Posts Tagged ‘Chercheurs’

L’obésité augmente fortement chez les jeunes Français

février 20, 2023
L'obesite augmente fortement chez les jeunes Francais
L’obésité augmente fortement chez les jeunes Français© AFP/Archives/PHILIPPE HUGUEN

La part de Français obèses a continué à augmenter ces dernières années, avec une hausse particulièrement marquée chez les plus jeunes adultes, ont détaillé lundi des chercheurs menant une étude de référence sur le sujet.

L’obésité connaît « une augmentation qui est forte dans les classes d’âge les plus jeunes », a résumé Annick Fontbonne, épidémiologiste à l’Inserm, lors d’une conférence de presse.

La chercheuse a détaillé une étude qu’elle a menée sur la proportion d’adultes obèses ou en surpoids en France en 2020.

Selon cette étude, effectuée par sondage auprès d’environ 10.000 personnes représentatives de la population, près de la moitié des Français –47 %– pèseraient un poids trop élevé par rapport aux recommandations médicales.

Parmi eux, un sixième des Français (17 %) seraient obèses, c’est-à-dire à un niveau de poids considéré comme maladif par opposition à un simple surpoids.

Cette étude est une référence sur le sujet de l’obésité et du surpoids en France, car elle est régulièrement effectuée depuis la fin des années 1990.

Elle est donc intéressante pour évaluer l’évolution de l’obésité et du surpoids. Or, si ce dernier tend à se stabiliser voir diminuer depuis une décennie, l’obésité continue à toucher de plus en plus de Français.

Ces résultats étaient déjà globalement connus, car ils avaient été rendus publics l’an dernier par la Ligue contre l’Obésité, association qui a relancé cette étude après une période d’inactivité.

Mais ils font désormais l’objet d’une publication dans une revue, le Journal of Clinical Medicine, et dans l’intervalle, les chercheurs ont pu affiner leurs conclusions.

Ils ont donc remarqué que la hausse de l’obésité frappait particulièrement les 18-24 ans. Ces derniers sont, dans l’absolu, la classe d’âge la moins touchée avec un dixième –9,2 %– d’obèses, mais cette part a quadruplé depuis une vingtaine d’années.

Autre conclusion notable, l’obésité est plus ou moins fréquente selon les régions: elle touche plus de 20 % des personnes interrogées dans les Hauts-de-France ou le Grand Est.

Cette répartition géographique correspond notamment à des réalités socio-économiques, les régions les plus pauvres tendant à être plus affectées.

« Les gens ne sont pas +addicts+ à la mauvaise bouffe mais ils sont incités à en acheter parce que c’est moins cher », relève Mme Fontbonne. « Les aliments de bonne qualité, les aliments que l’on dit sains, ils sont généralement plus chers »

Avec Le Point.fr par AFP

Bourses d’excellence du gouvernement suisse pour chercheurs 2023

septembre 16, 2022

Les bourses sont destinées aux étudiants étrangers et africains pour étudier en Suisse.

1. Données sur la bourse 

Année de la bourse : 2023

Pays : Suisse

Organisme : plusieurs universités

Niveau d’études : master, doctorat

Spécialités de la bourse : sciences humaines et sociales, sciences fondamentales, plusieurs spécialités

Montant de la bourse : jusqu’à 100% des frais des études

Date limite pour postuler : 31 décembre 2022

2. Organisme d’accueil 

Nom de la bourse : bourses d’excellence du gouvernement suisse pour chercheurs et artistes

Organisme : plusieurs universités

3. Description de la bourse 

Chaque année, la Confédération suisse attribue des bourses d’excellence gouvernementales pour promouvoir les échanges internationaux et la coopération en matière de recherche entre la Suisse et plus de 180 autres pays. Les récipiendaires sont sélectionnés par l’organisme d’attribution, la commission fédérale des bourses pour étudiants étrangers. En effet, les bourses d’excellence du gouvernement suisse s’adressent aux jeunes chercheurs étrangers titulaires d’une maîtrise ou d’un doctorat et aux artistes étrangers titulaires d’une licence.

