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Mali – Attentat de Bamako : « Le tueur est venu là parce qu’il y avait des étrangers »

mars 7, 2015

Devant le restaurant La Terrasse, le 7 mars 2015 à Bamako.
Devant le restaurant La Terrasse, le 7 mars 2015 à Bamako. © AFP

Un Français, un Belge et trois Maliens ont été abattus dans la nuit de vendredi à samedi par un homme armé dans un restaurant en plein coeur de Bamako. Sur place, les témoins sont sous le choc.

Le corps recouvert du ressortissant français quitte sur une civière le restaurant-bar « La terrasse » de Bamako. A coups de grenades et de rafales automatiques, un tireur masqué a transformé en champ de bataille cet établissement prisé de la clientèle expatriée.

Le véhicule des sapeurs-pompiers prend la direction d’une morgue de Bamako sous les regards de plusieurs dizaines de personnes dans la « rue Princesse », haut lieu de la nuit dans la capitale malienne jusqu’à présent largement épargnée par le violences qui ensanglantent le nord du pays.

Hagard, un serveur raconte avoir « vu de loin un véhicule 4X4 de couleur noire garé. Un homme grand de taille est descendu ». Sans s’attarder à la boîte de nuit située au rez-de-chaussée, il a pris l’escalier et « il est monté à la terrasse » qui donne son nom à l’établissement, où se trouve le bar-restaurant, avec une piste autour.

« Mort aux Blancs »

« En haut, il a commencé par jeter des grenades, et ensuite il a fait des rafales d’arme automatique », poursuit le serveur. « Le tueur est venu là parce qu’il y avait des étrangers. Il voulait tuer les étrangers, ça c’est sûr ».

L’attentat, perpétré peu après minuit (heure locale et GMT) a fait cinq tués, dont un Français et un Belge, et huit blessés, dont trois Suisses, selon le dernier bilan de sources hospitalières. Son auteur était masqué, selon la Mission de l’ONU au Mali (Minusma).

L’assaillant a crié « mort aux Blancs » en arrivant à l’étage, a affirmé une source diplomatique, précisant que le Belge, un ancien parachutiste, était depuis quelques mois responsable régional de la sécurité pour la délégation de l’Union européenne (UE).

Grenades de guerre

Zakaria Maïga, un ami du Français tué, avec lequel il avait l’habitude de sortir tous les vendredis soirs, a indiqué qu’alors que tous deux dansaient « côte à côte sur la piste, la fusillade a commencé ».  « C’était la panique. Moi, je me suis jeté à terre avant de sauter pour me retrouver du côté des champs hippiques » dans les environs, raconte-t-il.

« Les choses se sont passées trop vite. Je n’ai pas pu voir le tireur », ajoute Zakaria Maïga, tout juste revenu de la morgue où il a identifié la dépouille de son ami.  Le gérant de « La terrasse », qui ne veut pas être nommément cité, ne cesse de revivre ce « choc terrible ».

« Je revois celui qui a tiré monter là où nous étions. Je le revois tirer des coups de feu et lancer des grenades de guerre. Les gens fuyaient, d’autres se sont jetés du haut. C’était la panique générale », explique-t-il.  « Après, le tueur est descendu et reparti. Son complice l’attendait en bas avec un véhicule noir », poursuit-il.

Tous les établissements de nuit fermés

La confusion s’est répandue dans le quartier dès les premières détonations. « Vers minuit nous avons commencé à entendre des bruits d’armes et les gens à courir dans tous les sens. Les gens ont commencé à dire que ce sont des vagabonds, puis non, que ce sont des rebelles », a raconté à l’AFP un vendeur de rue des environs, Hama Ongoiba.

