Posts Tagged ‘Altercation’

« Fasciste ! » : vives tensions en marge du discours d’Éric Zemmour à Ajaccio

octobre 9, 2021

Des altercations ont éclaté entre partisans du polémiste et militants indépendantistes et de gauche lors d’une réunion publique samedi après-midi en Corse.

« Le nationalisme corse n’est pas une maladie, c‘est le symptôme d’une France qui n’est plus en mesure de répondre aux attentes des Corses », a déclaré Éric Zemmour.© MAGALI COHEN / Hans Lucas via AFP

« Fasciste », « raciste », « xénophobe »… Les invectives ont fusé aux abords du port Tino-Rossi à Ajaccio samedi après-midi. De vives tensions ont eu lieu en marge d’une réunion publique d’Éric Zemmour, en déplacement pour la promotion de son livre La France n’a pas dit son dernier mot. Le polémiste n’était pas encore arrivé sur le quai d’honneur lorsque des altercations ont éclaté entre ses partisans et des militants indépendantistes et de gauche.

Des coups ont été brièvement échangés entre les deux camps. Plusieurs personnes ont été blessées au cours de ces échauffourées, obligeant les gendarmes mobiles à disperser les deux groupes d’individus. « Nous sommes venus dire à Éric Zemmour qu’il n’est pas le bienvenu chez nous », assène un jeune militant du parti nationaliste Core in Fronte.

Au moment où l’essayiste s’adressait à une foule de quelque 300 personnes venues écouter son discours sur le quai l’Herminier, un camion équipé d’un système de haut-parleurs a diffusé des slogans antifascistes à l’endroit de ses partisans, parmi lesquels figuraient des militants du parti souverainiste d’extrême droite Forza Nova. « La Corse a toujours été une terre d’accueil et nous pensons que la diversité est une richesse, contrairement à ce que véhicule Zemmour, appuie un militant de la CGT, parmi les manifestants. Nous sommes là pour lui faire comprendre qu’il ne fait pas l’unanimité. »

« Quand on veut me faire taire, je parle encore plus »

Ces vives tensions n’auront toutefois pas empêché le probable candidat à l’élection présidentielle de rencontrer le public corse en marge de sa réunion. « Quand on veut me faire taire, je parle encore plus », a prestement balayé Éric Zemmour face à la presse, avant de répondre aux « antifascistes de salon » : « Le nationalisme corse n’est pas une maladie, c‘est le symptôme d’une France qui n’est plus en mesure de répondre aux attentes des Corses. Le nationalisme se résoudra quand la France redeviendra grande. » Des propos qui ont été perçus comme une provocation par les nationalistes. Sur la place des Palmiers, où le polémiste a rejoint une librairie pour une séance de dédicaces, les pro et les anti-Zemmour se sont longuement fait face à coups d’invectives, les uns brandissant son livre, les autres des slogans antifascistes.

C’est dire si la venue de l’essayiste dans l’île n’aura pas été sans faire de remous. Vendredi, tandis que celui-ci s’apprêtait à débarquer à l’aéroport de Figari, 250 personnalités du monde culturel, politique et syndical insulaire ont signé une tribune dans Corse-Matin pour s’opposer à « l’idéologie » et aux « appels à la haine » d’Éric Zemmour. Dans la soirée, une première séance de signatures de son livre à Sartène avait été marquée par de vifs échanges entre Paul-Félix Benedetti, conseiller territorial du parti indépendantiste Core in Fronte, et le polémiste.

Avec Le Point de notre correspondant en Corse Julian Mattéi

France/Seine-Saint-Denis : altercation entre le maire du Bourget et la police qui porte plainte

avril 5, 2021

Sur Facebook, le syndicat de police Alliance 93 a dénoncé «un comportement inadmissible pour des élus de la République».

«Un comportement de voyou» : c’est en ces termes que deux syndicats de police sont montés au créneau vendredi 2 avril, dénonçant sur les réseaux sociaux l’attitude de plusieurs élus du Bourget (93) contre des agents de police lors d’une intervention vendredi 2 avril sur une résidence de la commune.