Par ailleurs, les bourses d’art sont ouvertes aux étudiants en art souhaitant poursuivre un premier master en Suisse. En plus, les bourses d’art sont attribuées pour étudier dans n’importe quel conservatoire ou université des arts suisse. La bourse de recherche est disponible pour les chercheurs de troisième cycle dans n’importe quelle discipline. Les bourses de recherche sont attribuées pour des recherches ou des études dans toutes les hautes écoles cantonales suisses, les hautes écoles spécialisées et les deux écoles polytechniques fédérales, ainsi que les quatre instituts de recherche.

Ainsi, les candidatures sont soumises à une sélection préalable par les autorités nationales compétentes et/ou la représentation diplomatique suisse.

4. Groupe cible 

Pour tous les groupes.

5. Pour postuler 

Vous voulez postuler pour les bourses d’excellence du gouvernement suisse pour chercheurs ? Vous devez préparer un dossier de demande de bourse d’études selon les exigences des bourses d’excellence du gouvernement suisse pour chercheurs. Ensuite, vous devez suivre le lien ci-dessous pour envoyer votre demande.

Lien : https://scholarships.unimelb.edu.au/awards/mobility-awards

Par Bourses africaines

Avec Adiac-Congo

Le prix Nobel de médecine remis à deux chercheurs pour la découverte de récepteurs

octobre 4, 2021

STOCKHOLM — Deux scientifiques basés aux États-Unis ont reçu lundi le prix Nobel de médecine pour leur découverte des récepteurs qui permettent aux humains de ressentir la température et le toucher.

© Fournis par La Presse Canadienne

David Julius et Ardem Patapoutian ont concentré leurs travaux dans le domaine de la somatosensation, c’est-à-dire la capacité d’organes spécialisés tels que les yeux, les oreilles et la peau à voir, entendre et sentir.

«Cela dévoile vraiment l’un des secrets de la nature», a déclaré Thomas Perlmann, secrétaire général du comité Nobel, en annonçant les lauréats. «C’est en fait quelque chose qui est crucial pour notre survie, c’est donc une découverte très importante et profonde.»

Le comité a expliqué que M. Julius, 65 ans, utilisait la capsaïcine, le composant actif des piments chilis, pour identifier les capteurs nerveux qui permettent à la peau de réagir à la chaleur.

M. Patapoutian a trouvé des capteurs sensibles à la pression dans les cellules qui répondent à la stimulation mécanique, a ajouté le comité.

Le couple avait partagé le prestigieux prix Kavli pour les neurosciences l’année dernière.

«Imaginez que vous marchez pieds nus dans un champ un matin d’été», a illustré Patrik Ernfors du comité Nobel. «Vous pouvez sentir la chaleur du soleil, la fraîcheur de la rosée du matin, une brise d’été caressante et la texture fine des brins d’herbe sous vos pieds. Ces impressions de température, de toucher et de mouvement sont des sensations reposant sur la somatosensation.

«Ces informations circulent en permanence depuis la peau et d’autres tissus profonds et nous relient au monde externe et interne. C’est également essentiel pour les tâches que nous effectuons sans effort et sans trop y penser», a ajouté M. Ernfors.

M. Perlmann a déclaré qu’il avait réussi à parler aux deux gagnants avant l’annonce.

«Je (…) n’ai eu que quelques minutes pour leur parler, mais ils étaient incroyablement heureux», a-t-il raconté. «Et pour autant que je sache, ils étaient très surpris et un peu sous le choc, peut-être.»

Le prix avait été décerné l’an dernier à trois scientifiques qui avaient découvert le virus de l’hépatite C qui ravage le foie, une percée qui a conduit à des remèdes contre la maladie mortelle et à des tests pour empêcher le fléau de se propager dans les banques de sang.

