Posts Tagged ‘Bernadette Chirac’

France/Départementales : l’élection de Claude Chirac a ému sa mère aux larmes

juin 28, 2021

La fille de Jacques et Bernadette Chirac a été élue pour la première fois conseillère départementale, dans le canton de Brive 2, rapporte « La Montagne ».

Tel père, telle fille ! À 58 ans, Claude Chirac se lance dans une carrière politique. Associée à Julien Bounie (LR), la fille de Jacques et Bernadette Chirac a remporté le second tour des élections départementales dans le canton de Brive 2, en Corrèze, avec 70,6 % des votes, relatent La Montagne et France Bleu. Un canton symbolique, puisque sa mère y avait été élue suppléante lors des précédentes élections pour finir sa carrière politique en 2015, après avoir siégé 36 ans sans discontinuer au département.

La nouvelle conseillère départementale a d’ailleurs vite partagé la nouvelle de l’élection avec sa mère, justement. « Je l’ai appelée et elle m’a dit qu’elle en avait les larmes aux yeux. Cela m’a beaucoup émue », a concédé Claude Chirac, bien décidée à marcher dans les traces de ses parents. « Avoir mis mes pas à Brive, où ils ont si souvent mis les leurs, m’a permis de comprendre la réalité de leur engagement. Je suis très touchée et les valeurs pour lesquelles ils se sont battus durant des décennies sont encore très présentes sur cette terre corrézienne. Ce sont des valeurs qui m’obligent aujourd’hui », a-t-elle commenté auprès des médias régionaux.

Elle s’est « fait violence »

Son président de père, décédé en décembre 2019, avait débuté sa carrière politique comme conseiller municipal à Sainte-Féréole, en Corrèze, le village de ses arrière-grands-parents maternels, avant d’être élu à plusieurs reprises comme député de la 3e circonscription de la Corrèze entre 1967 et 1995. Sa fille, conseillère en communication et « novice » en politique, a avoué s’être « fait violence » pour se présenter à cette élection. Sans oublier de « remercier » les personnes ayant voté pour sa liste, elle a assuré vouloir « se mettre au service des gens », « approfondir le lien » et « agir », derrière Pascal Coste (LR), président sortant et réélu à la tête du département.

Par Le Point

France: Laurence Chirac, la fille aînée de Jacques Chirac, est morte

avril 14, 2016

Jacques Chirac avec sa fille aînée Laurence en avril 1981. Celle-ci s'est éteinte à 58 ans ce jeudi.

Jacques Chirac avec sa fille aînée Laurence en avril 1981. Celle-ci s’est éteinte à 58 ans ce jeudi.AFP/Georges Bendrhiem

La fille aînée de Jacques Chirac, Laurence, vient de s’éteindre ce jeudi. Elle venait d’avoir 58 ans et souffrait d’anorexie.

Le clan Chirac est en deuil. Laurence, la fille aînée de Jacques et Bernadette Chirac, est décédée ce jeudi. Elle avait été hospitalisée en début de semaine.

Laurence Chirac est toujours restée méconnue du grand public, contrairement à sa petite soeur Claude et sa mère qui, elles, gravitaient dans la sphère professionnelle de l’ancien président de la République. Pour ce dernier, sa fille aînée, atteinte d’anorexie à l’adolescence, a souvent été un sujet douloureux et n’a jamais été mêlée à sa carrière politique.

 Début 2007, quelques mois avant la fin de son quinquennat à l’Elysée, l’ex-maire de Paris se livrait pour la première fois et expliquait au journaliste Pierre Péan qu’elle était « le drame de [sa] vie ». Une anecdote que l’auteur rapportait dans son livre L’inconnu de l’Elysée.

LIRE AUSSI >> Laurence Chirac, cette inconnue

Née le 4 mars 1958, Laurence Chirac s’est très vite révélée douée pour les études, celles de médecine qu’elle a commencées. Mais à la fin des années 70, elle développe des troubles alimentaires – de l’anorexie mentale, soit le refus de s’alimenter – alors que son père est Premier ministre puis chef de l’opposition. Les dernières photos d’elle dans la presse remontent à cette époque: une jeune fille brune et souriante est immortalisée dans les jardins de l’Hôtel de Ville de Paris.