En l’espace d’une demi-heure, tous les établissements de nuit de la rue ont fermé.  Des dizaines de personnes cachées dans la boîte de nuit en bas du bâtiment se sont terrées pendant deux heures avant de se risquer enfin à sortir. « J’ai entendu les coups de feu, j’étais morte de peur. Nous nous sommes cachés au rez-de-chaussée, mais on entendait tout ce qui se passait en haut à la terrasse », témoigne Fili Kanouté, une étudiante malienne.

Dans leur cavale, les assaillants ont ensuite croisé une patrouille de police, sur laquelle ils ont lancé deux grenades, tuant un policier, selon des sources policières.

Jeuneafrique.com avec AFP

Snowden court un danger en Russie, selon son avocat

septembre 23, 2013

MOSCOU – L’ex-consultant du renseignement américain Edward Snowden qui a trouvé refuge en Russie est toujours en danger, vivant dans un endroit secret avec des gardes du corps ce qui repousse la visite de sa famille, a déclaré lundi son avocat.

D’ex-collègues de Snowden pourraient profiter de l’arrivée de ses parents pour repérer où il se trouve. J’ai des informations que je ne peux pas dévoiler selon lesquelles le degré de danger est très important, a déclaré Me Koutcherena dans un entretien à l’hebdomadaire Itogui.

Tant que la partie américaine n’abandonnera pas ses griefs à l’égard de Snowden, on ne peut rien exclure, a poursuivi l’avocat.

Edward Snowden n’est pas apparu publiquement depuis qu’il a obtenu le 1er août un asile provisoire d’un an en Russie, après plus d’un mois dans la zone de transit de l’aéroport Cheremetievo de Moscou où il était arrivé le 23 juin en provenance de Hong-Kong.

Washington a réclamé à plusieurs reprises l’extradition de M. Snowden, inculpé d’espionnage après avoir fait des révélations fracassantes sur la surveillance électronique mondiale effectuée par les Etats-Unis.

Il faut comprendre qu’il est recherché par un grand pays, une superpuissance, par le gouvernement américain (…) Cela représente une menace sérieuse, a déclaré Me Koutcherana dans une autre interview à la chaîne publique russe en langue anglaise RT.

Toute personne qui ose défier une superpuissance doit se rendre compte qu’ils vont la poursuivre jusqu’à la fin de ses jours. Elle ne peut pas aller dans un restaurant ou dans une boîte de nuit comme vous et moi, a-t-il ajouté.

L’avocat a dit que Snowden avait des gardes du corps privés, ce qui ne résout évidemment pas le problème de sécurité.

Il a toutefois affirmé que son client se promenait librement dans la rue.

S’il était passé, vous ne l’auriez pas reconnu. Il suffit de s’habiller autrement et de changer un peu son apparence, a-t-il souligné.

L’Américain continue d’apprendre le russe et fait des progrès, s’est félicité l’avocat.

Il apprend très vite (…) Il lui suffit de quelques heures par jour pour apprendre les bases et commencer à parler, a dit Anatoli Koutcherena.

L’avocat a par ailleurs déclaré qu’Edward Snowden n’avait dévoilé qu’une petite partie des informations dont il dispose tout en affirmant qu’il n’était pas sollicité par les services secrets russes.

Selon l’avocat, son client ne regrette pas d’avoir renoncé à sa vie aux Etats-Unis.

Il n’est pas déçu. Il est persuadé qu’il a bien fait, a-t-il souligné.

Romandie.com avec (©AFP / 23 septembre 2013 13h52)

Interview Closer – Nabilla : « J’essaye de devenir classe ! »

août 2, 2013
Nabilla sur l'axe de ses ambitions

Nabilla sur l’axe de ses ambitions

La nouvelle Nabilla est arrivée ! Et c’est dans Closer que la jeune femme de 20 ans a choisi de dévoiler ses nouveaux projets. Exit son « Allô » devenu culte, Nabilla a d’autres ambitions, bien plus grandes. « Je me suis juré d’être millionnaire avant mes 30 ans », explique-t-elle dans nos colonnes. Rien que ça !

