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Palestine/Première à Gaza : deux femmes entrent au bureau politique du Hamas

mars 14, 2021

Le mouvement islamiste palestinien a annoncé ce dimanche soir la composition de son nouveau bureau politique.

Le mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, a annoncé ce dimanche soir la composition de son nouveau bureau politique dans lequel figurent deux femmes, pour la première fois de son histoire.

Le Hamas avait annoncé la semaine dernière la réélection de Yahya Sinouar à la tête de son bureau politique dans cette enclave palestinienne surpeuplée de deux millions d’habitants et sous blocus israélien. Il a dévoilé ce dimanche l’identité des 20 membres de son bureau politique à l’issue de scrutins internes menés à l’approche des premières élections générales – législatives en mai, présidentielle en juillet – prévues en 15 ans dans les Territoires palestiniens.

Parmi eux figurent deux femmes, Jamila Chanti et Fatima Chourab, elle-même présidente de la Commission des femmes, selon la liste officielle consultée par l’AFP. Si Fatima Chourab avait droit à un poste à la tête de l’organisation à titre de présidente de la Commission des femmes, Jamila Chanti est, elle, devenue ce dimanche la « première femme élue » au sein du bureau politique du Hamas, selon un communiqué du mouvement. Le Hamas « veut envoyer un signal positif à la communauté internationale et à l’ensemble de la région, en changeant son image et en montrant qu’il est ouvert et que les femmes y sont représentées », a commenté Adnane Abou-Amer, professeur de sciences politiques à l’Université islamique de Gaza.

Le Hamas doit tenir dans les prochains mois des élections internes pour le chef de l’ensemble du mouvement. Outre le chef sortant Ismaïl Haniyeh, son adjoint Jamal al-Arouri et l’ex-chef du mouvement Khaled Mechaal font partie des candidats. Outre sa branche politique, le Hamas – considéré comme une organisation terroriste par de nombreux pays occidentaux – dispose d’une branche militaire comptant des milliers de combattants à Gaza et qui a été au cœur de trois guerres avec Israël (2008, 2012, 2014).

Par Le Figaro avec AFP

Congo-Disparition : Claude Maurice Malela Soba s’en est allé !

novembre 19, 2020

Membre du bureau politique du Parti congolais du travail (PCT), l’ancien préfet, Claude Maurice Malela, est décédé le 18 novembre à Brazzaville.

Claude Maurice Malela Soba/DR

L’ex ambassadeur du Congo en République centrafricaine, Claude Maurice Malela Soba, était membre du bureau politique du PCT, depuis le 5e congrès ordinaire de 2019. Il a été réélu, le 19 août dernier, au poste de président du comité PCT de l’arrondissement 1 Makélékélé.

Membre du Conseil économique, social et environnemental, il fut commissaire politique dans les départements de la Lékoumou et du Pool. De même, il a  assuré les fonctions de préfet des départements du Niari de 2000 à 2003 et des Plateaux de 2003 à 2012.

Avec Adiac-Congo par Parfait Wilfried Douniama

Congo/U.d.r-Mwinda : Vingt-six membres du bureau politique et du conseil national ont démissionné

octobre 29, 2013

Coup dur à l’U.d.r-Mwinda (Union pour la démocratie et la république), le parti dirigé par Guy-Romain Kinfoussia et situé à l’opposition: vingt-six membres du bureau politique et du conseil national ont claqué la porte et «décidé de poursuivre la lutte dans une nouvelle organisation politique qui va incarner les valeurs réelles défendues par le regretté président fondateur de l’U.d.r-Mwinda, André Ntsatouabantou Milongo».

Le chef de file de ce groupe qui a démissionné de l’U.d.r-Mwinda est l’ancien député Dominique Basseyla, ex-vice-président de l’U.d.r-Mwinda, suivi de Bonaventure Matingou, ex-président de la fédération U.d.r-Mwinda de Brazzaville.