Tentatives de suicide

Puis, au début des années 90, elle fait une tentative de suicide. Jacques Chirac l’apprend le 13 avril 1990, alors qu’il est en Thaïlande. Sa fille s’est défenestrée. Une seule de ses tentatives est rendue publique mais la jeune fille en aurait fait une quinzaine, assure le site du Point.

Après cet épisode, elle disparaît totalement de la sphère médiatique et ne fera qu’un très bref retour pour les 80 ans de son père, dans Paris Match, en 2012. Une première en trente ans d’absence. Sur un cliché d’un photographe de l’hebdomadaire, elle apparaît voûtée dans de grosses baskets bicolores, mais souriante, le regard perdu sous les boucles.

Le choix de la maison

Lorsque la maladie de Laurence est diagnostiquée, le couple Chirac prend contact avec différents centres spécialisés dans le traitement de l’anorexie, en France et en Europe. Mais Jacques et Bernadette Chirac se heurtent à une solution qu’ils refusent: le placement dans un centre fermé. Le couple veut garder leur fille près d’eux.

Lorsqu’il accède à Matignon, Jacques Chirac s’impose de déjeuner très régulièrement avec Laurence, écrit Le Point. Après sa tentative de suicide, en avril 1990, le couple l’installe dans un appartement parisien en rez-de-chaussée où Bernadette se rend souvent.

Parallèlement, la Première dame de France d’alors organise une levée de fonds avec l’envie de voir ouvrir dans l’Hexagone des centres spécialisés pour accueillir les personnes anorexiques. Alors qu’elle a toujours fait preuve d’une grande discrétion sur la maladie de sa fille, Bernadette Chirac évoquer le sujet en 2004, lors de l’inauguration d’une maison des adolescents de l’hôpital Cochin, à Paris.

Lexpress.fr par

France: Jacques Chirac hospitalisé pour un problème « sans gravité »

février 17, 2014

L’ancien président français Jacques Chirac a été admis lundi soir à l’hôpital américain de Neuilly, près de Paris, pour un problème « sans gravité ». Il s’agit « apparemment d’une crise de goutte », a-t-on appris auprès de son entourage.

« Ce n’est pas grave du tout », a expliqué son entourage, précisant que M. Chirac est rentré chez lui après quelques examens. Selon ses proches, l’ancien président français avait déjà connu de telles crises.

M. Chirac, âgé de 81 ans et dont la santé est fragile depuis plusieurs années, avait été hospitalisé en décembre à La Pitié-Salpêtrière, à Paris, pour une intervention rénale « sans gravité ». L’ancien chef d’Etat a été victime en 2005 d’un accident vasculaire cérébral qui l’a affaibli. Il a de grandes difficultés à se déplacer.

Fin janvier, Bernadette Chirac avait déclaré que son mari, qui a des problèmes de mémoire, ne parlerait plus jamais en public. « Il n’a pas vraiment les symptômes, mais c’est vrai qu’il a une petite baisse de sa mémoire, surtout par moments, c’est très variable », avait dit Mme Chirac.

Romandie.com

Bernadette Chirac soutient Valérie Trierweiler et « prend part à sa tristesse »

janvier 22, 2014

Valérie Trierweiler  et Bernadette Chirac

Valérie Trierweiler et Bernadette Chirac

« Valérie Trierweiler est triste »

Frappée par la détresse émotionnelle de Valérie Trierweiler suite à la révélation de la liaison supposée de François Hollande avec Julie Gayet, Bernadette Chirac a écrit à la première dame.

« Merci du fond du cœur à tous ceux qui ont envoyé des messages de soutien et de rétablissement via twitter, SMS ou courriels. Très touchée », écrivait Valérie Trierweiler quelques heures après sa sortie de la Pitié-Salpêtrière samedi après-midi. La première dame avait alors quitté l’hôpital du 13ème arrondissement de Paris pour la résidence de la Lanterne, située à proximité du parc du Château de Versailles, « un endroit où l’on peut se ressourcer, vraiment », a assuré Bernadette Chirac ce matin au micro d’Europe 1.

Invitée sur la station à l’occasion du 25ème anniversaire des pièces jaunes, la présidente de la fondation Claude Pompidou a d’abord refusé de s’exprimer sur l’affaire Hollande-Gayet : « Le président de la République, François Hollande, a dit lui-même que les choses privées doivent être réglées en privé. Par conséquent, ça ne me regarde pas », a-t-elle botté en touche. Mais concernant la santé de Valérie Trierweiler, Bernadette Chirac a confié qu’elle « [espérait] que [ce soit] seulement un moment de fatigue » : « [Je ne l’ai pas eu au téléphone] récemment parce que je ne veux pas être indiscrète. Elle est probablement très fatiguée. Si elle est allée à l’hôpital pendant huit jours, ce n’est sûrement pas sans raison », a-t-elle assuré.