« J’ai envie de repartir sur de bonnes bases »

En attendant de toucher le jackpot, l’ancienne bimbo des Anges de la télé-réalité souhaite se diversifier. Après avoir écrit un livre – qui, contrairement à certaines rumeurs, n’est pas un flop – Nabilla a défilé pour Jean-Paul Gaultier et est actuellement à Los Angeles, où elle tourne la nouvelle saison de la série Hollywood Girls. Et à la rentrée, la jeune femme aura le droit à sa propre émission de télé-réalité, diffusée sur NRJ 12. « Je veux toucher à tout ! Et j’essaie de réussir chaque chose que j’entreprends », nous confie la petite-amie de Thomas.

Depuis plusieurs mois, on a lu et entendu beaucoup de choses sur Nabilla. On a parlé de prison, de prostitution, de sa relation compliquée avec son père. La semaine dernière encore, la jeune femme a fait le buzz après la publication d’une vidéo la montrant en train de se bagarrer avec une touriste dans les rues de Miami. Si elle ne renie pas ses frasques, Nabilla veut à présent faire table rase du passé. « J’ai envie de repartir sur de bonnes bases. Je suis en évolution constante et j’ai de nouvelles valeurs comme le respect, je gagne en maturité. Je deviens une femme, j’ai un copain depuis six mois, je ne sors pas en boîte de nuit, j’essaye de devenir classe, glamour », certifie Nabilla, qui a une devise dans la vie : « Jamais une erreur, toujours une leçon ».

Closer par Jordan Grevet |

A Londres et au Canada, des discothèques gay boycottent la vodka russe

juillet 30, 2013

LONDRES (Angleterre) – Plusieurs discothèques, restaurants et bar gay de Londres et du Canada ont indiqué mardi à l’AFP boycotter la vodka russe dans le cadre d’un mouvement mondial destiné à mettre en évidence les lois contre les homosexuels appliquées en Russie.

Le groupe G-A-Y qui gère la célèbre boîte de nuit londonienne Heaven, fait partie de ceux qui ont retiré de la vente les produits russes après l’adoption en juin d’une loi controversée qui punit tout acte de propagande homosexuelle devant mineur par de lourdes amendes. Les partisans du boycottage veulent également dénoncer la répression des manifestations pour la défense des droits des homosexuels.

Alors que d’autres pays avancent (sur les droits homosexuels), la Russie recule, a estimé Jeremy Joseph, le fondateur et gérant du groupe G-A-Y.

Il est important de se montrer solidaire en ces temps difficiles, a-t-il ajouté, précisant qu’il avait demandé à ses établissements de nuit parmi lesquels Heaven et trois autres club gay, de retirer de la vente, avec effet immédiat, toutes les boissons russes.

The Shadow Lounge, qui s’autoproclame premier club gay d’Europe, et les discothèques gay Compton’s et Manbar dans le quartier londonien de Soho ont également annoncé boycotter la vodka russe, citant la marque Stolichnaya comme étant celle qui est la plus affectée.

Le boycott de la vodka russe a aussi pris de l’ampleur à Montréal où notamment six établissements du Village, le quartier homosexuel de la métropole québécoise, ont annoncé ce week-end sur Facebook qu’ils cessaient de vendre cet alcool fort à leur client.

Je vais m’assurer qu’il n’y ait aucun produit russe dans mon établissement, a déclaré mardi à l’AFP Michel Gadoury, propriétaire du bar Le Stud, qui se dit sûr d’être appuyé par sa clientèle.

A Vancouver, sur la côte Pacifique du Canada, les bars et les restaurants du quartier homosexuel ont aussi emboîté le pas. Le restaurant le Fountainhead Pub a retiré tous les alcools russes de ses étalages: L’objectif, c’est d’informer les gens de ce qui se passe en Russie, a déclaré le gérant, Andrew Watling, à la télévision publique Radio-Canada. Selon les médias locaux, cette vague de boycott touche l’ensemble des établissements du quartier.

