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Congo-Loandjili: un vieux Mbochis en colère après la disparition de son chat

novembre 28, 2022
 Loandjili: un vieux Mbochis en colère après la disparition de son chat

Dans la capitale économique du Congo, Pointe-Noire, plus précisément au quartier Loandjili, Albert Oko, un sexagénaire est dans tous ses états depuis de la disparition de son chat très potelé. Il soupçonne les jeunes de l’avoir kidnappé à des fins culinaires. Il a fait l’aller -retour de sa rue pour exprimer sa colère criant seul.

Ce phénomène prend de plus en plus à Pointe-Noire et les propriétaires des chats ne savent plus à quel saint se vouer. Un habitant de la ville parle de la forte demande de cet animal domestique sur le marché. Depuis que manger de la viande de chat n’est plus un tabou grâce aux Béembés, cet animal est en danger permanent.

Faute de se lancer dans son élevage, les restaurateurs se dirigent auprès des vendeurs occasionnels lesquels se ravitaillent directement dans les cités. Ils volent sans scrupule les chats des citoyens qu’ils revendent à 10.000 frs.

De nombreux voisins en sont arrivés à la main à cause de ce phénomène. Avec raison que le doyen Albert Oko soupçonne son voisinage de la disparition de son chat. Malgré toute la vigilance et sécurité, on a réussi quand-même à lui voler son animal et il n’est pas prêt à s’avouer vaincu.

Albert Oko a promis à se rendre à Sibiti pour se venger de ses voleurs. Selon son témoignage, ce chat était devenu comme un membre de plus de la famille et ce depuis six ans.

Mais certains de ses voisins disent que le vieux Mbochis pleure autant pour un simple chat, c’est que l’animal était composé. Au Congo, les gens n’ont pas encore assimilé l’importance d’un animal domestique au sein d’une famille.

Avec Le Congolais.fr

Congo/Pointe-Noire: Souvent moqué, un jeune Beembé fait manger le chat à ses amis lors de son anniversaire

mai 9, 2022
 Souvent moqué, un jeune Beembé fait manger le chat à ses amis lors de son anniversaire

C’était pour lui une occasion de mettre fin à toutes les moqueries dont il était victime de ses amis. Il a fait tuer deux chats pour son anniversaire que ses sœurs ont cuisiné en sauce et braisé pour le bien de ses amis lesquels malgré la colère ont reconnu les bonnes vertus délicieuses. C’est après la fête qu’il a sorti les deux têtes des chats !

Ce n’est plus un secret pour personne que les Beembés adorent la viande de chat et d’ailleurs ne s’en cachent plus. Mais il y a toujours d’autres ethnies qui ont font un sujet de moquerie alors que chaque dimanche à Voungou ou Loussala on retrouve les consommateurs de toutes les ethnies du Congo.

Bredel Mpika, un jeune lycéen qui a longtemps souffert des invectives de ses amis sur cette question du chat a décidé d’y mettre fin de la manière la plus culinaire possible. Pour son anniversaire, il a fait tuer deux chats que ses invités ont mangé avec beaucoup d’appétit croyant être en face d’une viande de brousse.

Le jeune Béembé a pris la peine de garder jalousement les deux têtes des chats qu’il a présenté à la fin de la fête à ses amis pour couper court aux moqueries. Fâchés dans un début, ses amis se sont résignés et ont même apprécié la saveur du chat.

A l’instar du Ngul’Mu Mako, la consommation de la viande du chat s’est vulgarisée et chaque dimanche les consommateurs affluent dans les restaurants Béembés pour la déguster avec une bonne bière fraîche.

Avec Lecongolais.fr

Mon pauvre petit chat

août 4, 2021

Au milieu de la ferraille calcinée

Le chat avec ses pattes feutrées

Découvre stupéfait le désastre

De la maison à la fumée ocre

Premier courageux à y faire le retour

Dans cette habitation aux folles odeurs

Grande est sa désolation de ces ruines

Qui témoignent l’ampleur des fumigènes

Mon pauvre petit chat pleure en miaulant

Incapable de décrire l’état de la maison

Et de toutes ces carcasses noircies

Par la violence des flammes sans répit

Ô mon petit chat abandonné à Varympompi

Durant l’ordre d’évacuation de cet incendie

Qui brûle la forêt à Dekelia près d’Athènes

Fonde ton espoir aux pompiers et aux mânes

Bernard NKOUNKOU BOUESSO

Au Panama, un chat convoyeur de drogues capturé aux abords d’une prison

avril 16, 2021

Son petit sac en tissu accroché autour de son cou avait attiré l’attention : un chat convoyeur de drogues a été capturé aux abords d’une prison du Panama, ont annoncé vendredi 16 avril les autorités du pays d’Amérique centrale. Ce «narcogato» (chat trafiquant de drogue) comme le nomment les médias panaméens, a été capturé à l’extérieur de la prison de Nueva Esperanza où sont entassés plus de 1700 détenus, dans la province caribéenne de Colon, à environ 80 kilomètres au nord de la capitale Panama.