Mais comme les nombreux anonymes qui ont marqué leur soutien à Valérie Trierweiler, l’ancienne première dame lui a « écrit un tout petit mot » : « Je lui ai dit que j’entendais ces nouvelles, celles qui étaient données par les journalistes, et que je prenais part à sa tristesse, parce que je pense qu’elle est triste. C’est ce qui transparaît dans les nouvelles qu’on nous donne. Et que je pensais à elle et que tout ça va certainement s’arranger très vite. Le président de la République a dit, avant de partir aux Etats-Unis, qu’il clarifierait la situation. » Reste à savoir ce qu’ils décideront…

Voici.fr par M-A.K.

Bernadette Chirac serait odieuse avec Jacques

décembre 15, 2012

« Pas loin de la violence physique »

Bernadette Chirac serait odieuse avec Jacques Alors qu’il devrait goûter à une retraite bien méritée, ce pauvre Jacques Chirac doit composer avec une Bernadette qui lui gâche la vie.

Comment ne pas oublier la charge virulente d’un intime des Chirac contre Bernadette dans le Canard Enchaîné ? L’homme y déclarait que « Bernie était une méchante. Une vraie méchante. » Au bout du rouleau, il avait lâché : « On n’en peut plus d’elle, on ne peut plus la voir, elle nous emmerde. » La famille Chirac avait réagi par un joli coup de com en s’offrant la une de Match à l’occasion des 80 ans de Jacques. Sur plusieurs pages l’image d’une famille soudée autour du patriarche sous le regard amoureux et complice de Bernadette. Le vernis n’aura pas tenu bien longtemps.

Sous couvert d’un portrait de l’ancien président de la république, le magazine M du Monde égratigne sérieusement Bernadette Chirac. Présentée tour à tour comme autoritaire voire despotique avec son entourage, Bernadette apparaît même cruelle dans ses rapports avec celui qu’elle appelle depuis cinquante-six ans « mon mari. » Plusieurs anecdotes dressent en creux le portrait d’une épouse omnipotente qui n’hésite pas, devant témoins, à rabaisser un homme que l’on sait affaibli.

Ainsi cette scène qui se déroule le 31 octobre dernier dans un hôtel de luxe au Maroc où le couple a ses habitudes. Ils dînent l’un en face de l’autre, lorsque tout à coup, Bernadette lâche « très fort » : « Elisabeth et Robert Badinter ont mieux à faire que de dîner avec vous… Vous n’êtes que le bruissement des ailes d’un insecte ». « Quoi ? » répond Chirac, interloqué. « Vous n’êtes que le bruissement des ailes d’un insecte », répète, implacable, Bernadette. Autour d’eux : Le directeur de France Inter, Audrey Pulvar, Marc-Olivier Fogiel…
Un mois plus tôt, elle avait déclaré, non sans fiel, sur les ondes d’Europe 1 en parlant de son mari « La vieillesse est un naufrage ». Une petite phrase d’une cruauté merveilleusement ciselée. Les disputes du couples sont fréquentes. A tel point que les Pinault, les seules amis chez qui Jacques prend encore du plaisir à dîner, « n’en peuvent plus », confie un proche. Bernadette n’hésite d’ailleurs pas à répéter autour d’elle que son mari « n’a plus de surmoi ! » « ll est dans la transgression permanente, confirme un familier du couple. Elle lui parle sans ménagement. Ce n’est pas de la violence physique, mais pas loin. » Triste et inquiétant.

Voici.fr P.S.B

Première dame, un «second rôle» pour Valérie Trierweiler

mai 7, 2012
 
Valérie Trierweiler, le 6 mai, à Tulle.
Valérie Trierweiler, le 6 mai, à Tulle. Crédits photo : FRED DUFOUR/AFP

PORTRAIT – La journaliste politique, compagne du président élu François Hollande, hésite entre une posture à la Bernadette Chirac et à la Danielle Mitterrand. Portrait d’une fausse discrète.