Aux alentours de 13h30, des agents de police du commissariat de La Courneuve interviennent à la demande du bailleur de la résidence du Gai Logis, au Bourget, pour procéder à l’enlèvement de véhicules ventouses sur le parking extérieur. « C’était une opération prévue, a rappellé David Goudenhooft, du syndicat Unité SGP Police 93 à nos confrères du Parisien. L’ambiance était un peu tendue avec les jeunes qui étaient là. Et elle a dégénéré lorsque nos collègues ont enlevé le troisième véhicule qui appartenait à un jeune de la cité. »

C’est à ce moment-là que Karima Miloudi, maire adjointe du Bourget, serait intervenue pour empêcher l’enlèvement du véhicule. « Elle est descendue d’un immeuble en disant aux policiers qu’ils n’avaient pas à prendre cette voiture, qu’elle était maire adjointe… Comme si sa fonction allait changer quelque chose, a rapporté au Parisien Stéphane Finance d’Alliance 93. La situation s’est très vite tendue, les policiers se sont fait insulter. »

«C’est moi qui donne les ordres ici !»

Des renforts policiers auraient par la suite été appelés tandis que Jean Baptiste Borsali, le maire DVD du Bourget, se rendait sur place. « La police a voulu procéder à l’arrestation d’un individu, mais le maire s’y est opposé. Il a saisi un collègue par le col, a invectivé un autre front contre front en disant «c’est moi qui donne les ordres ici !» Il y a eu un attroupement, tout le monde s’en est mêlé, les collègues ont dû utiliser du gaz lacrymogène », a poursuivi Stéphane Finance.

Selon une information du parquet de Créteil communiquée au Parisien, cinq individus ont été interpellés pour outrages sur personnes dépositaires de l’autorité publique, rébellion et violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique. Et le secrétaire régionale d’Alliance 93 de préciser qu’« au moins deux collègues ont déposé une plainte contre l’édile pour violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique».

Sur Facebook, Alliance PN 93 a dénoncé «un comportement inadmissible pour des élus de la République. C’est un comportement de voyou». Dans le même temps, le maire du Bourget a réagi sur Facebook dans un communiqué, indiquant avoir saisi l’Inspection générale de la police nationale, la police des polices, «compte tenu des circonstances». L’édile a aussi assuré ne pas avoir touché un policier. « Je regrette d’ailleurs qu’en tant que premier magistrat de la ville la police ne m’ait pas prévenu directement pour me dire qu’il se passait quelque chose. Quand je suis arrivé, les voitures avaient déjà été enlevées, la situation était figée. J’ai voulu constater une interpellation, mais les forces de l’ordre m’ont dit que je n’avais rien à faire ici, alors que c’est justement mon rôle de venir constater ce qui se passe… », a-t-il indiqué au quotidien régional, espérant que l’enquête de l’IGPN « fera toute la lumière » sur cet incident.

«Les élus doivent agir dans le respect de la loi et ne pas entraver la Police qui agit dans le cadre de procédures. Ni tenter de bloquer un policier qui mène à bien sa mission ou le mettre en cause verbalement. Une enquête est nécessaire pour y voir clair», a pointé sur Twitter Vincent Capo-Canellas, sénateur (UDI) du Bourget et conseiller municipal d’opposition.

Avec Le Figaro

France: une fille de Marine Le Pen frappée lors d’une altercation

octobre 5, 2018

Nanterre – Une fille de la dirigeante de l’extrême droite française Marine Le Pen et l’un de ses cousins ont été frappés lors d’un différend qui s’est déroulé dans la nuit de jeudi à vendredi à Nanterre, dans la banlieue parisienne, a-t-on appris de sources policières.

Marine Le Pen a dénoncé vendredi une « agression gratuite » et précisé « n’avoir aucun élément » à ce stade laissant penser que sa fille avait été frappée parce qu’elle était l’enfant de la présidente du Rassemblement national (RN, ex FN).

Les faits se sont déroulés vers 2h40 du matin, à la sortie d’un bowling, à deux pas de la préfecture et du tribunal de Nanterre, à l’ouest de Paris. Alors que la fille de Mme Le Pen prenait l’air, deux hommes se sont approchés d’elle et se sont mis en tête de la réchauffer en lui frottant le corps car elle avait froid, selon une source proche du dossier.