L’écrivain américain Dan Savage avait lancé la semaine dernière cet appel au boycottage en demandant à tous les bars homo de laisser tomber Stoli et la vodka russe pour dénoncer ce qu’il qualifie de pogrom anti-homo de Poutine.

Christopher Amos, le propriétaire du Manbar à Londres, a affirmé que cet appel s’était largement propagé dans la communauté gay internationale.

La marque Stolichnaya a répondu à cette campagne en publiant vendredi une lettre ouverte dans laquelle elle condamnait les actes terribles commis par le gouvernement russe.

La vodka Stolichnaya a toujours été et continue d’être un fervent supporteur de la communauté LGBT (lesbienne, gay, bisexuelle et transsexuelle), a affirmé Val Mendeleev, le directeur général du groupe SPI qui détient la marque.

Il a également affirmé que le gouvernement russe n’avait aucun contrôle et ne possédait pas cette marque dont le siège est au Luxembourg.

Une pétition a par ailleurs été signée par plus de 1.300 personnes sur Facebook pour appeler à une manifestation devant l’ambassade de Russie à Londres le 10 août.

La Russie a également adopté en juin une autre loi controversée, qui interdit l’adoption d’enfants russes par des couples homosexuels ou des célibataires dans les pays ayant légalisé les unions entre personnes de même sexe.

L’homophobie trouve un terrain favorable en Russie, pays où l’homosexualité a été considérée, depuis l’époque soviétique, comme un crime jusqu’en 1993 et comme une maladie mentale jusqu’en 1999.

Romandie.com avec (©AFP / 31 juillet 2013 02h14)

Nabilla : La reine des lapins

juin 9, 2013

Après avoir fait faux bonds à plusieurs boites de nuits récemment, Nabilla a récidivé samedi soir. Furieux, une centaine de clients a alors tenté d’aller la chercher à son hôtel.

Ca tourne au running gag. Après avoir posé un lapin à la discothèque d’Hérouville-Saint-Clair dans le Calvados, puis au Faou dans le Finistère, Nabilla a récidivé ce samedi soir.

Selon le quotidien Ouest-France qui rapporte l’histoire, vers 3 h 30 du matin, le patron de la discothèque Le Showtime a annoncé à ses clients que l’égérie des Anges de la Téléréalité ne viendrait pas. L’affaire est allée très loin puisqu’une centaine de clients ont décidé d’aller la chercher directement à son hôtel à Pont-l’Abbé.

Arrivés sur place, les clients ont exigé de voir Nabilla. La bimbo aurait été aperçue à la fenête de sa chambre mais elle aurait refusé de descendre, prétextant qu’elle était trop « fatiguée ». La gendarmerie s’est rendue sur les lieux pour calmer les esprits.

Selon Ouest-France, Nabilla aurait demandé un cachet de 6 000 € pour sa prestation. Le patron de la boîte de nuit aurait donc réclamé la somme puisque Nabilla ne s’est pas produite. Aux dernières nouvelles, il l’aurait récupéré.

Voici.fr

Au moins 119 morts dans l’incendie d’un abattoir en Chine

juin 3, 2013

Un incendie dans un abattoir de volailles situé dans le nord-est de la Chine a causé la mort d’au moins 11 personnes lundi, et d’autres personnes sont probablement bloquées dans le bâtiment, ont indiqué les médias officiels. Le sinistre s’est produit à Dehui, dans la province de Jilin.

« A 16h25 (10h25 en Suisse), en tout, 119 personnes avaient péri », a fait savoir le Bureau provincial d’information sur son compte Weibo, le twitter chinois, à propos de l’incendie survenu dans l’usine à Dehui. Quelques instants plus tôt, le même organisme, annonçant 93 morts, précisait que 54 personnes avaient également été blessées.

