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Béatrice Dalle dit avoir « goûté l’oreille » d’un cadavre

février 2, 2016

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Béatrice Dalle, ici en novembre 2015, confie avoir goûté l’oreille d’un mort.

PHOTOPQR/LE PARISIEN

Béatrice Dalle, invitée sur le plateau du Divan mardi, assure avoir vendu des parties de cadavres lorsqu’elle était jeune et même avoir mangé une oreille sous l’effet de la drogue.

On connaît son passé sulfureux, mais cette anecdote, si elle s’avère vraie, est particulièrement morbide. Béatrice Dalle, 51 ans, est l’invitée de l’émission Le Divan de Marc-Olivier Fogiel, diffusée ce mardi 2 février. Quelques extraits ont filtré, notamment celui où l’actrice révélée par 37°2 le matin revient sur son goût pour les balades dans les morgues.

« Personne n’est venu se plaindre »

Marc-Olivier Fogiel l’interroge: « Vous ne faites plus un marché, on en parlait tout à l’heure, de parties de cadavres? » Béatrice Dalle répond, le sourire aux lèvres, à propos de cette pratique illégale: « Aujourd’hui, je ne vais plus dans les morgues avec mes potes zicos. On a fait ça deux, trois fois pour gagner un peu de sous. Personne n’est venu se plaindre tu vois. »

« On a goûté, c’était de l’oreille »

Pire, la comédienne confie s’être adonnée à la nécrophagie, en allant jusqu’à goûter l’oreille d’un mort, alors qu’elle était sous l’emprise de stupéfiant: « Ça ne m’effrayait pas, même une fois on s’était fait un plat, on voulait le manger parce qu’on avait pris un acide… Alors tu sais, on peut bien couper des mains quand on pense à le manger. » Elle précise dans un éclat de rire: « On a goûté, c’était de l’oreille. Olala c’est pas grave, de toute façon, le mec il s’est pas plaint hein, il sait même pas que j’ai mangé ses oreilles! »

Une confession dans la droite ligne du film Trouble Every Day, dans lequel le personnage incarné par Béatrice Dalle pratiquait le cannibalisme.

Lexpress.fr

Sénégal : Selbé Ndom, voyante et clairvoyante

avril 23, 2013
Malgré son succès, Selbé Ndom vit toujours dans un quartier populaire de Dakar. Malgré son succès, Selbé Ndom vit toujours dans un quartier populaire de Dakar. © Guillaume Bassinet pour J.A.

Ses prédictions ont propulsé Selbé Ndom sur le devant de la scène médiatique. Sportifs, artistes ou politiques, beaucoup veulent la consulter. Ses tarifs ? Ils sont à la tête du client.

En rupture de ban avec le président Abdoulaye Wade, Macky Sall était alors un homme politique au creux de la vague. Un jour de juillet 2009, Selbé Ndom le croise à un enterrement. S’approchant de lui, elle lui prédit qu’il sera le quatrième président du Sénégal. « En rêve, je t’ai vu défoncer la porte de Wade », lance-t-elle à celui qui n’est pas encore candidat. « Il m’a fixée du regard, raconte-t-elle, a pris mes mains dans les siennes et m’a demandé comment je m’appelais. »

Depuis, l’anecdote a fait le tour du pays, mais c’est à la lutte sénégalaise que Selbé Ndom doit sa notoriété. Ses prédictions sur l’issue de plusieurs combats se sont révélées d’une fiabilité troublante. En avril 2012, à la veille d’une rencontre très attendue entre le tout-puissant Yekini et son challenger, Balla Gaye 2, elle annonce que le lutteur mythique « va tomber du côté droit » et qu’il sera vaincu. Il en sera ainsi. Elle n’est pas démentie non plus quand elle annonce, pour Bombardier contre Tapha Tine, que « le sang va couler et [qu’]il y aura KO » Thierno Kâ, du Comité national de gestion de la lutte sénégalaise, veut relativiser et explique que « la lutte et le mysticisme se conjuguent depuis la nuit des temps. Tous les lutteurs vont voir un marabout. » Mais la légende Selbé Ndom est lancée.

À 40 ans passés, elle loue toujours un appartement dans un petit immeuble sans âge de Yeumbeul, une commune de la banlieue dakaroise. Sur la coursive du premier étage, la file d’attente ne faiblit pas. Pour plus de discrétion, les VIP (sportifs, artistes ou politiques) lui rendent visite à la nuit tombée. « Elle s’appuie sur le Coran et sur les cauris, confie un proche. Mais je pense que c’est en rêves qu’elle a ses visions. » Ses tarifs, elle dit les adapter à ses clients : de 7 euros pour les plus modestes à plus de 300 euros pour les plus fortunés.