«Je ne cherche pas la notoriété», affirmait encore jeudi Valérie Trierweiler, qui aura désormais du mal à y échapper. Quel sera le style de la nouvelle première dame? Celle qui répétait «ne pas savoir ce qui va se passer dimanche» a quand même songé à la question. Dans un entretien à Elle, la journaliste de 47 ans a confié récemment hésiter entre une posture à la Bernadette Chirac et à la Danielle Mitterrand, soit entre «le dévouement et l’engagement». Quant à Carla Bruni, «comme première dame, elle a fait comme elle a pu. C’est quelque chose d’assez compliqué», lui accorde Valérie Trierweiler, qui estime néanmoins que «première dame, c’est un second rôle».

En tout cas, elle a pris quelques résolutions: «Je continuerai à travailler. Tout simplement parce que j’ai besoin de gagner ma vie. J’élève mes trois enfants et je ne suis pas rentière, déclare-t-elle en avril à Libération. Je ne veux pas vivre aux frais de l’État.»

Un principe qui ne surprend guère au regard de son parcours. La jeune et ambitieuse angevine d’origine modeste débarque à Paris à 20 ans. Munie de son DESS en sciences politiques, elle est recrutée en 1988 par l’hebdomadaire Profession politique. Deux ans plus tard, la journaliste jugée brillante et sympathique par ses confrères est débauchée par Paris Match, où elle rencontre le secrétaire de rédaction Denis Trierweiler, qu’elle épouse quelques années plus tard en deuxième noces et dont elle a trois fils.

Alors qu’elle suit pour le magazine le Parti socialiste, elle se lie d’amitié avec François Hollande. Ce serait à l’été 2005 que la relation entre l’homme politique et la journaliste aurait pris un tour «sentimental», raconte Serge Raffy dans sa biographie Hollande secret. À l’époque, le député de Corrèze est encore officiellement avec Ségolène Royal. L’idylle ne passe pas inaperçue à Paris Match et oblige à quelques réajustements au sein de la rédaction: fin 2005, Alain Genestar, alors directeur de l’hebdomadaire, demande à Valérie Trierweiler d’arrêter de suivre le PS pour se consacrer à l’UMP. En 2007, elle change complètement de service et passe aux pages culture. Mais sa rubrique de cœur lui manque et elle rejoint par ailleurs la même année Direct 8, où elle anime une fois par semaine avec Mikaël Guedj Politiquement parlant.

«Une spectatrice engagée»

Pour Valérie Trierweiler, dont la relation avec François Hollande est officialisée en 2010, la question du conflit d’intérêts se pose véritablement à partir d’avril 2011, lorsque le député de Corrèze annonce sa candidature à la primaire. Elle lance tout de même sur Direct 8 une nouvelle émission politique, 2012, portraits de campagne, qu’elle troque rapidement pour une autre consacrée à des portraits d’artistes, Itinéraires. D’ailleurs, Nicolas Sarkozy ne se prive pas en avril de la prendre à partie: «Est-ce moi qui travaille dans le groupe de monsieur Bolloré?» lance-t-il sur RTL.

Son rôle dans la campagne? «Spectatrice engagée», répond-elle en avril dans Libération. Valérie Trierweiler opère certes initialement en coulisses, donnant des conseils de communication ou défendant l’image de son partenaire dans les médias. Mais, très vite, elle se fait plus visible. Assise au premier rang des meetings, elle participe à de nombreux déplacements de François Hollande, dont celui à Montauban pour les obsèques des militaires assassinés.

Projetée au cœur de la campagne, Valérie Trierweiler ne vit pas toujours bien sa nouvelle exposition. «Quel choc de se découvrir à la une de son propre journal. Colère de découvrir l’utilisation de photos sans mon accord, ni même être prévenue», tweete-t-elle en mars 2011 en découvrant une photo de son couple en couverture de Paris Match. Dernière épreuve en date, les moqueries du député UMP Lionnel Luca, qui l’a traitée de «rottweiler».

Discrète, celle qu’on rend responsable du nouvel équilibre et de la silhouette amincie de François Hollande n’a pas pour autant la réputation d’une femme effacée. «Très punchy, très franche, elle n’hésite pas à rentrer dans le lard des hommes politiques», dit un journaliste, qui se rappelle aussi l’avoir vue gifler un confrère s’étant permis une remarque sexiste. «Intelligente», «réglo», «une fille forte qui sait résister aux coups durs». On n’est pas en reste d’éloges dans les milieux politiques, de droite comme de gauche. Confrères et politiques soulignent son «élégance», sa «beauté», son «allure toujours impeccable», sa «bonne camaraderie», mais quelques consœurs épinglent volontiers une femme «un peu trop sûre de son charme». «Avec elle, on se marre bien, réplique Mikaël Guedj, qui a travaillé quatre saisons avec elle sur Direct 8. C’est aussi quelqu’un qui sait rire et peut être très chaleureuse.»

