, Secrétaire Général du PDCI-RDA s’est prononcé sur la situation sécuritaire en Côte d’Ivoire, suite aux incidents survenus dans plusieurs régions du pays.

Le Secrétaire Général du PDCI-RDA note que « cette situation de violences endémiques entretient un climat d’insécurité généralisée d’autant plus préoccupante qu’elle constitue une grave menace sur la coexistence pacifique des communautés et sur la stabilité voire sur la survie de la nation ». Il en appelle donc à Monsieur le Président de la République et au Gouvernement pour la mise en œuvre urgente de mesures visant à garantir la sécurité des personnes et des biens sur l’ensemble du territoire national », rappelle le Premier ministre.

Dans sa réplique, Ahoussou Jeannot « note avec regret qu’une telle déclaration est de nature à conforter les manœuvres de certaines personnes dont le seul objectif est de faire croire, par des actes d’agressions ciblées, à une insécurité généralisée dans le pays ».

Après avoir énuméré une série d`actions énergiques engagées par le gouvernement en vue de faire régner la sécurité et ramener durablement la paix (encasernement et restauration de la discipline au sein des FRCI, réhabilitation des camps militaires, commissariats de Police et brigades de Gendarmerie, poursuite du DDR, collecte et destruction des armes légères, équipement des FRCI, policiers et gendarmes, etc.), le Premier ministre fait remarquer que « les récents événements survenus dans le pays, pour aussi regrettables qu’ils soient, ne traduisent en aucune manière une inertie du Gouvernement, encore moins une insécurité généralisée dans le pays ». Aussi, Jeannot Kouadio-Ahoussou s`offusque-t-il de la déclaration de son camarade de parti. Dans la mesure où, explique-t-il, le PDCI-RDA qui est membre du RHDP, la coalition politique au pouvoir, est aussi comptable de l`action gouvernementale. A ce titre donc, reproche Ahoussou, le Secrétaire général du PDCI-RDA ne devrait pas fragiliser le gouvernement, dont le premier responsable est issu de son parti. « Dans un tel contexte, la sortie du Secrétaire Général du PDCI-RDA apparaît inopportune et inconvenante, d’autant plus qu’elle a été faite sans que le Premier Ministre issu des rangs du PDCI-RDA, n’ait été consulté pour échanger sur des questions aussi délicates qui engagent le Gouvernement.

En effet, le PDCI-RDA ne peut être, à la fois, acteur de l’action gouvernementale et contradicteur public de l’action de ce même gouvernement, sans courir le risque majeur de le fragiliser », se justifie Me Kouadio-Ahoussou.

L’inter par ANASSE ANASSE

Côte d’Ivoire : après la démission de Soro, son avenir politique en question

mars 10, 2012

La démission de Guillaume Soro du poste de Premier ministre  ivoirien,  lui ouvre une voie royale vers la présidence de l’Assemblée nationale  et  pourrait faire de lui le dauphin constitutionnel estiment vendredi ses   partisans et dénoncent ses opposants.

L’élection du président de l’Assemblée nationale ivoirienne, deuxième personnage de l’Etat et dauphin  constitutionnel est prévue pour lundi prochain à Yamoussoukro, la capitale  politique (centre).

Guillaume Soro, élu député de la circonscription électorale de Ferkéssédougou  (nord), pourrait se présenter à ce scrutin, selon une source politique.

Jeudi, M. Soro et son gouvernement ont démissionné près de trois  mois après les élections législatives de fin 2011. Une démission acceptée par le  président ivoirien Alassane Ouattara qui a rendu un vibrant hommage à son « jeune  frère ».

« Il a brillamment occupé ce poste de Premier ministre », s’est félicitée Me  Affousy Bamba, membre de l’ex-rébellion des Forces nouvelles (FN, en voie de  dissolution), dont Soro est le chef.

« Il a démontré sa capacité à diriger. Je n’ai aucun doute qu’il ferait son  travail, si demain il était élu président de l’Assemblée nationale », a affirmé à  l’AFP Me Bamba, se présentant comme son « compagnon de lutte ».