Est-ce l’épilogue de la crise interne, qui a secoué l’U.d.r-Mwinda? L’on se souvient que le 12 septembre 2013, le conseil national, lors de sa cinquième session extraordinaire, sous la direction de Guy-Romain Kinfoussia, avait prononcé des sanctions contre deux de ses membres, l’ancien député Dominique Basseyla et Jacques Katassa, secrétaire chargé de l’organisation et la mobilisation du bureau fédéral U.d.r-Mwinda du Niari 1.

L’ancien député a longtemps mûri sa réaction. Et lundi 28 octobre dernier, il a tenu un point de presse, dans la salle de mariage de la mairie de Moungali, en compagnie des vingt-cinq autres signataires de la «déclaration relative à la démission collective des membres du bureau politique et du conseil national de l’U.d.r-Mwinda». Cette déclaration est un véritable réquisitoire contre le successeur d’André Milongo. Sur quinze paragraphes, douze lui sont consacrés, comme on peut le constater:

«-Considérant que la dernière session du bureau politique dirigée de façon unilatérale par le timonier Guy-Romain Kinfoussia, sans possibilité de débats, de dialogue et de consensus sur les grandes questions d’intérêt général du parti a mis à mal ce principe d’organisation et de direction cher à notre parti;
– Considérant que la dérive dictatoriale et totalitaire du camarade Guy-Romain Kinfoussia, imbu de sa propre personne, entrave la liberté d’expression et l’exercice réel de la démocratie au sein de l’U.d.r-Mwinda;
– Considérant la volonté manifeste du camarade Guy-Romain Kinfoussia d’entraver l’exercice réel de la démocratie au sein du parti durant les différentes sessions du bureau politique ou du conseil national;
– Considérant la volonté délibérée d’entraver la liberté de discussion et de débats au sein du parti par le camarade Guy-Romain Kinfoussia;
– Considérant que la politique radicale, sous l’impulsion du camarade Guy Romain Kinfoussia et ses alliés, conduit l’U.d.r-Mwinda à la ruine;
– Considérant que l’immixtion de certains alliés dans la bonne conduite des affaires du parti entraîne la perte de l’essence et de l’originalité de l’U.d.r-Mwinda, qui cesse d’être un parti centriste;
– Considérant la volonté manifeste du camarade Guy Romain Kinfoussia de pratiquer la politique de la chaise vide aux élections futures ce qui est contraire aux valeurs défendues par le regretté président fondateur de l’U.d.r-Mwinda, André Ntsatouabantou Milongo;
– Considérant le caractère pédant et pontifiant du camarade Guy Romain Kinfoussia, seul détenteur du savoir absolu qualifiant, souvent, les autres membres du parti de coco/manioc;
– Considérant la volonté délibérée d’enfreindre les principes d’organisation et de direction chers à notre parti par le Camarade Guy Romain Kinfoussia;
– Considérant la gestion opaque des finances du parti par le camarade Guy-Romain Kinfoussia;
-Considérant les politiques de fumée et de pique-bœuf, sans résultats probants pour le parti, ont profité au seul timonier;
– Considérant la précarité dans laquelle le camarade Guy-Romain Kinfoussia a, volontairement, placé le parti, avec comme conséquence, l’abandon du siège et de l’arrêt des activités à tous les niveaux d’organisation du parti;

– Nous, membres du bureau politique et du conseil national (ci-après cf. la liste en annexe) avons décidé de mettre fin à nos activités au sein de l’U.d.r-Mwinda et de poursuivre la lutte dans une nouvelle organisation politique qui va incarner les valeurs réelles défendues par le regretté président fondateur de l’U.d.r-Mwinda, André Ntsatouabantou Milongo».