Son cousin est alors intervenu pour éloigner les deux individus qui l’ont roué de coups avant de s’en prendre à sa cousine, toujours selon la même source.

La fille de la présidente du RN, âgée de 19 ans, et son cousin de 18 ans ont été frappés à coups de pieds et poings au visage et au corps.

La jeune femme a été transportée par les pompiers à l’hôpital « avec une suspicion de fracture du nez », selon une source policière.

Deux hommes, âgés de 32 et 47 ans, ont aussitôt été interpellés et placés en garde à vue au commissariat de Nanterre, chargé de l’enquête.

Tous deux très alcoolisés, ils ont dans un premier temps nié s’être rendu au bowling avant de reconnaître y être passés, sans apporter plus de précisions, selon une source proche du dossier.

Selon Marine Le Pen, « il n’y a pas eu de bagarre (…), il y a eu une agression, une agression gratuite de deux jeunes de 18 et 19 ans ».

« Hélas c’est le lot quotidien de beaucoup de nos compatriotes et de beaucoup de pères et de mères de famille qui, comme moi, ne voyons plus partir nos enfants pour une soirée étudiante ou pour un dîner entre amis avec tranquillité d’esprit », a ajouté la dirigeante politique en marge d’une visite au salon de l’automobile à Paris.

Mais « ce n’est pas une fatalité. C’est, je crois, la conséquence de choix politiques qui ont été faits depuis un certain nombre d’années », a dénoncé la finaliste de la présidentielle 2017 face à Emmanuel Macron.

Sa fille « a l’air d’aller mais elle est, comme toute jeune fille confrontée à ce genre de choses, choquée. Quant à son cousin il a pris un bon coup mais Dieu merci il n’y a rien de plus grave que cela », a-t-elle ajouté.

Le cousin de la jeune femme a porté plainte dans la nuit. Celle-ci devait porter plainte dans la journée, selon une autre source policière.

Romandie.com avec(©AFP / 05 octobre 2018 21h42)                                                        

Plainte contre l’épouse de Robert Mugabe après une altercation en Afrique du Sud

août 15, 2017

Robert Mugabe et son épouse, Grace, à Chinhoyi, le 29 juillet 2017. © Tsvangirayi Mukwazhi/AP/SIPA

La première dame du Zimbabwe, Grace Mugabe, est visée par une plainte pour agression en Afrique du Sud, où elle est soupçonnée d’avoir frappé deux femmes dans un hôtel de Johannesburg, ont indiqué mardi les autorités sud-africaines.

« Une plainte pour agression a été ouverte par deux femmes » contre Grace Mugabe, a déclaré Sizakele Nkosi Malobane, ministre de la Sécurité pour la province sud-africaine du Gauteng, qui englobe Johannesburg.

« Je veux condamner ses actions et j’espère que justice sera rendue », a-t-elle ajouté sur la radio Jacaranda FM, précisant qu’une des deux jeunes femmes souffrait de « graves blessures ».

Grace Mugabe « peut être arrêtée » malgré son passeport diplomatique, a déclaré pour sa part le ministre sud-africain de la Police, Fikile Mbalula, sur les ondes de radio 702, ajoutant que ses services étaient « en train de travailler sur l’affaire ».

Une des victimes présumées, âgée de 20 ans, assure qu’elle se trouvait avec les fils de Mme Mugabe et deux amis lorsque la première dame zimbabwéenne qui se trouvait dans une chambre voisine est venue les agresser dimanche soir.

« On était tranquillement dans notre chambre et elle est arrivée pour nous frapper. J’ai le front ouvert. Je suis mannequin et je gagne de l’argent grâce à mon look », a raconté Gabriella Engels au quotidien sud-africain The Times.

« Une plainte a été déposée à la police lundi, mais je ne peux pas en dire plus sur l’identité des personnes impliquées », a déclaré à l’AFP le porte-parole de la police Vish Naidoo.

Le gouvernement zimbabwéen n’avait pas réagi mardi matin au dépôt de plainte.