«L’animal avait un tissu attaché autour du cou qui contenait plusieurs paquets (…) de matière végétale et des emballages en plastique transparent avec de la poudre blanche», a expliqué Andrés Gutiérrez, directeur général du système pénitentiaire panaméen. «Une enquête a été ouverte sur l’utilisation d’animaux pour le transfert de substances illicites au centre pénitentiaire de Nueva Esperanza», a annoncé le procureur de la province en charge des narcotrafics, Eduardo Rodriguez. Les stupéfiants retrouvés seraient de la cocaïne, du crack et de la marijuana.

Pour les inciter à rentrer dans la prison et faire office de convoyeur de drogue, les animaux sont généralement nourris par les prisonniers, a ajouté Eduardo Rodriguez, précisant qu’une fois l’enquête terminée le chat sera remis à un centre d’adoption. Le Panama compte plus de 18.000 détenus dans 23 prisons, dont la plupart sont surpeuplées. Ce n’est pas la première fois que des animaux sont utilisés pour transporter de la drogue dans les cellules. Le «narcogato» avait été précédé par des tentatives d’utilisation de pigeons ramiers.

Pays de transit de la cocaïne sud-américaine vers les Etats-unis, le Panama a saisi 84 tonnes de différentes drogues en 2020, principalement de la cocaïne, approchant le record de 2019 de 90 tonnes.

Par Le Figaro avec AFP

Royaume-Uni: un chat testé positif au nouveau coronavirus pour la première fois

juillet 27, 2020

La directrice médicale de la santé publique en Angleterre a estimé que «cela ne devrait pas être une source d’inquiétude».

Un chat testé positif au nouveau coronavirus est devenu le tout premier animal domestique contaminé au Royaume-Uni, ont annoncé lundi 27 juillet les autorités sanitaires, soulignant qu’il n’y avait «pas de preuve» qu’il puisse transmettre la maladie aux êtres humains.

Des tests effectués la semaine dernière par l’Agence de la santé animale et végétale (Apha) dans son laboratoire de Surrey, près de Londres, ont confirmé la contamination du félin, a annoncé Christine Middlemiss, vétérinaire en chef britannique. «Il s’agit du premier cas au Royaume-Uni de chat domestique testé positif au Covid-19, mais ça ne devrait pas être une source d’inquiétude», a réagi Yvonne Doyle, directrice médicale de la santé publique en Angleterre, soulignant qu’«il n’y avait pas de preuve que les animaux peuvent transmettre la maladie aux êtres humains».

Une contamination du maître vers le chat

Selon les premiers éléments de l’enquête sanitaire, «la contamination a eu lieu du maître vers le chat», a-t-elle ajouté. Le matou avait d’abord été diagnostiqué par un vétérinaire comme souffrant d’herpès virus félin, mais un échantillon testé par la suite au Covid-19 s’est révélé positif.

Quelques cas de contamination chez les animaux de compagnie ont déjà été confirmés ailleurs en Europe, aux États-Unis et en Asie. «C’est un événement très rare et les animaux contaminés à ce jour ne présentent que des signes cliniques bénins, puis se rétablissent en quelques jours», a rassuré Christine Middlemiss.

Par Le Figaro avec AFP

Congo/Pointe-Noire: il inclut 10 chats dans la liste de la Dot de sa fille

septembre 26, 2018

 

Le chat désormais, objet faisant partie de la liste de la Dot
Nkaya Mabounda, quinquagénaire bembé et domicilié au quartier Voungou à Pointe-Noire, ne s’est pas gêné à inclure dans la liste de la Dot de sa fille 10 chats. Le futur beau-fils, déterminé à pulvériser tous les obstacles pour gagner le cœur de sa dulcinée, a fourni 15 chats au lieu de 10 dans sa Dot.On rappelle que pour de nombreux ressortissants du département de la Bouenza, manger du chat fait partie de la tradition.

Bien que sa consommation ait chuté, chaque année plusieurs chats (ki wayi) en langue bembé, sont mangés dans la Bouenza.

Il est vrai qu’au Congo-Brazzaville, la loi reste muette sur cette pratique alimentaire, il va s’en dire que celle-ci met tout de même à mal les us sociaux, car le chat est considéré par tous comme un animal de compagnie.

Il est peut-être temps que les autorités se penchent sur la question, même si certains jeunes justifient leurs pratiques par la situation de crise qui sévit dans le pays.

