Posts Tagged ‘Conférence de presse’

Paul Mukendi réapparaît dans un hôtel en RDC

octobre 20, 2021
Plan moyen de Mukendi, vêtu de blanc.

Paul Mukendi au palais de justice de Québec. (Archives) PHOTO : RADIO-CANADA / DANIEL COULOMBE

Le révérend Paul Mukendi, en fuite depuis deux mois, serait bel et bien en République démocratique du Congo (RDC). Il a refait surface dans un hôtel de la capitale Kinshasa, mardi, où il avait convoqué des médias locaux.

Condamné à huit ans de prison au Canada pour agressions sexuelles et voies de fait, Paul Mukendi avait affirmé dans une apparition sur les réseaux sociaux, il y a un mois, qu’il était rentré dans son pays natal. Or, aucune information, à ce moment, ne permettait de confirmer qu’il s’était rendu en République démocratique du Congo.

Mardi, des images montrant le révérend ont commencé à circuler sur les médias sociaux, puis dans des publications congolaises. On y mentionnait qu’il avait tenu une conférence de presse à l’hôtel Marika, dans le quartier de la Gombe.

Un secrétaire de l’établissement hôtelier a confirmé à Radio-Canada qu’une salle avait été louée mardi au nom de Paul Mukendi, de 9 h à 11 h, et qu’une quinzaine de personnes auraient assisté à une conférence de presse organisée par le révérend lui-même.

Trois représentants de la presse congolaise ont affirmé à Radio-Canada avoir reçu une invitation à l’événement, et deux y ont assisté. C’est le cas notamment de CongoBuzz.tv, un média qui a publié des textes favorables à Paul Mukendi ces dernières semaines.

Son directeur général, Christian Bosembe, confirme avoir envoyé un représentant de sa salle de rédaction. Un autre média, Congo Profond, a aussi confirmé sa présence, en plus de diffuser une courte vidéo du révérend prenant la parole. Radio-Canada n’a cependant pas pu authentifier le matériel qui circule en ligne.

La police vérifie

Le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) a pris connaissance des mêmes informations. Ces informations étaient en cours d’analyse mardi après-midi.

Comme précédemment, étant donné que l’enquête criminelle est toujours en cours afin de localiser M. Mukendi, nous ne divulguerons pas davantage de renseignements afin de ne pas nuire à l’enquête, a précisé la porte-parole du SPVQService de police de la Ville de Québec Marie-Pier Rivard.

Paul Mukendi devait se livrer aux autorités le 20 août, après avoir été débouté en Cour d’appel. Un mandat d’incarcération a été lancé contre lui depuis qu’il a pris la fuite. Il est également en attente d’un second procès pour agression sexuelle.

Avec Radio-Canada par David Rémillard et Alexandre Duval

Congo/Commission nationale électorale indépendante : Mathias Dzon propose une structure équitable

décembre 20, 2020

Lors d’une conférence de presse qu’il a animée, le 19 décembre à Brazzaville, le président de l’Alliance pour la République et la démocratie (ARD) est revenu sur la gouvernance électorale. Mathias Dzon rejette le nouveau bureau de la CNEI qu’il juge inéquitable et appelle à la mise en place d’une structure digne.

Candidat à la présidentielle de 2021, Mathias Dzon s’est insurgé contre le nouveau bureau de la Commission nationale électorale indépendante (CNEI). Il estime que cet organe dirigé par le président de la Cour suprême, et dominé par la majorité présidentielle, ne garantit pas une élection transparente. Ainsi, pour confirmer son indépendance, Mathias Dzon veut d’une structure représentant de manière équitable toutes les sensibilités politiques et la société civile.

« La reconduction du bureau de la CNEI est une honte pour la République. Le président d’une telle institution ne peut pas être en même temps président de la Cour suprême, parce que c’est cette haute juridiction qui tranche en dernier ressort, en cas de contentieux électoralLa CNEI est composée quasiment des membres de la majorité présidentielle, avec quelques têtes isolées sélectionnées d’une opposition que le pouvoir contrôle », a indiqué Mathias Dzon.

Cependant, pour résoudre la question de la gouvernance électorale, l’ARD propose au chef de l’Etat de convoquer en urgence une conférence des représentants des candidats à l’élection présidentielle.

Parlant de la concertation politique de Madingou, l’ARD, qui a pourtant participé à ces assises, a affirmé que ces retrouvailles ont été à nouveau un rendez-vous manqué cuisant. Car, a-t-il soutenu, rien de concret n’a été décidé, pouvant garantir une élection crédible et transparente. Il a fait savoir que tout a été fait sous forme d’un passage en force, sans un réel consensus. Le fichier électoral, tel qu’il se constitue, même si les listes électorales sont revisées, sème le doute d’une élection transparente.