Lefigaro.fr par Laura Raim

Valérie Trierweiler élue première dame !

mai 6, 2012

Une journaliste à l’Elysée !

 Valérie Trierweiler élue première dame !
 
Valérie Trierweiler élue première dame !
 
La journaliste et compagne de François Hollande vient de devenir la nouvelle first lady française. Qu’attendre de son mandat ? Un mariage peut-être ?

Ça, c’est fait : au terme d’une campagne sans grand suspense, Valérie Trierweiler vient d’être désignée première dame par les Français, qui ont massivement voté pour son compagnon, le candidat du PS François Hollande ( 51,70 % des suffrages selon les estimations France 2 Ipsos Logica Business Consult). Un jour qu’elle attendait, mais qu’elle redoutait, un peu : « C’est quelque chose de tellement vertigineux… Je préfère ne pas y songer. Je me préparerais au jour le jour, le moment venu, s’il vient », expliquait-elle au Parisien en janvier, avant de confier quelques semaines plus tard à Femme Actuellequ’elle avait « peur de perdre sa liberté ».

Quelle première dame sera celle que ses adversaires les moins élégants surnomment « Valérie Rottweiler » ? « Je continuerai à travailler d’une façon ou d’une autre si François est élu, j’ai besoin de gagner ma vie. J’élève mes trois enfants et je ne suis pas rentière. Je ne veux pas vivre aux frais de l’Etat », a-t-elle d’ores et déjà annoncé à Libération. Bossera-t-elle toujours à Paris-Match ? Elle le souhaite. Mais cela pourrait la mettre dans l’embarras : il est dans la tradition du magazine de suivre de près l’actualité des premières dames de France. Et lorsque la rédaction avait choisi de la mettre en couverture en mars : Valérie Trierweiler avait publiquement exprimé son agacement.

Il faudra pourtant bien que Valérie marque son quinquennat, comme l’ont fait la quasi-totalité de ses prédécesseures : Madame Pompidou et ses petits scandales, Danielle Mitterrand et son engagement humanitaire, Bernadette Chirac et ses pièces jaunes, Carla Bruni et le premier bébé de l’Elysée. Et si sa trace, à Valoche, était le premier premier mariage d’un président en exercice ? Alors qu’il n’a jamais épousé Ségolène Royal, François Hollande, notre nouveau président de la République, n’exclut pas de se laisser passer la bague au doigt par sa nouvelle compagne. Voilà près de sept ans que ces deux-là sont ensemble (leur relation, révélée au grand public en 2010, a commencé en 2005, alors que François était encore avec Ségolène Royal), il serait peut-être temps de franchir le pas. D’autant qu’un rapide coup d’oeil sur son passé sentimental montre que Valérie Trierweiler n’ est pas allergique à l’idée : la journaliste a déjà été mariée deux fois. La première à un ami d’enfance, la seconde avec Denis Trierweiler, un journaliste de Paris-Match dont elle a gardé le nom et à qui elle a fait trois beaux enfants…

Cela sera-t-il suffisant ? Le coup du mariage, Carla Bruni et Nicolas Sarkozy l’ont déjà servi. Il faudra quelque chose de plus fou pour marquer les esprits. Comme par exemple faire redécorer l’Elysée par une autre Valérie, Damidot cette fois, qui fut l’un des plus fervents soutiens de son compagnon

Voici.fr par  Christophe Carron

Bernadette Chirac a voté pour son époux

avril 22, 2012
 
 
Bernadette Chirac, l’épouse de l’ex-chef de l’Etat Jacques Chirac, a voté aujourd’hui à Sarran (Corrèze) pour elle et l’ex-président, qui n’avait pu se déplacer, et assuré qu’il avait regretté d’avoir dit qu’il voterait pour François Hollande.
 