Lasemaineafricaine.net propos recueillis par Pascal Azad DOKO

Congo: L’UMP en session ordinaire et la longue disparition du ministre d’Etat Isidore Mvouba

septembre 17, 2013

Le bureau politique de l’U.m.p (Union pour un mouvement populaire), parti situé au centre, exige du gouvernement l’explication sur l’absence prolongée, au pays, du ministre d’Etat Isidore Mvouba, ministre du développement industriel et de la promotion du secteur privé. C’est ce qui ressort, entre autres, de sa 5ème session ordinaire tenue du 13 au 14 septembre 2013, dans la salle de conférences de l’hôtel Résidence Marina, à Brazzaville, sous la direction de son président, Elvis Girel Okombi-Tsalissan.

Préoccupé par la vie politique nationale, le bureau politique de l’U.m.p a abordé d’autres questions, comme le recensement administratif spécial, l’issue du procès sur les explosions du 4 mars 2012, la procédure judiciaire française sur l’affaire des disparus du beach, etc.

Analysant la situation politique nationale et internationale, le bureau politique de l’U.m.p a retenu, au plan national, la situation du 4 mars 2012. Selon lui, l’annonce et l’ouverture du procès avaient suscité l’espoir du peuple congolais, en général, et, en particulier, des victimes. Cependant, le bureau politique de l’U.m.p constate que le verdict rendu ne répond pas à la question de savoir ce qui s’était passé, le 4 mars 2012. Ce procès a donc laissé les Congolais sur leur soif de connaître la vérité sur ce drame.

A propos du recensement administratif spécial, l’U.m.p a émis ses réserves sur son déroulement et s’interroge sur le désintéressement des composantes politiques et de la société civile, d’une part, et de l’absence totale de sensibilisation, d’autre part. C’est pourquoi, l’U.m.p appelle à la mobilisation de tous, les acteurs politiques comme les populations pour la réussite de cette opération de recensement.

Sur le ministre d’Etat Isidore Mvouba, le bureau politique de l’U.m.p constate, à l’instar du peuple congolais, une absence prolongée non expliquée. De ce fait, au nom du principe de la transparence, l’U.m.p exige du gouvernement des explications, pour rassurer l’opinion nationale, face aux rumeurs qui circulent.

L’U.m.p condamne la reprise de la procédure judiciaire française sur l’affaire des disparus du beach et appelle le gouvernement à la responsabilité et suggère la convocation de l’ambassadeur de France au Congo pour lui manifester le mécontentement du peuple congolais. Sur le rejet par le sénat de la demande de la levée de l’immunité parlementaire du sénateur Nicolas Ikongo Logan, le bureau politique s’interroge sur la décision du sénat et demande, par conséquent, au procureur général de constituer le dossier.

Au plan international, la guerre en Syrie a retenu l’attention de l’U.m.p. Ce parti approuve la démarche proposée par la Russie et réaffirme son attachement à la résolution politique du conflit syrien.

Mais, concernant la situation de non droit qui prévaut en République Centrafricaine, il a émis de fortes inquiétudes. C’est pourquoi, il a appelé les différents médiateurs à multiplier les démarches vers une solution rapide, afin que le peuple centrafricain retrouve la paix.

L’U.m.p a salué l’ouverture de la concertation politique, fruit de la volonté politique des filles et fils de la RDC de régler leurs différends par le dialogue. Mais, le parti d’Elvis Girel Okombi-Tsalissan exprime son regret sur la situation politique en Egypte.

Enfin, l’U.m.p a réaffirmé son appartenance à l’idéologie libérale. De ce fait, le parti en appelle à la constitution d’une grande famille libérale au Congo. De même, il approuve la modification de la devise de l’U.m.p, qui, désormais, sera: «Tu ne voleras pas, tu ne mentiras pas, tu ne tueras pas».
Rappelons que l’ouverture de cette session ordinaire a été marquée par le discours du président de l’U.m.p qui a circonscrit le contexte dans lequel se tenait la 5ème session ordinaire du bureau politique et appelé les participants à faire preuve d’imagination, pour que les décisions prises soient à la hauteur des enjeux du moment.

