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France: Les corps de deux bébés retrouvés dans un appartement en Haute-Savoie

janvier 6, 2023
Les corps de deux bebes retrouves dans un appartement en Haute-Savoie
Les corps de deux bébés retrouvés dans un appartement en Haute-Savoie© AFP/JEAN-PHILIPPE KSIAZEK

Les corps de deux bébés ont été retrouvés à Rumilly (Haute-Savoie), à l’ouest d’Annecy, par les gendarmes, au domicile d’une femme qui les avait contactés en faisant part d’intentions suicidaires et qui a été hospitalisée.

Une information judiciaire a été ouverte vendredi « des chefs de meurtre sur mineur de moins de 15 ans », a annoncé le parquet d’Annecy dans un communiqué en début d’après-midi.

La découverte avait eu lieu quelques jours plus tôt, dimanche 1er janvier, en début d’après-midi, a-t-on expliqué de même source, confirmant les premières informations données par Le Dauphiné Libéré, qui a révélé l’affaire.

Au cours de l’appel au 17, la jeune femme, âgée de 35 ans, indique « avoir à son domicile les corps de deux bébés morts », a expliqué la procureure Line Bonnet.

Sur les indications de la trentenaire, les gendarmes, arrivés sur place, trouvent « deux dépouilles emmaillotées dans une valise ».

« Compte tenu de son état de santé, cette personne a fait l’objet d’une hospitalisation sous contrainte. Elle est toujours hospitalisée à ce jour et n’a pu être entendue par les enquêteurs », a précisé Mme Bonnet.

L’autopsie, réalisée mercredi à Grenoble, n’a pas permis de déterminer la date et la cause des décès, et des analyses complémentaires sont en cours.

« La présence d’un cordon ombilical sur un des deux corps permet de supposer toutefois qu’il s’agissait d’un nouveau-né », selon le parquet.

La jeune femme vivait en couple avec deux enfants nés en 2020 et 2021. Son compagnon depuis 2019, qui était à l’étranger depuis la mi-décembre, a été placé en garde à vue pour recel de cadavre jeudi à son retour en France, puis relâché vendredi peu avant midi, sans qu’aucune charge ne soit retenue contre lui.

« Choqué »

Les deux enfants du couple ont été confiés à l’aide sociale à l’enfance.

Dans le quartier, les voisins interrogés par l’AFP oscillaient entre choc et incompréhension. La famille habitait au dernier étage d’une résidence bien entretenue qui en compte quatre, entourée de verdure et d’arbres, et qui fait partie d’un ensemble au sein d’une cité résidentielle.

Les scellés étaient encore présents sur la porte de l’appartement du couple vendredi, faisant état d’une intervention le 1er janvier pour « homicide volontaire aggravé », ont constaté des journalistes de l’AFP.

« On est malade, on est choqué », confie une voisine de 56 ans. Selon elle, la famille concernée était arrivée dans l’immeuble il y a environ trois ans.

« C’est un quartier très bien, du jour au lendemain on entend ça, on a été surpris », déclare un autre voisin, Zine Hadjou, âgé de 75 ans, qui n’avait de son côté jamais croisé la famille.

Alexia Tisserant, qui se promène avec son nourrisson en poussette, a ressenti un sentiment d' »horreur » et de « stupéfaction »: « de la peur, de l’incompréhension, un peu de la haine », dit la jeune mère de 27 ans. « Je ne comprends pas ».

Les témoignages des voisins immédiats semblaient décrire une femme discrète. « Je lui disais bonjour, au revoir », raconte une voisine de 53 ans, qui décrit une femme « normale ».

Rumilly, commune située dans le parc naturel du massif des Bauges, compte environ 16.000 habitants.

Les investigations ont été confiées à la brigade des recherches d’Annecy et à la section de recherche de Chambéry, avec l’appui de la cellule d’identification criminelle d’Annecy.

