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Mort de la princesse Diana: la thèse de l’assassinat relancée

août 18, 2013

De nouvelles informations sur la mort de la princesse d’Angleterre Diana et de Dodi Al-Fayed sont actuellement étudiées par Scotland Yard. Elles révéleraient, selon les médias anglais, que le couple pourrait avoir été assassiné par les troupes d’élite de l’armée britannique.

La police britannique a indiqué samedi « examiner des informations qui lui ont été récemment communiquées concernant ces décès et évaluer leur pertinence et leur crédibilité ». « L’évaluation sera effectuée par des enquêteurs spécialisés de la police criminelle », a ajouté Scotland Yard.

Selon le « Daily Telegraph », ces informations auraient fait surface à l’occasion du récent procès d’un tireur des SAS (Special Air Services), les troupes d’élite de l’armée britannique, reconnu coupable de possession illégale d’armes. L’une d’elles affirmerait, selon le journal, que cette unité d’élite de l’armée « est responsable de la mort de la princesse Diana ».

Enquête pas réouverte

Ces informations ont été fournies par les beaux-parents d’un soldat du SAS, baptisé « soldat N », qui a été un témoin-clé dans le procès de son camarade.

Ses beaux-parents ont écrit au commandant du SAS en affirmant que le militaire avait confié à son ex-femme que son unité avait « organisé » la mort de la princesse, affirme le quotidien. L’opération aurait ensuite été « dissimulée », aurait-il dit. La police a insisté sur le fait qu’il n’y avait pas pour l’heure « de réouverture de l’enquête ».

Ce rebondissement intervient à quelques jours du 16e anniversaire de la mort de la princesse, de Dodi Al-Fayed et de leur chauffeur Henri Paul, tués le 31 août 1997, dans un accident de voiture dans le tunnel, sous le pont de l’Alma à Paris.

Les enquêtes menées par les polices française et britannique avaient conclu que l’accident de voiture était dû à l’état d’ivresse du chauffeur, Henri Paul, qui conduisait trop vite, afin d’échapper à des paparazzi.

Romandie.com

italie: Le couturier Ottavio Missoni est mort

mai 10, 2013

Le clan Missoni endeuillé par la perte de son patriarche

 
Le couturier Ottavio Missoni est mort

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Presque cent ans d’une vie bien remplie, mais le couturier Ottavio Missoni, à la tête d’une des maisons de couture les plus emblématiques de son temps ne réinventera plus la mode. Sa famille vient d’annoncer sa disparition à l’âge de 92 ans.

Le clan Missoni ne cache pas sa peine. Depuis une semaine, Ottavio Missoni, cofondateur de sa maison éponyme, était hospitalisé pour des problèmes cardiaques. Son décès a été prononcé jeudi 9 mai, dans sa villa familiale du nord-ouest de l’Italie, à Sumirago – également siège de Missoni – entouré des siens. Celui qu’on appelait Taï, laisse une famille orpheline et des amis désemparés. «J’ai toujours admiré en Taï l’énergie vitale, la joie de vivre, la capacité de mener de front famille et entreprise dans un seul lieu, un peu magique, fait de créativité, d’originalité et surtout d’esprit d’équipe», a confié la créatrice Laura Biagiotti, proche de la tribu Missoni.

Né en Croatie en 1921, Ottavio est initié au monde de la mode lors de sa rencontre avec sa femme Rosita en 1948 à Londres. Ses beaux-parents possèdent une industrie textile dans le nord de l’Italie et sera le point de départ de l’extraordinaire histoire familiale et fashion des Missoni. Athlète de renom, ce fils de comtesse était venu participer au Jeux Olympiques dans la capitale british. Un amour pour le sport que l’on retrouvera tout au long de sa vie dans son amour des silhouettes sportswear chic et casual. Immédiatement, le couple séduit par son audace, ses extravagances stylistiques et ses motifs en zigzags colorés qui deviennent vite l’emblème de la marque. Car depuis Rosita et Ottavio, la mode se livre en héritage dans le clan transalpin.  