Lasemaineafricaine.net par P-A DOKO

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Côte d’Ivoire: Les adversaires de Bédié saisissent le Bureau politique du Pdci

septembre 16, 2013

Les adversaires de l’ancien Chef de l’Etat ivoirien, Aimé Henri Konan Bédié à la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, ex-parti unique) ont saisi, lundi, le bureau politique dudit parti dénonçant des ‘’ manœuvres’’ qui sont de nature à compromettre le succès du XIIème congrès ordinaire.

Dans une correspondance adressée aux ‘’ Honorables » et ‘’ Vénérés » membres du Bureau politique, dont copie a été transmise à APA, Kouassi Yao, Bertin Kouadio Konan, Alphonse Djédjé Mady, ont formulé des griefs contre le Comité d’organisation du prochain congrès dont les membres sont dans une logique ‘’de permettre la désignation d’un président du parti sans passer par la vérité des urnes ».

‘’Le Comité d’organisation du congrès se confond étrangement avec le Comité de campagne du candidat Henri Konan Bédié » indiquent-ils en s’appuyant sur les déclarations des principaux membres dudit Comité.

Réunis au sein de l’Alliance pour le Renouveau Démocratique du Pdci (Ard-Pdci), MM. Kouassi, Kouadio et Mady ont informé le bureau politique que cette structure n’est ‘’ni un courant, ni des prémices d’un nouvel éclatement du Pdci-Rda » mais un instrument de mise en commun des moyens de ‘’lutte contre les atteintes graves à l’épanouissement de la démocratie au sein du parti ».

Outre la mise en place d’un Comité paritaire pour redresser ces ‘’dérives institutionnelles », ils sollicitent, également, le maintien du nombre des délégués au congrès à ‘’16.000 », la mise à disposition de la liste des congressistes ‘’60 jours » avant la date du congrès et un ‘’appel à candidatures » pour l’élection du Président du Pdci-Rda.

Une réunion du bureau politique du parti doyen de Côte d’Ivoire est annoncée pour le jeudi 19 septembre prochain. Le Pdci-Rda renouvellera ses instances dirigeantes à l’issue de son 12ème congrès ordinaire prévu du 3 au 5 octobre prochain.

APA-Abidjan (Côte d’Ivoire)

Congo: A l’U.d.r-Mwinda, on a réglé les comptes à ceux qui sont allés à Dolisie

avril 3, 2013

 

On ne badine pas avec la discipline du parti. L’ancien député, Dominique Basseyla, l’apprend à ses dépens. Le bureau politique de l’U.d.r-Mwinda, qui s’est réuni mardi 26 mars 2013, sous la direction de Pascal Ngouanou, deuxième, vice-président assurant l’intérim du président absent du Congo, a statué sur la participation à la concertation politique nationale de Dolisie, de Dominique Basseyla et Jacques Katassa, respectivement premier vice-président du parti et secrétaire, chargé de l’organisation et de la vie du parti de la fédération U.d.r-Mwinda du Niari 1. Les deux ont été suspendus du parti, à compter de cette date.

Lasemaineafricaine.com

Congo: Faustin Élenga prononce la dissolution du CADD-MJ, Okombi-Salissa proteste

avril 3, 2013
 

Les membres du conseil central du Comité d’action pour la défense de la démocratie-mouvement de jeunesse (CADD-MJ), aile Faustin Élenga, ont décidé de la dissolution de ce mouvement juvénile. Un jour après, l’aile André Okombi-Salissa a protesté contre cette dissolution, annonçant la rupture avec le parti congolais du travail (PCT).


Faustin Élenga prononce la dissolution du CADD-MJ, Okombi-Salissa proteste
La décision de dissoudre le CADD-MJ, prononcée par l’aile Faustin Élenga, a été prise à l’issue du congrès extraordinaire tenu le 30 mars dernier au palais des congrès de Brazzaville. Ce congrès a connu la participation du membre du bureau politique du PCT, secrétaire permanent chargé de la jeunesse, Fernand Sabaye. Ce dernier a pris acte de la décision du CADD-MJ, expliquant qu’elle s’inscrivait dans le cadre de la mise en œuvre des orientations du 6ème congrès extraordinaire du PCT, tenu en juillet 2011.