« C’est une élection majeure, qui rappelle des souvenirs d’une grande émotion », a déclaré l’ex-première dame de France à des journalistes, après avoir exprimé son suffrage vers midi dans ce village de quelque 260 habitants où elle est adjointe au maire. Interrogée sur une phrase prononcée le 11 juin 2011 par Jacques Chirac, lorsqu’il avait annoncé qu’il voterait pour le candidat socialiste François Hollande, elle a assuré que c’était « une maladresse ». « C’était regrettable, c’était une maladresse, il a regretté par la suite », a dit Mme Chirac, qui a ouvertement apporté son soutien au président et candidat de l’UMP Nicolas Sarkozy.
Bernadette Chirac, qui est élue au Conseil général de Corrèze, dont François Hollande est le président, a par ailleurs précisé que l’ex-chef de l’Etat âgé de 79 ans, « ne va pas mal, mais il ne pouvait pas supporter huit heures de route pour venir voter ».
Elle a précisé qu’ils passeraient la soirée ensemble à Paris et suivraient les résultats de la présidentielle à la télévision.
 
Lefigaro.fr avec AFP

Malade, Jacques Chirac n’a pas reconnu sa fille adoptive

septembre 7, 2011

« Un vieil homme malade » selon sa fille

Malade, Jacques Chirac n’a pas reconnu sa fille adoptive Anh Dao Traxel, la fille adoptive des Chirac, s’est confiée à l’AFP sur l’état de santé de son père, l’ancien président de la République. Ça va pas fort.

L’état de santé de Jacques Chirac fait couler beaucoup d’encre. Parce que les Français adorent cet ancien président qu’ils ont élu deux fois et, surtout, parce que son procès pour les emplois fictifs de la mairie de Paris se tient cette semaine (procès auquel il n’assistera pas pour raisons médicales).

Hier, la fille adoptive de Jacques et Bernadette Chirac, Anh Dao Traxel, a évoqué les troubles de la mémoire dont est victime son père, qu’elle décrit comme un « vieil homme malade ». En février dernier, elle se promène dans Paris et le croise sur les bords de Seine. La vue de sa fille, adoptée en juillet 1979 à l’âge de 21 ans, ne le fait pas réagir. « Je l’ai rencontré devant chez lui, il ne m’a pas reconnue », a raconté Anh à l’AFP, avant d’expliquer que son père tenait à affronter les juges : « Au tout début, il voulait aller jusqu’au bout du procès. Malheureusement, il a été obligé d’accepter [d’y renoncer]. C’est très dur ».

Si elle soutient son papa, Anh Dao Traxel réserve quelques piques à la fille biologique de l’ex-couple présidentiel, indiquant être « un peu en froid » avec elle. Tout ça à cause d’une requête de Claude Chirac (qu’elle qualifie de « reine des coups tordus »), qui lui avait demandé de faire profil bas pendant le procès… Ambiance…

Voici.fr par C.C.

Jacques Chirac : Bernadette l’empêche de draguer

août 17, 2011

Sa femme le flique

Même en vacances, Jacques Chirac ne peut pas vivre sa vie. Sa femme Bernadette est là pour tout régenter et stopper les conversations quand trop de jolies filles s’approchent.

Ah, on connaît le goût de Chirac pour les jolies poupées. Dès qu’il peut, l’ancien président de la République dragouille, comme ça, histoire de faire passer le temps et de voir si son capital séduction est toujours au maximum. Rappelez-vous de son plan drague avec Sophie Dessus, une élue PS de Corrèze. En vacances à Saint-Tropez, Jacques Chirac n’a rien perdu de sa fougue, ou presque. Alors, quand il est attablé avec son ami François Pinault à la terrasse de Sénéquier, des admirateurs de tous bords et de tous pays viennent saluer l’homme d’Etat.

Après quelques mots échangés « en français, en anglais, voire en russe », rapporte le Parisien, Bernadette s’est énervée de voir autant de monde autour de son mari. Elle s’est frayée un chemin jusqu’à lui, « repoussant les photographes et les admiratrices » (c’est surtout ces dernières qui la dérangeaient) et a intimé l’ordre à Jacques de partir. Il a refusé, tout simplement. On s’amuse quand même beaucoup plus là que lors d’un tête-à-tête avec Bernadette. Alors, il est retourné à ses conversations, tranquillement. Mais ça n’a guère duré longtemps. Une voiture s’est garé devant la terrasse et a embarqué Jacques Chirac. « Content de son petit effet, l’ancien président a salué les badauds de la main » avant de regagner la demeure du richissime homme d’affaires breton. Bernadette ne l’aura pas si facilement.

Voici.fr par M-A.K.