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France: Une église «profanée» en Charente-Maritime

novembre 11, 2019

 

Tabernacle fracturé, custode (boîte à hostie) volée, statues brisées, croix du Christ renversée: l’église de Tonnay-Charente en Charente-Maritime a été «profanée», a annoncé lundi l’évêque de La Rochelle et de Saintes.

«L’église de Tonnay-Charente a été profanée, pas cambriolée. Le tabernacle, qui contient les hosties, a été fracturé et la custode, qui renferme les hosties pour l’Adoration lors de la messe, a été volée», a déclaré à l’AFP Mgr Georges Colomb. «Des statues ont été brisées, la croix du Christ a été renversée, la statue de saint Joseph portant l’enfant Jésus a été décapitée. C’est une offense faite aux catholiques», a-t-il estimé, confirmant une information de Sud Ouest.

Ces dégradations ont eu lieu samedi vers 18h. «Ça s’est joué à quelques minutes avant que des paroissiens n’arrivent», a expliqué à l’AFP le maire de la commune, Eric Authiat.

Messe de réparation

«Demain matin (mardi), je vais déposer plainte. On a des objets inscrits au titre de la Drac (Direction régionale des affaires culturelles) dont une porte du retable, qui a été pliée en deux, une autre arrachée. Il faudra faire réparer par des artisans d’art. Il faudra aussi remettre l’église dans son état initial», a-t-il ajouté.

Une messe d’enterrement prévue mardi matin a été déplacée dans la commune voisine de Lussant «pour ne pas effacer les traces que les policiers pourront collecter», selon le maire. Une messe de réparation en l’église Saint Etienne de Tonnay-Charente est d’ores et déjà programmée jeudi en présence du vicaire général. La police de Rochefort est chargée de l’enquête.

Par Le Figaro avec AFP

Du cannabis cultivé en prison découvert

août 23, 2012
 
Des pieds de cannabis cultivés par des détenus ont été découverts dans la cour de promenade de la maison centrale de Saint-Martin-de-Ré (Charente-Maritime), a-t-on appris aujourd’hui auprès du syndicat FO pénitentiaire confirmant une information de Sud Ouest.

La quinzaine de pieds d’une hauteur de 80 centimètres, selon le quotidien, ont été découverts « lors d’une ronde ce week-end dans les carrés de plantation laissés à discrétion des détenus en longue peine », a indiqué le délégué régional FO pénitentiaire, Christophe Beaulieu.

Ces jardinets, où les détenus font traditionnellement pousser des légumes ou des fleurs, se situent le long des murs de la centrale dans « un endroit où se retrouvent les détenus entre eux », a expliqué M. Beaulieu. Après cette découverte stupéfiante, le syndicat dénonce « le laxisme de l’administration pénitentiaire » et rappelle qu’il « réclame depuis longtemps des interventions de personnel pour venir procéder à des fouilles et saisir des objets ou substances qui pourraient être trouvés ».

Selon M. Beaulieu, « l’administration achète une paix sociale » à l’intérieur de l’établissement. « Ce n’est pas de façon volontaire mais si on envoie trop souvent du personnel de surveillance sur ces zones on risque de créer des tensions », a-t-il déclaré.

Il explique également le fait que les gardiens ne se soient pas plus tôt aperçus de la présence des plantes illicites en raison d’un manque de formation spécifique sur les stupéfiants. « Quand on ne connaît pas il est possible de confondre », a estimé M. Beaulieu.

 
Lefigaro.fr avec AFP

Une dispute entre Hollande et Trierweiler à l’origine du tweet

juin 15, 2012

« Tu vas voir de quoi je suis capable »

 
 
Une dispute entre Hollande et Trierweiler à l’origine du tweet
 
D’après une journaliste du Point, lorsque Valérie Trierweiler a envoyé le tweet contre Ségolène Royal, elle savait parfaitement ce qu’elle faisait. Tout serait parti d’une dispute avec François Hollande.

« À aucun moment je n’ai été interventionniste », jurait Valérie Trierweiler le 7 juin sur France Inter. Mais ça, c’était avant. Avant le 12 juin et son tweet de soutien à l’adversaire de Ségolène Royal aux législatives à La Rochelle : « Courage à Olivier Falorni qui n’a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d’années dans un engagement désintéressé. » Un message de 135 signes qui a enflammé la scène politique et provoqué l’ire de François Hollande.

À l’origine de ce tweet, il y aurait, d’après une journaliste du Point, une dispute entre le président de la République et Valérie Trierweiler. La raison ? Il s’est publiquement affiché en faveur de son ex-compagne et mère de ses quatre enfants, dans la profession de foi de Ségo : « Dans cette circonscription de Charente-Maritime, Ségolène Royal est l’unique candidate de la majorité présidentielle qui peut se prévaloir de mon soutien et de mon appui ». Une démarche qu’il aurait entamée sans consulter sa compagne actuelle. Qui n’aurait que moyennement apprécié ce soutien à son ex. Valérie Trierweiler l’aurait alors mis en garde : « Tu as pris position en faveur de Royal sans me le dire. Tu vas voir de quoi je suis capable ! »

Un scénario, qui, s’il est avéré, ferait un excellent thème pour une telenovela.

Voici.fr par M-A.K.