Par Le Point.fr avec AFP

Congo/Miami: un appartement à 3 millions de dollars de Kiki Sassou saisi par la justice

juin 19, 2020

Le peuple congolais pour récupérer ses fonds doit s’attaquer aux receleurs et complices se trouvant aux Etats-Unis d’Amérique ou ailleurs. Après le boom et l’effondrement de l’immobilier à Miami il y a une décennie, l’un des nombreux acheteurs étrangers qui se sont précipités pour acheter un condo de luxe surplombant la baie de Biscayne était ministre du Parlement en République du Congo.

Denis-Christel Sassou NGUESSO, dont le père est président de la nation de l’Afrique centrale riche en pétrole depuis la fin des années 1970, a transféré des millions de dollars via un associé inconnu sur des comptes bancaires dans le sud de la Floride pour acheter le condo pour 2,8 millions de dollars dans la tour 900 Biscayne Bay, montrent les dossiers judiciaires. À la clôture de la vente, il a utilisé son pseudonyme, Denis Christelle.

Dans une affaire de confiscation civile déposée à Miami, les procureurs fédéraux disent que le fils du président a acheté l’appartement penthouse de 3500 pieds carrés avec de l’argent volé à la compagnie pétrolière nationale du Congo et poursuit pour saisir le condo dans ce qu’ils décrivent comme un prétendu «Complot international de blanchiment d’argent». Le condo au 900, boulevard Biscayne est répertorié comme défendeur dans l’affaire civile. NGUESSO et son épouse, Nathalie Bumba-Pembe, ne sont pas cités comme défendeurs et n’ont pas non plus été inculpés d’un crime.

Le «Congo condo» – le penthouse n° 6107 – a été acheté par NGUESSO en octobre 2012, mais il a transféré le titre de propriété à sa femme quatre ans plus tard pour cacher sa propriété, ont déclaré les procureurs.

L’unité de trois chambres et quatre salles de bain, située au sommet de la tour de 650 pieds au 900, boulevard Biscayne juste en face d’un parc au bord de l’eau avec des musées d’art et de science, est sur le marché pour 3 millions de dollars depuis l’année dernière, selon les listes immobilières locales. Un gestionnaire immobilier pour l’immeuble de Biscayne Bay, Scott Snipes, a refusé de commenter mercredi.

NGUESSO n’a pas pu être joint pour commenter, et personne n’est répertorié comme son avocat sur le dossier du tribunal fédéral de Miami. Un commentaire de la République du Congo n’a pas pu être obtenu car son ambassade à Washington, D.C., et les services consulaires ont été temporairement fermés depuis que la pandémie de coronavirus a frappé les États-Unis d’Amérique en mars.

En tant que fils du président congolais et cadre de la compagnie pétrolière publique, NGUESSO a pu exercer son influence sur l’ensemble de l’industrie pétrolière du pays, volant des millions de dollars et sollicitant des pots-de-vin pour s’enrichir, selon le procès pour confiscation déposé par l’assistante des Etats-Unis d’Amérique, l’avocate Adrienne Rosen. Elle a décrit NGUESSO, directeur adjoint de la Société nationale des pétroles du Congo, comme le «gardien de la richesse pétrolière du Congo».

Selon le procès, NGUESSO a « détourné des millions de dollars » de la compagnie pétrolière publique et « acheminé les fonds détournés vers des comptes au nom de ses diverses sociétés écrans » pour cacher son rôle dans l’acquisition de biens étrangers, y compris le condo de Miami.

NGUESSO a transféré environ 10,3 millions de dollars sur des comptes bancaires dans le sud de la Floride ouverts par un associé, identifié comme un Gabonais de nationalité états-unienne, entre 2009 et 2016, selon le procès. Des millions de ces transferts ont été utilisés pour acheter non seulement le penthouse de Biscayne Bay, mais aussi pour couvrir les taxes, les frais de condo et les dépenses d’entretien.