Jack MAÏSSA / Les Echos du Congo Brazzaville

Congo/Mouyondzi: il égorge le chat du voisin et le mange à la banane

juin 19, 2018

 

Le trophée du chat en mode consommation
Moutouchsson, originaire du village Mayalama à un jet de pierre de la ville de Mouyondzi dans le département de la Bouenza (sud), reconnu comme grand consommateur de chat au quartier Mbota à Pointe-Noire, a encore frappé très fort.

Lors de son dernier séjour dans son village natal (Mayalama), le jeune carnivore n’a pas hésité d’attraper intelligemment le chat de son voisin qu’il a égorgé froidement avant de le mettre au feu.

Dans le département de la Bouenza, manger du chat fait partie de la tradition. Bien que sa consommation ait chuté, chaque année plusieurs chats (ki wayi) en langue bembé, sont mangés dans la Bouenza.

Il est vrai qu’au Congo-Brazzaville, la loi reste muette sur cette pratique alimentaire, il va s’en dire que celle-ci met tout de même à mal les us sociaux, car le chat est considéré par tous comme un animal de compagnie.

Il est peut-être temps que les autorités se penchent sur la question, même si certains jeunes justifient leurs pratiques par la situation de crise qui sévit dans le pays.

Jack MAÏSSA / Les Echos du Congo Brazzaville

Saint-Valentin: les Français préfèrent la passer avec…leur animal de compagnie

février 14, 2018
Saint-Valentin : les Français préfèrent la passer avec… leur animal de compagnie
Crédit : Getty Images

 

La fête des amoureux n’est plus ce qu’elle était ! Fini les boîtes de chocolat en forme de cœur, les bouquets de roses rouges, ou encore les serments d’amour éternel le soir de la Saint-Valentin. Les Français auraient-ils un cœur de pierre ? Non, ils préfèrent juste la compagnie de leur animal…

Selon une étude menée par Groupon (site de vente en ligne) et l’institut Opinium Research, un quart des Français (24%) préférerait passer la soirée de la Saint-Valentin avec leur animal de compagnie plutôt que de sortir avec leur amoureux.  Comment expliquer ce désamour pour l’autre ? Peut-être parce que 49 % de nos compatriotes pensent que leur animal de compagnie est plus affectueux que leur (potentiel) partenaire.

39% d’entre eux  trouvent même que Felix, Milou ou Flipper est plus drôle que leur moitié. Il faut dire qu’un chiot  qui court après la queue d’un Golden, ou un chat qui saute de terreur devant un concombre est plus hilarant qu’un humain pendu à son smartphone ou scotché devant un match de foot.
Force est de constater que si homme et femme vivent ensemble, c’est chacun dans sa bulle. Résultat, 36 % des Français préfèrent partager leurs secrets avec leur boule de poils, et 55% d’entre eux considèrent que leur animal est plus apte à leur remonter le moral. Incroyable, non ?

Et les milléniums sont aussi friands de leur animal de compagnie que leurs aînés : après les selfies sexy ou coquins pour émoustiller leur moitié, 48% des couples qui ont entre 18 et 24 ans s’extasient désormais devant les photos partagées de leur animal47% des français sont fiers d’afficher Médor dans son panier, ou minette faisant sa toilette, en fond d’écran de leur portable. Des images, il est vrai, apaisantes et rassurantes offrant une parenthèse positive dans leur journée.

De là à affirmer que c’est de la faute du hamster, ou de la perruche, si un couple n’a plus d’intimité, voire même de relations sexuelles, il n’y a qu’un pas… que les Français ont sauté. 21% admettent qu’avoir un animal de compagnie est synonyme de moins de relations sexuelles. Même les célibataires s’y mettent : 23% d’entre eux pensent que c’est à cause de Loustic ou Dora qu’ils sont passés à côté d’une relation sexuelle lors d’un rendez-vous.

Alors, l’amour entre homme et femme est-il mort ? Non, la Saint-Valentin est justement l’occasion de raviver (ou allumer) la flamme. Confiez Puce ou Zébulon, mais aussi vos portables, à vos parents et offrez-vous une sortie en amoureux… rien que vous deux !

Femmeactuelle.fr par Marina Cecchi

Congo: un Beembé mange le chat d’un commerçant mauritanien pour se venger de l’esclavage en Libye

décembre 13, 2017

 

« Ton chat était trop potélé Mohamed…La prochaine fois tâche de moins le nourrir pour ne pas remuer les envies des gens et en plus chez vous traitez les Noirs comme des esclaves.Le beembé n’a pas tort» lui a dit en substance le chef du quartier auprès duquel le mauritanien s’est plaint.