Le prix prestigieux est accompagné d’une médaille d’or et de 10 millions de couronnes suédoises (plus de 1,14 million $ US). L’argent du prix provient d’un legs laissé par son créateur, l’inventeur suédois Alfred Nobel, décédé en 1895.

Le prix est le premier à être décerné cette année. Les autres prix récompenseront des travaux exceptionnels dans les domaines de la physique, de la chimie, de la littérature, de la paix et de l’économie.

By The Associated Press

Lutte contre le paludisme: des chercheurs développent un nouveau vaccin efficace à 77%

avril 26, 2021

Des chercheurs américain et burkinabé de l’Université d’Oxford et des scientifiques de l’Institut de recherche en sciences de la santé du Centre national de la recherche scientifique et technologique (CNRST) ont déclaré être les premiers à atteindre l’efficacité vaccinale « impressionnante » de 77 %.

« L’efficacité vaccinale obtenue chez des enfants africains réalise l’objectif de 75 % spécifié par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) », précise un communiqué conjoint des deux centres de recherche publié le 24 avril, par le ministère burkinabè de la Santé.

Le vaccin R21/Matrix-M a été testé auprès de quatre cent-cinquante enfants du Burkina Faso. Il affiche un « bon profil d’innocuité » qui a été bien toléré ainsi qu’un « excellent potentiel de fabrication à grande échelle et d’approvisionnement à faible coût », ont assuré les chercheurs. L’étude va maintenant faire l’objet d’essais à grande échelle.

Pour avoir une autorisation de vaccination à grande échelle, ces derniers ont lancé le recrutement de quatre mille huit-cents participants âgés de cinq à trente-six mois dans quatre pays africains (Burkina Faso, Kenya, Mali et Tanzanie).

« Ce sont des résultats impressionnants montrant des niveaux d’efficacité sans précédent d’un vaccin qui a été bien toléré dans notre programme d’essais clinique. Nous attendons avec impatience la prochaine étape, qui est l’essai clinique de phase II, pour confirmer avec des données à grande échelle les résultats d’innocuité et d’efficacité d’un vaccin qui est hautement indispensable pour le contrôle du paludisme dans notre région », a déclaré Halidou Tinto, professeur en parasitologie, directeur régional de I’IRSS a Nanoro, et investigateur principal de l’essai.

Pour Adrian Hil, directeur du Jenner Institute, titulaire de la chaire de professeur en vaccinologie, Lakshmi Mittal and Family à l’université d’Oxford et co-auteur du document de recherche, « ces nouveaux résultats soutiennent nos grandes attentes quant au potentiel de ce vaccin, qui, à notre avis, est le premier à atteindre l’objectif de l’OMS d’un vaccin contre le paludisme avec une efficacité d’au moins 75% ».

« Avec l’engagement de notre partenaire commercial, le Serum Institute of India, de fabriquer au moins deux cents millions de doses par an dans les années à venir, ce vaccin a le potentiel d’avoir un impact majeur sur la santé publique s’il venait à être homologué », a-t-il ajouté.

Le Pr. Charlemagne Ouédraogo, ministre de la Santé du Burkina Faso, a souligné que le paludisme est l’une des principales causes de mortalité infantile en Afrique.

« Nous avons soutenu les essais cliniques d’une gamme de nouveaux Vaccins candidats au Burkina Faso et ces nouvelles données montrent que l’homologation d’un nouveau vaccin antipaludique très utile pourrait bien se réaliser dans les années à venir. Ce serait un nouvel outil extrêmement important pour contrôler le paludisme et sauver de nombreuses vies », a-t-il expliqué.

La Covid-19 monopolise l’attention mondiale

La crise sanitaire de Covid-19 a monopolisé l’attention mondiale, faisant craindre un relâchement des efforts contre le paludisme.