Leurs trois enfants ont tous participé à l’expansion de l’entreprise familiale: Angela est la directrice artistique, quand Luca s’épanouit dans un aspect plus technique. En janvier dernier, les Missoni voient tragiquement leur nom faire les Une des tabloïds. Le PDG de la griffe Vittorio Missoni, fils aîné de Rosita et Ottavio, disparaît sans laisser de trace dans son avion privé au large du Vénézuela.

Si Ottavio Missoni n’est plus, la relève est en tout cas assurée. Sa petite-fille Margherita est déjà très impliquée. De quoi partir serein, quand on sait que les siens seront les gardiens du temple.

Gala.fr par Pauline Gallard

Inde: une fillette de 5 ans violée et mutilée dans un état stable

avril 21, 2013

NEW DELHI – Une fillette de 5 ans violée et mutilée à New Delhi par un homme d’une vingtaine d’années se trouvait dans un état stable dimanche alors que des manifestants dénonçaient l’inaction de la police dans un pays traumatisé par la mort d’une étudiante après un viol collectif fin décembre.

La petite victime est soignée dans le meilleur hôpital public de la capitale fédérale indienne pour de graves blessures internes subies pendant sa séquestration par un voisin de 22 ans, employé dans un atelier de confection, arrêté samedi.

Elle est dans un état stable et elle montre ses signes d’amélioration, a déclaré à l’AFP le médecin en chef de l’hôpital, D.K. Sharma. Elle est consciente et parle à ses parents, aux médecins et aux infirmières et on peut dire que ses jours ne sont plus en danger, a-t-il ajouté.

Le médecin a précisé un peu plus tard que l’enfant avait été grièvement blessée. Elle est sans doute trop jeune pour comprendre la gravité de son état.

Les journaux indiens faisaient dimanche la Une de son martyre et des manifestations. Delhi en colère sort dans la rue, titrait le Sunday Pioneer au moment où une foule se rassemblait devant le principal poste de police de la ville, selon un photographe de l’AFP.

Le suspect, Manoj Kumar, serait locataire dans l’immeuble où vit l’enfant, selon la presse. Après avoir enlevé sa petite victime lundi, l’avoir retenue pendant 40 heures, violée et torturée, il a été appréhendé après s’être réfugié chez ses beaux-parents dans l’Etat du Bihar (est).

Le Premier ministre Manmohan Singh a dénoncé une agression cruelle qui nous rappelle le besoin de travailler collectivement pour éradiquer cette sorte de perversion de notre société.

L’Inde a entamé un examen de conscience après la mort d’une étudiante de 23 ans le 29 décembre, treize jours après avoir été violée et battue par six hommes dans un autobus de la capitale.

La nature particulièrement sauvage de l’agression a profondément choqué le pays et a suscité un débat sur les violences faites aux femmes et sur l’apathie de la police et de la justice face aux auteurs.

Manmohan Singh a demandé aux autorités compétentes de faire preuve de considération et de sensibilité face à l’anxiété publique générée par ces faits tout en défendant son bilan: notre gouvernement a agi promptement en renforçant la loi pour permettre de mieux combattre les violences contre les femmes.

Le code pénal punit désormais d’un minimum de 20 ans d’emprisonnement le viol en réunion, passible de la réclusion à perpétuité.

En cas de décès de la victime, les auteurs encourent la peine de mort.

Depuis le viol collectif de décembre, les femmes osent davantage porter plainte, selon les ONG.

La police de New Delhi a enregistré un bond de 148% des affaires de viol entre le 1er janvier et le 24 mars par rapport à l’an dernier, et une hausse de 600% des affaires d’agressions sexuelles du 1er janvier au 3 avril.

Le procès des auteurs présumés de ce viol se poursuit devant un tribunal spécial. L’un des cinq adultes suspects a été retrouvé mort dans sa cellule le mois dernier, vraisemblablement après s’être pendu. Le sixième suspect, 17 ans, est jugé par un instance pour mineurs.

Romandie.com avec (©AFP / 21 avril 2013 09h32)