Faustin Élenga, deuxième vice-président du CADD-MJ, a expliqué aux militants que la dissolution du mouvement s’inscrivait dans la perspective de la création d’une seule organisation de jeunesse affiliée au PCT. Il a rappelé les circonstances du CADD-MJ, le 28 août 1993. Ce mouvement est né de la volonté du Président Denis Sassou N’Guesso de sauver la jeune démocratie congolaise qui était menacée après la conférence nationale souveraine par le pouvoir d’alors, a-t-il dit.

«Le président fondateur du CADD-MJ a constaté qu’il était temps de fédérer les énergies politiques autour du PCT en vue de renforcer ses actions de soutien au président de la République. Nous irons tous à la nouvelle organisation des jeunes qui verra le jour sous peu. Nous allons monnayer nos talents politiques avec autant de force et d’abnégation comme nous le faisions au CADD-MJ. De toutes les façons, nous n’avons pas changé de chef politique. Il reste le même, le Président de la république, Denis Sassou N’Guesso», a ajouté Faustin Élenga.

L’aile André Okombi-Salissa soutient que le Président Denis Sassou N’Guesso et le fondateur du CADD-MJ et que ce mouvement juvénile appartient toujours à la majorité présidentielle. Mais, il rejette en bloc la décision de dissolution du mouvement.

 

Congo-site.com par Gaspard Lenckonov

Afrique du Sud : Jacob Zuma réélu pour cinq ans à la tête de l’ANC

décembre 18, 2012

Jacob Zuma se maintient à la tête de l’ANC. Mardi 18 décembre, le président sud-africain a obtenu 2 983 des 3 977 suffrages exprimés par les délégués du congrès électif du parti, réunis depuis dimanche à Bloemfontein (centre).

Ses nombreux ennemis n’auront donc pas réussi à le faire chuter. Le président sud-africain Jacob Zuma a été réélu pour cinq ans à la tête de l’ANC, mardi 17 décembre, par les délégués du congrès électif du parti réunis depuis dimanche à Bloemfontein (centre). Une victoire confortable puisque Zuma a remporté 2 983 des 3 977 suffrages exprimés, selon l’annonce officielle des résultats, lue à la tribune.

Avec ce succès, Jacob Zuma est quasiment assuré d’être également réélu à la présidence de l’Afrique du Sud en 2014, l’ANC étant presque certain de remporter à nouveau les élections.

Son principal adversaire, l’actuel vice-président, Kgalema Motlanthe, a obtenu 991 votes. Celui qui avait attendu le 13 décembre pour annoncer sa candidature à la tête du parti perd ainsi sa place de numéro deux de l’ANC. C’est Cyril Ramaphosa, ex-syndicaliste devenu richissime homme d’affaires, qui siège notamment au conseil d’administration du groupe minier britannique Lonmin, qui a été désigné avec 3 018 voix, contre 463 pour Tokyo Sexwale, et 470 pour Mathews Phosa.

Ramaphosa successeur de Zuma ?

Proche de Zuma, Ramaphosa se se place pour succéder un jour au chef de l’État, pourquoi pas dès 2014 si ce dernier décidait de ne pas briguer un second mandat.

À l’occasion de ce congrès, l’ANC renouvelait l’ensemble de son bureau politique (le « top six »). Gwede Mantashe a été élu Secrétaire général, avec Jessie Duarte pour adjoint. Autres postes importants, ceux de responsable national et de trésorier général, ont été confiés respectivement à Baleka Mbete (vice-présidente du 25 septembre 2008 au 9 mai 2009) et à Zweli Mkhize.

Jeuneafrique.com par Vincent Duhem avec AFP