« Eviter que la lutte contre le paludisme ne soit victime de la Covid-19 ». C’est l’objectif des experts du partenariat Roll Back Malaria(RBM),  impliqués dans les efforts visant à combattre cette maladie infectieuse propagée par les piqûres de moustiques.

Signalons que le partenariat RBM est la plateforme mondiale de coordination des actions de lutte contre le paludisme. Il mobilise les efforts et les ressources et forge un consensus entre les partenaires. Il a été lancé en 1998 par l’OMS, l’Unicef, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et la Banque mondiale, en vue d’apporter une réponse coordonnée pour faire face à la maladie dans le monde entier.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a souligné que la perturbation des traitements antipaludéens causée par la pandémie de Covid-19 pourrait entraîner des dizaines de milliers de décès supplémentaires.

« Il est donc primordial de continuer de lutter contre le paludisme sur le continent, malgré la pandémie de Covid-19 », a rappelé le Dr Moumouni Kinda, directeur général d’une ONG médicale qui agit sur le terrain en Afrique centrale et de l’ouest pour prévenir des effets de cette maladie. Depuis un an, l’OMS a enregistré une hausse de la mortalité liée au paludisme de dix-neuf mille à cent mille personnes en Afrique subsaharienne.

Certains chercheurs travaillent sur l’élaboration de nouveaux médicaments (la trithérapie). Un traitement à base de trois molécules, dont les essais sont actuellement menés sur mille six-cents enfants de moins de cinq ans dans plusieurs pays (Mali, Ghana, Gabon, Bénin…). Comme les médicaments combinés existent déjà sur le marché, le coût de cette nouvelle trithérapie serait abordable pour le continent africain.

Selon l’OMS, le paludisme tue plus de quatre cent mille personnes chaque année, dont de nombreux enfants, en Afrique subsaharienne. Au Burkina Faso, cette maladie est la première cause des hospitalisations et a tué près de quatre mille personnes en 2020, selon les données officielles.

Avec Adiac-Congo par Yvette Reine Nzaba

La distanciation sociale sans doute nécessaire jusqu’en 2022, selon des chercheurs d’Harvard

avril 14, 2020

Plusieurs périodes de distanciation sociale seront sans doute nécessaires jusqu’en 2022 pour empêcher que le nouveau coronavirus n’engorge les hôpitaux de malades aux États-Unis, estiment des chercheurs d’Harvard dans une étude publiée mardi par la revue Science. L’équipe d’Harvard a modélisé la pandémie de Covid-19, la maladie causée par le virus, en partant de l’hypothèse qu’elle serait saisonnière comme d’autres virus de la même famille, dont des coronavirus responsables du rhume, qui aiment l’hiver.

Leur simulation a dû s’accommoder de nombreuses inconnues sur le nouveau venu, baptisé SARS-CoV-2, notamment sur le niveau et la durée de l’immunité acquise par une personne contaminée. «Une mesure ponctuelle de distanciation sociale sera probablement insuffisante pour que l’incidence de SARS-CoV-2 reste dans les limites de la capacité des services de réanimation aux Etats-Unis», a résumé l’un des auteurs, Stephen Kissler, dans une conférence téléphonique mardi avec des journalistes.

Avec Le Figaro

L’homme de Néandertal explorait déjà des grottes il y a 176.500 ans

mai 25, 2016

Paris – Des chercheurs ont découvert que d’étranges structures circulaires en stalagmites repérées dans une grotte du sud-ouest de la France avaient très probablement été construites par l’homme de Néandertal il y a 176.500 ans, révèle une étude publiée mercredi dans la revue Nature.

Cela recule considérablement la date de fréquentation des grottes par le genre Homo, la plus ancienne preuve formelle datant jusqu’ici de 38.000 ans (grotte Chauvet en Ardèche), a estimé le CNRS, dont l’un des chercheurs a participé à l’étude. Cela change également notre vision de l’homme de Néandertal.

Surplombant la vallée de l’Aveyron, la grotte de Bruniquel (Tarn-et-Garonne) a été découverte en 1990 par des spéléologues.