Plus de 300 personnes travaillaient à l’abattoir de Baoyuan quand le feu a pris, a précisé de son côté l’agence officielle Chine nouvelle, ajoutant que les secouristes sur place ignoraient combien de personnes étaient prises au piège par l’incendie.

Selon le portail internet chinois Baidu, il s’agit du pire incendie enregistré en Chine depuis plus d’une dizaine d’années.

Court-circuit

L’incendie a été causé par un court-circuit électrique, a indiqué la télévision publique chinoise CCTV sur son compte de microblog Weibo.

Les pompiers continuaient de lutter contre les flammes, selon l’agence officielle Chine Nouvelle, qui cite des sources locales. On ignorait encore si l’incendie avait pour origine un défaut d’application des règles de sécurité.

Les normes de sécurité sont parfois peu respectées en Chine, ce qui entraîne de graves accidents industriels meurtriers, notamment dans les mines et les usines.

En 2008, 44 personnes avaient été tuées par l’incendie d’une discothèque à Shenzen, près de Hong Kong, et un responsable de la police a été emprisonné pour avoir autorisé l’ouverture de la boîte de nuit, après avoir reçu un pot-de-vin.

Romandie.com

Nabilla persona non grata à Bourges

avril 24, 2013

 

La ville, qui a donné le coup d’envoi de son 37e « Printemps », ne tient pas à ce que la starlette de télé-réalité foule son sol.

 

Nabilla, lors de la présentation des "Anges de la téléréalité 4 Club Hawaï", le 30 mars 2012.
Nabilla, lors de la présentation des « Anges de la téléréalité 4 Club Hawaï », le 30 mars 2012. © DUPUY FLORENT / Sipa
Source Sipa Media

 

Un patron de boîte de nuit qui avait lancé une invitation à Nabilla, chantre du « Allô quoi ! », à l’occasion de la 37e édition du Printemps de Bourges, se serait vu opposer une fin de non-recevoir par la préfecture de la ville. Il dénonce cette décision sur son blog.

« La préfecture de Bourges m’interdit de la faire venir en boîte de nuit ! » explique ainsi le directeur artistique du Q Discothèque et du Jeremstar Café dans un billet posté le 22 avril. Celui qui voulait profiter du buzz Nabilla est dépité et peine à comprendre le choix de la municipalité. Alors que la présence de la star des « Anges de la téléréalité 5 » lui aurait garanti une soirée exceptionnelle, il fait part de son désarroi. Selon le papillon nocturne, « la préfecture assure ne pas pouvoir gérer la sécurité » et « les débordements » éventuels provoqués par la vedette. Elle prétend « qu’il est trop dangereux pour Nabilla de venir au moment du festival ».

« Nabilla, aussi compliquée que Madonna« 

La pin-up 2.0 serait-elle devenue trop « bankable » ? Ou « aussi compliquée que Madonna », pour citer le salarié déçu. Il est vrai que lors de son passage au « Grand Journal » de Canal + début avril, elle avait déclaré crouler sous les propositions, tandis que son passage chez Michel Denisot a dû encore affoler les marques.

Le patron de la programmation du Jeremstar peut toujours se rassurer en pensant aux récents « lapins » de la jeune femme. Celle-ci a en effet pris la mauvaise habitude, depuis son interview chez Michel Denisot, de ne pas honorer ses rendez-vous. Une manie qui coûte cher aux propriétaires de discothèques.

Le Point.fr

Equipe de France: Evra que ça recommence

février 13, 2013

Le joueur visé dans un nouveau scandale de mœurs

 
Equipe de France: Evra que ça recommence
  • Patrice-Evra

Patrice Evra est au cœur d’une polémique lancée par le tabloïd anglais The Sun. Selon le journal, il aurait passé une nuit à faire la fête en galante compagnie à la veille du dernier rassemblement de l’équipe de France. Le témoignage de la jeune femme qui l’affirme présente néanmoins de nombreuses failles.