« Qu’il rende sa démission ou qu’il soit pressenti comme président du  parlement, le plus important pour les Ivoiriens, est de retrouver la vraie  démocratie, la sécurité et la réconciliation », souligne Alphonse Douati, un  responsable du Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l’ex-président  ivoirien Laurent Gbagbo.

« Tout le reste n’est qu’un jeu de passe-passe entre copains ou on remplace  Pierre par Paul », a-t-il poursuivi, déplorant un « calcul politicien ». De  Guillaume Soro, il retient surtout l’image de « père de la rébellion en  2002 ».

Le poste de Premier ministre avait été promis fin 2010 au Parti démocratique  de Côte d’Ivoire (PDCI) de l’ancien président Henri Konan Bédié dans une  alliance politique avec le Rassemblement des républicains (RDR) du président  Alassane Ouattara, lors du scrutin présidentiel de novembre 2010.

« Laissons le destin s’accomplir »

Le PDCI a donc salué cette démission, soulignant une « promesse  tenue ».

« Il est de notoriété publique que le président du PDCI (M. Bédié, NDLR) était  préoccupé par la question et attendait que cette promesse se réalise », écrit le  Nouveau Réveil, le quotidien du PDCI.

Les Ivoiriens ont élu le 28 novembre 2010 Alassane Ouattara mais ce sont les  hommes de Guillaume Soro, plusieurs milliers de combattants de l’ex-rébellion  des Forces nouvelles (FN) rebaptisés Forces républicaines (FRCI), qui ont chassé  Laurent Gbagbo du pouvoir, avec l’appui décisif de l’ONU et de la France.

M. Soro avait alors été alors maintenu à son poste de Premier Ministre à la  fin 2010 gardant le portefeuille de ministre de la Défense, en raison du  contexte sécuritaire très trouble, avec pour mission première de ramener le  calme.

Elu député sous la bannière du RDR qui a obtenu la majorité, M. Soro a  justifié sa démission par le non cumul des mandats. « Ma qualité de député ne  me permet plus d’occuper des fonctions dans le pouvoir exécutif. C’est pourquoi  je décide de rendre ma démission ainsi que celle du gouvernement que j’ai  dirigé », a-t-il déclaré.

« Laissons le destin s’accomplir », a-t-il dit en quittant le palais  présidentiel d’Abidjan au volant de sa voiture, sans garde de corps.

Jeuneafrique.com avec AFP

Québec: prison pour un prêtre pédophile

février 10, 2012

http://platform.twitter.com/widgets/hub.1326407570.htmlUn prêtre québécois de 71 ans a été condamné vendredi à Québec à trois ans de prison pour des agressions sexuelles contre 13 garçons mineurs perpétrées entre 1973 et 1985. Le père Raymond-Marie Lavoie, religieux rédemptoriste, avait plaidé coupable en juillet dernier, ce qui a évité aux victimes d’avoir à témoigner sur les abus subis au Séminaire Saint-Alphonse, à Saint-Anne-de-Beaupré.
A l’issue de l’audience, son défenseur, Me Serge Goulet, s’est dit satisfait du verdict, selon des images transmises par la chaîne publique Radio-Canada. L’accusation, qui avait réclamé huit ans, a annoncé qu’elle allait faire appel.
La juge avait d’une part estimé que les risques de récidive étaient faibles et d’autre part que la position d’autorité du prêtre à l’époque des faits était une circonstance aggravante. Le prêtre est poursuivi aussi au civil, les victimes souhaitant obtenir d’importants dommages et intérêts.
L’Eglise catholique est éclaboussée depuis plusieurs années par une série de révélations d’abus sexuels commis en son sein contre des mineurs et souvent occultés par l’institution. Au Canada, plusieurs groupes de victimes ont obtenu des dommages intérêts atteignant au total des millions de dollars.

Lefigaro.fr