Catastrophiste

Faut-il mettre sur le compte de la jalousie les prédictions apocryphes qui lui sont attribuées depuis un an et qu’elle conteste avec énergie ? En juillet 2012, un journal lui impute une annonce catastrophiste selon laquelle un avion s’écrasera sur le campus de l’université Cheikh-Anta-Diop de Dakar le 18 juillet. Devant sa porte, des grappes d’étudiants inquiets font le pied de grue dans l’attente d’une confirmation. Quelques semaines plus tard, un nouveau présage lui est imputé (là encore, elle nie en être la source) : elle aurait alerté Yahya Jammeh, le président gambien (fervent adepte du mysticisme), d’une menace de coup d’État. Elle aurait même préconisé, pour conjurer le mauvais sort, de faire couler le sang. En août 2012, lorsque plusieurs condamnés à mort sont exécutés en Gambie, divers médias sénégalais y voient une relation de cause à effet. « J’ai vu l’ex-épouse de Jammeh, admet la voyante. Je lui ai recommandé de faire des offrandes, mais je n’ai jamais rencontré le président ni auguré de sa chute. »

Malgré ces péripéties, la pieuse Selbé poursuit son bonhomme de chemin, se mêlant de politique ou de lutte au gré de ses visions. Elle dit avoir vu en rêve, avant qu’ils ne surviennent, les troubles du 23 juin 2011, lorsqu’un projet de réforme constitutionnelle avait fait descendre dans la rue des milliers de Dakarois ulcérés. L’année suivante, elle aurait anticipé « la chute de Sarkozy ». Et mi-mars, trois jours avant la convocation de Karim Wade devant le procureur qui le soupçonne d’enrichissement illicite, Selbé Ndom nous livrait à mots couverts cette prédiction : « En accablant Karim, il va le mettre dans la lumière ! »

Jeuneafrique.com par Mehdi Ba, à Dakar

François Hollande a enfin réalisé que sa cravate était de travers

décembre 28, 2012
François Hollande

François Hollande

« Pourquoi ne l’avez-vous pas dit avant ! »

Grosse révélation pour François Hollande lors de son voyage en Algérie la semaine dernière. Quand une responsable de la communication a indiqué au Président que sa cravate n’était pas droite, il aurait demandé, « énervé », pourquoi on ne lui avait pas dit plus tôt.

Depuis la dernière campagne présidentielle, il se passe quelque chose avec la cravate de François Hollande. Fugueuse, elle ne tient pas en place et va toujours se mettre sur le côté lorsqu’elle apparaît face aux caméras. Critiquée, décortiquée par de nombreux médias et largement moquée sur internet ( ici, un site un peu moqueur entièrement dédiée à l’accessoire fugueur) la petite pièce de tissu baladeuse est devenue un personnage à part entière, devenant encore plus célèbre que les manches inégalement relevées du Président. Forcément, on se demandait comment celui-ci avait fait pour ne pas se rendre compte que sa cravate ne filait pas droit.

Mais la semaine dernière, lors du déplacement de François Hollande en Algérie, c’était la fois de trop pour une responsable de la communication, qui est allée prévenir son patron. Paris Match, qui rapporte l’anecdote, raconte la réaction du compagnon de Valérie Trierweiler : celui-ci se serait mis à râler, et aurait répondu, « stressé » et « énervé » : « Pourquoi ne l’avez-vous pas dit avant, c’est votre métier ! » Au moins, maintenant, il est au courant.

Voici.fr par M.A

Johnny Hallyday n’est jamais allé à l’école

mai 3, 2012
Johnny Hally­day

Johnny Hally­day

Il a seché toute son enfance

Il n’a jamais été puni au tableau, n’a jamais été collé un mercredi et n’a jamais triché à un devoir de sa vie. Johnny Hallyday, élève modèle ? Non : le chanteur n’a tout simplement jamais mis les pieds dans une salle de classe.

C’est une anecdote marrante, mais au fond un peu triste : selon sa biographie  Johnny, l’incroyable histoire, les meilleures anecdotes, le chanteur n’est jamais allé à l’école de son existence.

Johnny n’a jamais connu les jeux d’une cour de récré, le stress d’une rentrée des classes, les copains qu’on retrouve d’une année sur l’autre, la cantine le midi, l’angoisse de la page blanche ou du devoir mal appris, les classes vertes, le goûter à la sortie… Bref, l’école !

Son enfance, Johnny, pur enfant de la balle, l’a passé à suivre les tournées de Desta, sa cousine maternelle et de son mari Lee Lemoine Ketchman, alias… « Hallyday ». À 11 ans, le gamin est déjà sur scène et occupe les spectateurs pendant les changements de costumes. À cette époque, inscrit à l’Ecole des Enfants du Spectacle, Johnny suit des cours par correspondance.

La suite, on la connaît, vers 14 ans il attrape le virus du rock qui ne le lâchera plus jamais. A la lumière de cette anecdote, on comprend mieux pourquoi il harcelait Adeline Blondieau, épousée alors qu’elle avait juste 19 ans, pour qu’elle n’assiste pas à ses cours et reste à ses côtés. L’éternelle école buissonnière.

Voici.fr par P.S.G