NGUESSO a également utilisé de l’argent qu’il avait volé à la compagnie pétrolière nationale du Congo pour acheter une deuxième propriété résidentielle pour 2,4 millions de dollars à Coral Gables, selon le procès. Il a acquis cette propriété au nom de sa première épouse, Danielle Ognanosso, selon le procès. Aucune adresse n’a été indiquée dans le procès pour cet achat en 2009, mais les registres de la propriété montrent son nom en tant qu’acheteuse d’une maison de 4 200 pieds carrés avec piscine au 2715, rue Cordova.

On ne sait pas pourquoi les procureurs, qui ont été aidés par Homeland Security Investigations, n’essaient pas de saisir également ces biens. Le bureau du procureur états-unien a refusé de commenter.

Les acquisitions du ministre congolais sont intervenues des années avant que le département du Trésor ne commence à exiger des compagnies d’assurance les titres qu’elles identifient aux noms des personnes derrière les sociétés écrans dans les transactions immobilières en espèces à Miami et dans 11 autres villes des Etats-Unis d’Amérique, dont New York et Los Angeles, en raison de l’afflux d’argent étranger entaché provenant de la corruption, de la corruption électorale et du détournement de fonds.

Rosen, le procureur qui a déposé la plainte, a souligné que NGUESSO avait acquis une richesse bien supérieure à ses revenus en tant que cadre de la compagnie pétrolière d’État du Congo, « vivant de façon extravagante » à Miami, Los Angeles et Paris.

Lors d’une visite à Miami en janvier 2016, NGUESSO a déclaré aux autorités douanières des Etats-Unis d’Amérique qu’il gagnait 460 000 $ par an en tant que directeur adjoint de la Société nationale des pétroles du Congo et qu’il ne possédait aucun bien immobilier aux États-Unis d’Amérique, indique la requête. Mais de 2007 à 2017, le ministre congolais a dépensé 29 millions de dollars pour acquérir des propriétés dans la région de Miami et à Paris et offrir un «style de vie somptueux» pour lui et sa famille.

De plus, a déclaré Rosen, il a apporté environ 3,7 millions de dollars en espèces aux États-Unis d’Amérique entre 2011 et 2016 – «et c’est exactement ce qu’il a déclaré» aux douanes.

Avec Sacer-infos par Stany Franck

 

La grippe saisonnière

décembre 24, 2019

 

Recluse pour une grippe saisonnière

Clouée au lit comme une prisonnière

Le corps alangui et très mal en point

J’ai perdu mes forces et mon embonpoint

 

Dans la solitude de mon appartement

Les murs de ma vaste chambre apparemment

Ne pouvaient pas m’apporter la consolation

Comme une présence humaine avec son attention

 

J’avais cancellé ma présence de la fête

Évitant de contaminer cette grippe récalcitrante

À tous mes parents et amis en bonne santé

Pour leur permettre de festoyer en toute beauté

 

Bernard NKOUNKOU

 

Jamel Debbouze : son appar­te­ment à été cambriolé alors qu’il y dormait

octobre 15, 2015

Jamel Debbouze

Jamel Debbouze: victime de cambriolage

Aux voleurs !

Jamel Debbouze a été victime d’un cambrio­lage dans la nuit de dimanche à lundi. L’hu­mo­riste était endormi lorsque les voleurs se sont intro­duits chez lui.

C’est ce qui s’ap­pelle dormir du sommeil du juste ! Profon­dé­ment endormi dans son appar­te­ment du 6ème arron­dis­se­ment de Paris, Jamel Debbouze ne s’est pas aperçu que des cambrio­leurs s’étaient intro­duits à son domi­cile. Une effrac­tion qui s’est produite dans la nuit du 11 au 12 octobre, mais dont il ne s’est aperçu que vingt-quatre heures plus tard. C’est en consta­tant, mardi, la dispa­ri­tion de son ordi­na­teur que l’hu­mo­riste et comé­dien s’est rendu compte qu’il avait reçu une visite bien mal inten­tion­née, comme le révèle TF1.