Grace Mugabe se trouvait en Afrique du Sud pour soigner une blessure au pied, selon les médias zimbabwéens.

A 52 ans, elle fait partie des favorites pour succéder à son mari à la tête du Zimbabwe.

Mais pour l’heure, Robert Mugabe, âgé de 93 ans, n’a pas l’intention de céder sa place : il est d’ores et déjà candidat à sa propre succession pour les élections de 2018.

Jeuneafrique.com

Thaïlande: trois touristes britanniques battus lors d’une fête traditionnelle

avril 28, 2016

Capture d'écran d'une vidéosurveillance montrant trois touristes britanniques agressés à Hua Hin, en Thaïlande.

Capture d’écran d’une vidéosurveillance montrant trois touristes britanniques agressés à Hua Hin, en Thaïlande.Police thaïlandaise

Un couple et leurs fils ont été battus, lors d’une soirée pour le nouvel an Thaï dans un complexe touristique à Hua Hin. Leurs assaillants les ont laissé inconscients, au sol.

Ce n’est pas ainsi qu’ils voyaient leurs vacances en Thaïlande... Trois membres d’une famille britannique qui participaient à une soirée pour le nouvel an Thaï dans un complexe touristique de Hua Hin ont été battus par un groupe d’assaillants, raconte The Guardian. Après une brève altercation verbale, le père, la mère et leurs fils ont reçu coups de poing et coups de pied avant de rester au sol, inconscients, comme le montrent les images capturées par la vidéo-surveillance.

Ces images de l’incident qui a eu lieu le 13 avril dernier ont été diffusées par la police locale pour tenter de retrouver quatre suspects. Trois jeunes hommes auraient été arrêtés puis relâchés sous caution, selon les médias britanniques. « Ils ont déclaré qu’ils étaient en état d’ébriété au moment des faits. Ils ont présenté leurs excuses à la famille », selon un responsable de la police thaïlandaise cité par le site Khaosod English. D’autres cas ont déjà entaché la réputation de la Thaïlande, comme le viol et l’agression de touristes français en début d’année, ou le meurtre de deux touristes britanniques en septembre 2014.

Les parents âgés d’une soixantaine d’années et leur fils quadragénaire ont été hospitalisés à la suite de cette agression qui a eu lieu en pleine rue, de nuit, sans que personne ne leur vienne en aide. Les deux hommes ont été blessés à la tête et la femme souffre de maux de tête. Ils devraient bientôt quitter le sol thaïlandais.

On ignore encore qui a provoqué l’altercation et ce qui l’a déclenchée. Par précaution, l’ambassade britannique a lancé une campagne sous le nom de #SongkranSafe, pour inviter les vacanciers à respecter les coutumes et les traditions de la fête de Songkran, pendant laquelle les familles s’aspergent d’eau pour procéder à rituel religieux. Par le passé, d’autres touristes ont été arrêtés pour conduite indécente alors qu’ils prenaient part à cette tradition sans Tshirt.

Lexpress.fr

Côte d’Ivoire/Assassinat de Robert Guéï: altercation entre le juge et la défense, l’audience suspendue

février 1, 2016

    

Le procès des présumés assassins du général Robert Guéï a été perturbé par une altercation entre le président du tribunal militaire et la défense ayant nécessité la suspension des débats durant une vingtaine de minutes.

A la reprise, Me Rodrigue Dadjé prenant la parole a présenté les excuses des avocats à l’origine du  »clash » au tribunal.

« M. le président, notre doyen d’âge, Me Djirabou nous a fait le compte rendu de votre rencontre. Nous en prenons acte. Mais si vous estimez que nos propos ont été déplacés et vexants, nous vous présentons toutes nos excuses. Me Blédé et moi, ce n’était pas notre intention », a déclaré Me Dadjé, relevant  »le manque de courtoisie » du parquet militaire.

A l’origine une « vive » opposition des avocats de la défense qui a noté  »des commentaires désobligeants du commissaire du gouvernement » à l’égard de leurs clients.

Invités à regagner leur box par le juge, Mes Dadjé et Blédé ont d’abord fait de  »la résistance » avant de s’exécuter. Interpellant le doyen des avocats, Me Mathurin Djirabou, pour « parler aux jeunes avocats », le président du tribunal l’a invité à une rencontre.