Très difficile d’accès, elle conserve à plus de 330 mètres de l’entrée d’étonnantes structures composées d’environ 400 stalagmites ou tronçons de stalagmites accumulés et agencés, pour deux d’entre elles, de façon circulaire.

Elle recèle aussi des preuves de l’utilisation du feu (calcite rougie, noircie par la suie) et des vestiges d’os calcinés.

En 2013, un trio de chercheurs a décidé d’entreprendre une série d’études pour cartographier les structures. Ils ont fait dater les stalagmites par la méthode uranium-thorium qui permet de remonter à des périodes très anciennes.

Verdict: les agencements ont environ 176.500 ans. Et un vestige d’os brûlé a lui aussi cet âge vénérable.

Les scientifiques ont vérifié que ces structures ne pouvaient pas être d’origine naturelle ou bien être liées à la circulation des ours dans la caverne.

Nous avons démontré de manière incontestable que ces structures sont bien d’origine humaine, déclare à l’AFP Jacques Jaubert, professeur de préhistoire à l’Université de Bordeaux.

A l’époque, l’Homo Sapiens (l’homme moderne) n’était pas encore arrivé en Europe. Donc il ne peut s’agir que de l’homme de Néandertal, explique-t’il.

Romandie.com avec(©AFP / 25 mai 2016 19h03)

Des chercheurs découvrent une exoplanète potentiellement habitable

septembre 14, 2011

Une équipe internationale d’astronomes a annoncé la découverte de plus de cinquante nouvelles exoplanètes en orbite autour de proches étoiles, dont une « super-Terre » située dans une zone « habitable », c’est-à-dire où l’eau peut être sous forme liquide. C’est la plus grosse moisson d’exoplanètes annoncée en une seule fois, a relevé, mardi 13 septembre, dans un communiqué l’Observatoire austral européen (ESO).

Ces résultats ont été présentés lundi lors de la conférence sur les systèmes solaires extrêmes qui a lieu dans le Wyoming, aux Etats-Unis. Depuis 2003, le spectrographe Harps, performant « chasseur » d’exoplanètes de l’ESO, installé au Chili, ausculte le ciel austral en quête de planètes gravitant autour d’autres étoiles que le Soleil. Sa dernière moisson d’une cinquantaine d’exoplanètes inclut 16 « super-Terre », c’est-à-dire des planètes ayant une masse comprise entre une et dix fois celle de notre planète.

UNE EXOPLANÈTE JUGÉE POTENTIELLEMENT HABITABLE

L’une de ces super-Terre, tournant autour de l’étoile naine Gliese 581, pourrait s’avérer « habitable » avec un climat propice à la présence d’eau liquide et à la vie. Cette exoplanète, environ 3,6 fois plus massive que la Terre, est située à trente-six années-lumière (1 année-lumière = 9 460 milliards de km). Sept fois plus massive que la Terre et vraisemblablement rocheuse, Gliese 581d « pourrait devenir la première planète potentiellement habitable jamais découverte », a annoncé lundi le Centre national de la recherche scientifique dans un communiqué. Gliese 581d pourrait bénéficier d’un effet de serre lui offrant un climat « chaud au point de permettre la formation d’océans, de nuages et de pluie », selon une modélisation illustrant « la grande variété des climats possibles pour les planètes de la galaxie », précise le CNRS.

« Au cours des dix à vingt prochaines années, nous devrions avoir la première liste de planètes potentiellement habitables » autour d’étoiles dans le voisinage du Soleil, assure Michel Mayor, codécouvreur de la première planète extrasolaire en 1995, estimant qu’établir une telle liste est indispensable avant de tenter de détecter des signatures de la vie dans l’atmosphère d’exoplanètes. Depuis 1995, plus de six cent soixante-dix exoplanètes ont été détectées par différentes équipes d’astronomes

LeMonde.fr avec AFP