Un vision­nage atten­tif des bandes des camé­ras de vidéo-surveillance qui filment la façade de son immeuble et les alen­tours de son domi­cile, a permis à Jamel Debbouze de consta­ter que deux personnes s’étaient bien intro­duites chez lui entre 1 heure 40 et 2 heures du matin. Les voleurs avaient esca­ladé la paroi pour se hisser au quatrième étage du bâti­ment où se trouve son appar­te­ment. Le comé­dien les a ensuite vu s’in­tro­duire dans son bureau, par une fenêtre lais­sée entrou­verte. Une effrac­tion réali­sée en toute discré­tion puisqu’au­cun bruit n’a réussi à le tirer de son sommeil.

Fort de ces infor­ma­tions, le héros de Pourquoi j’ai pas mangé mon père, s’est rendu au commis­sa­riat afin de dépo­ser plainte et de trans­mettre aux auto­ri­tés les éléments dont il dispose. Toujours selon les infor­ma­tions de la première chaîne, Jamel Debbouze aurait égale­ment confié aux poli­ciers qu’il avait remarqué la présence aux alen­tours de son appar­te­ment de neuf personnes, qui auraient effec­tué des repé­rages dans les jours précé­dents le vol.

Voici.fr par Karine Hernandez

Neuf bébés de mères inconnues découverts dans un appartement

août 7, 2014

La police thaïlandaise a annoncé jeudi le lancement d’une enquête après la découverte mystérieuse de neuf bébés et autant de « nourrices » dans un appartement de Bangkok. Elle veut savoir si les enfants ont été mis au monde par des mères porteuses.

Alertés par des voisins, les services sociaux thaïlandais et la police s’étaient rendus mardi dans un immeuble de l’est de la capitale. Ils ont découvert dans un appartement les neuf bébés, neuf femmes s’occupant d’eux, et une dixième femme enceinte de six mois qui a indiqué être une mère porteuse, selon la police. Les nourrices ont dit à la police être payées 10’000 bahts (282 francs) par mois pour s’occuper des bébés.

« Nous devons scientifiquement prouver par des analyses ADN qui sont les parents (des bébés) et comment ils sont nés, naturellement ou par mère porteuse », a déclaré jeudi le chef adjoint de la police nationale, le général Aek Angsananont. Les résultats pourraient prendre plusieurs semaines.

Pas de papiers d’identité

S’ils sont nés de mères porteuses, il faudra également déterminer si les règles en la matière ont été suivies, a-t-il ajouté. Personne n’est pour l’instant poursuivi dans cette affaire.

Les enfants seraient âgés de deux semaines à deux ans, selon le foyer où ils ont été placés, mais aucun document d’identité n’a été trouvé dans l’appartement. La police a d’autre part indiqué douter des déclarations d’un avocat. Celui-ci a affirmé qu’un de ses clients, un riche Japonais, était le père des neuf enfants.

Cette affaire survient alors que l’histoire d’une mère porteuse thaïlandaise a eu ces derniers jours un retentissement international. La jeune femme a accusé un couple australien, pour lequel elle avait porté des jumeaux, de lui avoir laissé un garçon trisomique et d’avoir emmené sa sœur bien portante.

Romandie.com

Nigeria: trois médecins chinois tués par des hommes armés

février 10, 2013
Nigeria: trois médecins chinois tués par des hommes armés Nigeria: trois médecins chinois tués par des hommes armés © AFP

Trois médecins chinois ont été tués dans la nuit de samedi à dimanche par des hommes armés à Potiskum, ville située dans la région instable du nord-est du Nigeria, ont indiqué dimanche la police et des habitants.

« Les assaillants ont pénétré vers une heure du matin dans un appartement où logeaient trois médecins chinois et les ont égorgés », a déclaré à l’AFP un responsable policier de l’Etat de Yobe, Sanusi Rufa’i. D’après des habitants, les Chinois travaillaient pour le ministère de la Santé et habitaient à Potiskum depuis un an.

Jeuneafrique.com avec AFP