Apanews.net

Chris Brown prêt à coopérer avec la police pour éviter la prison

janvier 29, 2013
 
Chris Brown prêt à coopérer avec la police pour éviter la prisonChris Brown prêt à coopérer avec la police pour éviter la prisonChris Brown

En plus de ternir un peu plus sa réputation, la bagarre qui a éclaté avec Frank Ocean pourrait bien valoir à Chris Brown un petit séjour derrière les barreaux.

Qui dit vrai ? Ce n’est pas seulement la réputation de deux rappeurs qui est en jeu dans le conflit qui oppose Frank Ocean à Chris Brown, mais également la liberté de mouvements de ce dernier.

Selon un témoin interrogé par TMZ, c’est Chris qui aurait porté le premier coup lors de la bagarre survenue dimanche entre les deux hommes. Chris n’aurait pas supporté que Frank Ocean « pique » sa place de parking au studio d’enregistrement Westlake à Los Angeles et que, comble de l’outrage, il ait refusé de serrer la main qu’il lui tendait en signe d’apaisement.

Une vidéo de l’altercation existe. Problème : elle ne montre que le moment où la bagarre s’est déplacée dans l’entrée du studio. Impossible donc de savoir qui a donné le premier coup. Il s’agit pourtant d’une information capitale car s’il est prouvé que c’est bien Chris l’agresseur, il risque de passer quelques temps à l’ombre.

Le rappeur de 23 ans est en effet en probation après avoir frappé sa compagne Rihanna en 2009. Un ancien procureur fédéral a expliqué à Hollywoodlife que l’officier de probation de Chris pourrait l’interroger à propos de ce nouvel incident et envisager de le présenter devant Patricia Schnegg, la juge qui l’avait condamné à l’époque à cinq ans de mise à l’épreuve.

Dans le pire des cas, cette dernière pourrait annuler le jugement et condamner le rappeur a effectuer en prison la dernière année de probation qu’il lui reste.

L’avocat de Chris Brown a fait savoir que ce dernier était « prêt, désireux et capable de répondre à n’importe quelle question à ce sujet car il n’avait rien à se reprocher ». On signalera quand même que le rappeur a filé avant l’arrivée de la police au studio d’enregistrement, sur les conseils de ce même avocat.

Il faut dire que Chris Brown a une fâcheuse tendance à se retrouver là où ça castagne. La malchance sans doute…

Voici.fr par P.S.B

Premier League – Balotelli et Mancini en viennent aux mains

janvier 3, 2013

Balotelli contre son entraîneur Mancini

Balotelli contre son entraîneur Mancini

Incroyable scène à l’entraînement de Manchester City : Roberto Mancini et son attaquant Mario Balotelli ont dû être séparés après une altercation houleuse. Cette fois, le divorce est sans doute consommé.

Cette fois-ci, le point de non-retour a été atteint. Mario Balotelli s’est tiré une balle dans le pied à l’entraînement ce jeudi en s’en prenant physiquement à son entraîneur Roberto Mancini après une gueulante du technicien italien. Le point de départ : un tacle rugueux de l’attaquant sur un coéquipier (il s’agirait de Scott Sinclair). Mancini est alors sorti de ses gonds et est venu pester auprès de son joueur. Irrité, l’international transalpin a grimacé puis le ton est monté entre les deux hommes.

Sous les yeux du reste de l’équipe, Roberto Mancini, hors de lui, a commencé à empoigner Mario Balotelli. Excédé, ce dernier a agrippé à son tour son coach. Ils ont finalement été séparés par d’autres membres du staff. Et si l’entraîneur a eu la première réaction malheureuse, c’est évidemment, selon les règles tacites du football, l’attaquant qui est en tort. Coupable de n’avoir pas laissé hurler son technicien sans répliquer.

Sur les images, on voit Mario Balotelli intimidant son coach, tandis que Roberto Mancini semble être en déroute. Furieux, il a continué à manifester sa colère en regagnant le vestiaire. C’est peut-être la goutte d’eau qui va faire déborder le vase. Ce nouvel incident, plus grave que les précédents, arrive aux premiers jours du mercato hivernal. Sûrement pas anodin.