Depuis un bon moment Mabika Florent, un béembé avait ciblé le chat du mauritanien et chaque fois qu’il voyait l’animal, ses pensées l’imaginaient dans sa marmite : « Ce chat est vraiment potélé ! » lançait il.Il a profité de l’esclavage en Libye pour passer à l’action.Tout le quartier lui a donné raison et regretté de ne pas les avoir invité.

Florent Mabika est connu dans le quartier comme un mangeur de chat,il ne s’en cache pas et en est aussi fier, revendiquant au passage sa culture béembée «  Le chat est un anti dote contre les sorciers » lâchait il souvent pour encourager ces amis à suivre son exemple. Tous les dimanches, il réunit ces amis autour d’une table où le plat favori était bel et bien la viande de chat. «  Plat numero 10 ou maître d’EPS » comme cela figure sur le menu des restaurants de Voungou à Pointe-Noire.

Mohamed, le boutiquier du coin,n’a jamais hésité à maintes reprises de le mettre en garde contre la tentation de toucher à son chat qui affichait une santé de fer. Le Mauritanien et le Béembé entretenaient de bonnes relations,passant le plus des soirées ensemble autour d’un thé. Une amitié qui a pris fin après cet épisode.

Après deux jours de recherche infructueuse, Mohamed qui au départ ne doutait pas de son ami Florent a commencé à changer d’avis quand une voisine « songeuse » lui a soufflé avoir vu le fis du Béembé kidnappé l’animal.

«  Mohamed, tout ce vacarme et toute cette tristesse pour un chat ? » lui a lancé froidement Florent qui a avoué avoir mangé son chat le dimanche avec ses invités. « J’ignorai que la viande de ton chat pour être si bonne…Je vais t’offrir un chaton demain t’inquiète..Tu as le don d’élever de la bonne viande.Mais saches qu’après je le mangerai  si tes frères arabes continuent à traiter mes frères d’esclaves. »

Se sentant diminué en terrain ennemi Mohamed s’est rapproché du chef du quartier pour se plaindre de l’attitude de son ex ami Florent. « Ton chat était trop potélé » lui a signifié le chef du quartier, lequel lui aussi exhorté de privilégier le bon voisinage « Ce n’est pas pour un chat fut -il potélé que tu vas créer des problèmes dans le quartier « »

Florent Mabika et toute sa famille ont été depuis interdit de fréquenter la boutique de Mohamed qui a jugé bon de ne plus avoir un autre chat.

Sacer-infos.com par Stany Franck

Nouvelle-Zélande: Une canadienne prise le chat dans le sac

décembre 22, 2016

 

Ce n’est que lorsque les douaniers de l’aéroport d’Auckland ont voulu passer son bagage au rayon X qu’elle est passée à table.

«Nous pensons qu'il s'agissait d'une tentative de contrebande délibérée et très stupide», a déclaré le ministère des industries primaires (MPI).

«Nous pensons qu’il s’agissait d’une tentative de contrebande délibérée et très stupide», a déclaré le ministère des industries primaires (MPI). Image: Fotolia

Une Canadienne a été prise le chat dans le sac à l’aéroport d’Auckland et immédiatement renvoyée dans son pays pour avoir tenté de faire rentrer son félin en fraude en Nouvelle-Zélande, ont annoncé les autorités jeudi. «Nous pensons qu’il s’agissait d’une tentative de contrebande délibérée et très stupide», a déclaré le ministère des industries primaires (MPI), chargé entre autres de la biosécurité.

Les lois sur la biosécurité sont très strictes en Nouvelle-Zélande et l’importation d’animaux de compagnie est sévèrement réglementée. Tout chat ou chien autorisé à rentrer doit passer du temps en quarantaine, parfois même plusieurs mois.

La passagère était arrivée mercredi à Auckland après un vol de 15 heures en provenance de Vancouver. Elle a omis de déclarer aux services d’immigration le chat dissimulé dans son sac à main, ne reconnaissant son existence que lorsque les douaniers ont voulu passer le sac aux rayons X.

«Les services d’immigration ont refusé d’autoriser la femme à rentrer dans le pays. Elle a été forcée de retourner au Canada avec son chat sur le prochain vol disponible», a déclaré le MPI dans un communiqué.

«Des lois très strictes sur la biosécurité sont en vigueur pour éviter que des chats et des chiens importés ne propagent des maladies en Nouvelle-Zélande. De toute évidence, la passagère a décidé qu’elle en était exemptée».

On ignorait les circonstances dans lesquelles cette fan de félins avait pu quitter le Canada avec son animal. (AFP/Le Matin)

Lematin.ch(Créé: 22.12.2016, 10h11)