Alors que Didier Deschamps, Noël Le Graët et l’ensemble de la Fédération Française Football s’efforcent de redorer l’image de l’Equipe de France, une nouvelle affaire vient frapper les Bleus. L’attaque vient du Sun, bien connu pour ses infos un peu trash et implique Patrice Evra, déjà au cœur du scandale de Knysna. Le tabloïd affirme que l’arrière gauche des Bleus aurait passé une nuit avec Carla Howe, un mannequin britannique habitué à se coucher en Une des magazines de charme. 

Les faits se seraient déroulés dimanche dernier, le 3 février, la veille du rassemblement des joueurs français pour préparer le match contre l’Allemagne. Patrice Evra et un de ses coéquipiers de Manchester United seraient allés dans une boîte de nuit des Champs-Elysées pour faire la fête avec Carla Howe et sa sœur jumelle Mélissa. La fête se serait prolongée à 6h du matin dans la suite que le joueur occupe dans un palace parisien.

La jeune femme par qui le scandale arrive a ainsi expliqué au Sun que le lendemain matin, Patrice Evra serait parti rejoindre ses coéquipiers à Clairefontaine, après lui avoir laissé 200 euros. Et c’est en apprenant que le joueur était marié et qu’il avait des enfants, alors que selon Carla Howe il se comportait avec elle comme un petit ami, qu’elle se serait décidée à tout balancer. «Je réalise maintenant qu’il voulait seulement coucher avec moi» se défend-elle après avoir expliqué qu’Evra l’a draguée pendant trois mois. Curieuse et tardive prise de conscience de la part de cette femme qui, si elle a vraiment mis autant de temps à céder aux avances du joueur, aurait pu prendre connaissance de la situation maritale de sa prétendue conquête pus tôt (Patrice Evra est marié à Sandra depuis 2007). 

Selon RMC Sports, les faits avancés par le journal anglais sont quelque peu exagérés. Et outre l’histoire privée qui ne regarde que les personnes concernées, Patrice Evra était à l’heure au rendez-vous fixé par Didier Deschamps lundi à Clairefontaine. Lui qui voulait un comportement irréprochable de ses joueurs n’a donc rien à dire sur celui de son arrière gauche. 

Celui-ci se sait dans le collimateur de la fédération, des instances du sport et des amoureux de foot depuis le triste épisode de Knysna. Il n’a plus le droit à l’erreur. N’en déplaise au Sun.

 Gala.fr par Jean-Christian Hay

France : les folles nuits des étudiants africains à Paris

janvier 23, 2013
 

Le rappeur Booba, patron du hip-hop français vient parfois animer les soirées. Le rappeur Booba, patron du hip-hop français vient parfois animer les soirées. © David Benoliel/AZ/Universal

Organisées dans les cadres les plus somptueux de la capitale française, les soirées African Money ont la préférence des enfants de grandes familles guinéennes, béninoises, gabonaises ou congolaises.

Lorsqu’ils débarquent sur la prestigieuse avenue Foch chaque vendredi soir, les internes de Saint-Martin-de-France délaissent aussitôt leur austère vie scolaire. Ils jettent d’abord leur dévolu sur Le Madrigal ou le Louis 25, deux restaurants-bars des Champs-Élysées. Ces adresses huppées qui ne sont pas à la portée de toutes les bourses constituent un excellent cadre pour un before avant la sortie en boîte de nuit.

Les soirées African Money ont ensuite la préférence de cette jeunesse dorée. Organisées dans les cadres les plus somptueux de la capitale française (Le Club Haussmann, le Trocadéro Ozu Club…), elles proposent deux formules. Le low-cost, pour le fêtard ordinaire qui ne débourse que 20 euros pour une entrée simple avec accès au bar. Et le service haut de gamme, pour ceux qui recherchent l’aisance et l’intimité d’un salon privé, de 550 euros à 2 000 euros la réservation. Il n’est pas rare que de jeunes clients dépensent jusqu’à trois fois ce montant. Le service est alors sur mesure : barmen à disposition, organisateurs bienveillants et agents de sécurité.