Eurosport.com par William-Alexandre PROUST

Justin Bieber cause malgré lui la mort d’un paparazzi

janvier 2, 2013

L’année débute mal pour le chanteur

Traqué en permanence par une horde de paparazzi, Justin Bieber a involontairement causé la mort de l’un d’entre eux à Los Angeles. Le photographe a été renversé par une voiture alors qu’il pourchassait le bolide du chanteur.

La relation tourmentée entre Justin Bieber et les paparazzi prend un nouveau tournant.

Selon TMZ, un chasseur de stars aurait été tué alors qu’il tentait de photographier le chanteur dans sa Ferrari à Los Angeles.

Alors que le bolide de la star canadienne était immobilisé pour des des contrôles de routine, le paparazzi a voulu s’approcher au plus près de la scène (malgré les injonctions des policiers) pour prendre quelques clichés.

Il aurait alors été fauché de plein fouet par un autre véhicule de la police de l’autoroute de Californie.

TMZ précise que le photographe aurait été tué sur le coup. L’alcool et la drogue ne seraient pas la cause de l’accident selon le site people américain. Quant à Justin Bieber, le site assure qu’il n’était pas au volant de sa Ferrari au moment des faits.

«On ne sait pas exactement qui était présent dans le véhicule, souligne TMZ. Le boyfriend de Selena Gomez n’était pas au volant mais à l’heure actuelle il est difficile de savoir s’il était passager ou non.»

Reste que ce tragique accident intervient un mois après une autre altercation de Justin Bieber avec un paparazzi. Le chanteur n’a jamais caché qu’il avait beaucoup de mal à supporter la traque dont il était objet. Ce fait divers aura-t-il valeur d’électrochoc ? À suivre.

Gala.fr par A.M

Lindsay Lohan appelle la police pour arrêter son propre père

octobre 22, 2012

 

Encore des problèmes !

 
  • Lindsay Lohan appelle la police pour arrêter son propre pèreLindsay Lohan appelle la police pour arrêter son propre pèreLindsay Lohan appelle la police pour arrêter son propre père

Nooon… Lindsay Lohan n’est pas du tout une fille à problèmes. Sa vie est un long fleuve tranquille. Elle va biiiien.

Les frasques de Lindsay Lohan font couler de plus en plus d’encre. Vol, accident de voiture, procès, plainte, violences familiales, alcool… il devient désormais difficile de toutes les rappeler à chaque fois.

Revenons simplement sur la dernière en date, celle qui nous a bien attristés : une altercation vraiment violente avec sa mère il y a dix jours qui s’est soldée par une intervention de la police. Depuis, rien. Dix jours sans ennui. Nous étions presque en train de nous inquiéter !

>>> Lindsay Lohan : les vraies raisons de la dispute avec sa mère

Naïfs que nous avons été ! Lindsay s’est vite manifestée, et pas plus tard qu’hier. Hier après-midi, l’actrice a appelé la police pour qu’elle vienne arrêter Michael, son père. Ce dernier se serait introduit chez elle sans son accord, avec des renforts, et aurait tenté de l’emmener direct en rehab.

Sans vouloir porter de jugement sur Lindsay Lohan (oh que non, nous ne voudrions surtout pas la juger), nous avons trouvé l’initiative de son papa plutôt intéressante. Il n’en a manifestement pas été de même pour elle.

>>> Lindsay Lohan arrêtée après un accident de voiture

Lilo a donc décidé de le mettre son père dehors, avec l’aide de la police, expliquant qu’il avait vraiment fait une erreur en voulant intervenir dans sa vie comme ça et que maintenant avec lui, c’était fini.

« Il ne sait pas ce que ça veut dire d’être un père. Il ne veut pas être père. » a -t-elle conclu. Cette déclaration abrupte laisse un peu interdit (et un peu triste). Ce qu’on attend finalement, c’est un long livre qui reprendrait toute ces histoires depuis le début. Parce que là, on va avoir de plus en plus de mal à comprendre…

Voici.fr par