Stars

Lors de ces soirées bimestrielles, ces enfants de grandes familles guinéennes, béninoises, gabonaises ou congolaises font la fête avec des guest stars. Le rappeur Booba, patron du hip-hop français, le Congolais Fally Ipupa ou encore l’Ivoirien DJ Arafat, champion du coupé-décalé, viennent animer le show sur invitation. Les organisateurs envisagent aussi de faire venir les superstars nigérianes du duo P-Square ainsi que D’Banj.

Lancées en 2010 par le jeune businessman guinéen Sékou Diawara, les soirées African Money s’exportent à Yaoundé, Libreville, Abidjan et même Montréal. Prochaine édition, Casablanca.

Jeuneafrique.com par Abdel Pitroipa

Le prince Carl Philip de Suède agressé à Cannes sous les yeux de Sofia Hellqvist

août 13, 2012
Le prince Carl Philip de Suède agressé à Cannes sous les yeux de Sofia Hellqvist
 
 Le prince Carl Philip de Suède a été victime dans la nuit du 11 au 12 août 2012 d’une agression à la sortie du Baoli, une boîte de nuit de Cannes, sous les yeux de sa compagne Sofia Hellqvist et d’un groupe d’amis.
 
A Londres, le roi Carl XVI Gustaf de Suède et la reine Silvia ont pris le relais de leur fils le prince Carl Philip et de leur gendre le prince Daniel lors des Jeux olympiques, encourageant notamment avec ardeur leur équipe de handball, qui doit tenter dimanche de priver les Experts français d’une seconde médaille d’or olympique consécutive. 

Le prince Daniel est rentré et a retrouvé son épouse la princesse héritière Victoria et leur bébé la princesse Estelle, tandis que le prince Carl Philip a pour sa part choisi de mettre le cap sur la French Riviera avec sa compagne Sofia Hellqvist.

A Cannes depuis le début de semaine avec celle qui pourrait devenir prochainement sa fiancée ainsi que quelques amis, le prince Carl Philip, 33 ans, deuxième dans l’ordre de succession au trône de Suède, a été victime dans la nuit de samedi à dimanche, vers 3 heures du matin, d’une agression à la sortie d’une boîte de nuit, le Baoli.

La soirée avait pourtant bien été fort agréable jusque-là pour le prince et Sofia, qui avaient profité avec une huitaine d’amis, dans un espace privatisé, d’un dîner arrosé de rosé et de champagne, et avaient dansé avec plaisir lors de cette soirée « Crazy Angels » où tous étaient vêtus de blanc. Mais à la sortie de l’établissement cannois, un inconnu a agressé Carl Philip, le frappant violemment à la tête par derrière – une scène dont le quotidien suédois Aftonbladet a pu obtenir des images grâce à une vidéo amateur.

Un attroupement d’une douzaine de personnes s’est soudainement fait autour du prince, raconte un témoin. Dans le chahut, un homme l’a attrapé par le col, et l’instant d’après, il lui mettait un coup de poing derrière la tête, sans aucune provocation de sa part. « Lâchez-moi, lâchez-moi » cria le prince lorsqu’il se sentit agrippé tandis que, paniquée, Sofia Hellqvist hurlait « chéri, chéri » !

Bertil Tennert, porte-parole de la cour royale de Suède, a confirmé l’agression gratuite, et fait savoir que le prince, qui avait suite à l’incident disparu avec son groupe d’amis en direction du port, va bien et n’est pas blessé. Simplement un peu sonné et incrédule.

Le couple royal a été informé de cette péripétie. Reste à savoir si le palais royal choisira de porter cette affaire devant la justice ou d’oublier cette mésaventure, qui n’empêche pas le principal intéressé de poursuivre ses vacances.

Purepeople.com