Dans son message, Mathias Dzon, comme d’habitude, est revenu sur la libération de Jean Marie Michel Mokoko et de André Okombi Salissan. Deux opposants, candidats malheureux à l’élection présidentielle de 2016, condamnés à 20 ans de prison par la justice, pour atteinte à la sûreté intérieure de l’État et détention illégale d’armes de guerre.

De même, l’ARD a plaidé pour le fonctionnement de certains partis de l’opposition non reconnus par le ministère de l’Intérieur. Il a cité, entre autres, la CADD d’André Okombi Salissa ; l’UP de Jean-Martin Mbemba ; l’UPC de Paulin Makaya et le PSDC de Clément Mierassa.

Avec Adiac-Congo par Firmin Oyé

Carlos Ghosn tiendra une conférence de presse le 8 janvier

janvier 1, 2020

L’ancien patron de Renault-Nissan est arrivé au Liban lundi 30 décembre après avoir fui le Japon.

Le 8 novembre 2018.
Le 8 novembre 2018. Ludovic MARIN / AFP

Selon un de ses avocats, Carlos Ghosn, l’ancien patron de Renault-Nissan, tiendra une conférence de presse mercredi 8 janvier à Beyrouth.

Le sexagénaire a atterri au Liban lundi 30 décembre après avoir fui Tokyo, au Japon, où il était assigné en résidence depuis le mois d’avril dans l’attente de ses procès.

Selon Reuters, qui cite deux membres de l’entourage de l’ex-dirigeant, la fuite de Carlos Ghosn aurait été orchestrée par une société de sécurité privée.

«Je suis à présent au Liban. Je ne suis plus l’otage d’un système judiciaire japonais partial où prévaut la présomption de culpabilité», avait écrit Ghosn lundi dans un communiqué.

Par Le Figaro avec Reuters

Voyage de Donald Trump avec une conférence de presse ensemble avec Theresa May au Royaume-Uni

juin 4, 2019

 

Avec  France24 publiée le 4 juin 2019

RDC: Conférence de presse de Jean-Pierre Bemba ce 3 août 2018 à Kinshasa

août 3, 2018

 

RDC: conférence de presse de la Lucha interdite à Goma, libération de 40 militants à Kinshasa

juillet 31, 2018

Kinshasa – Un point-presse du mouvement pro-démocratie Lutte pour le changement (Lucha), qui voulait dénoncer « l’assassinat » d’un de ses membres mort dans un incendie, a été interdit par la police mardi à Goma dans l’est de la République démocratique du Congo.

Une quarantaine de manifestants arrêtés la veille dans la capitale Kinshasa, ont été libérés mardi, en début d’après midi.

La police a interdit l’accès au point-presse de la Lucha dans son fief de Goma (est), a constaté l’AFP. « Il ne pouvait pas tenir leur conférence de presse sans l’autorisation de la mairie », a justifié le maire Timothée Muissa Kiesse.

Un militant de la Lucha a lu dans la rue un communiqué qui dénonce les conclusions d’une enquête judiciaire sur la mort de Luc Nkulula, 33 ans, mi-juin dans l’incendie de sa maison à Goma. « Pour l’instant, il n’y a aucun prévenu à poursuivre. C’est tout simplement un incident malheureux », a déclaré vendredi le procureur.

« Nous sommes plus que jamais convaincus que notre camarade a été assassiné », dit le communiqué de la Lucha, mouvement des jeunes indignés qui demande le départ du président Joseph Kabila dont le mandat à la tête du pays s’est achevé en décembre 2016.

Lundi, quarante militants des mouvements citoyens congolais dont sept de la Lucha avaient été arrêtés « lors d’une marche silencieuse ».

« Ils marchaient pour aller déposer un mémorandum au bureau de la représentante spéciale du chef de l’État en charge de la lutte contre les violences sexuelles afin d’exiger l’implication du président de la République pour la libération des filles et femmes esclaves sexuelles au Kasaï », avait déclaré plus tôt à l’AFP Nera Kanyinda, chargé de communication d’un autre mouvement citoyen (Engagement citoyen pour le changement, Eccha), organisatrice de la marche.

« On vient de libérer les 40 militants, aucune charge n’a été retenue contre eux », a affirmé M. Kanyinda.

M. Kanyinda a cependant ajouté qu' »un autre militant du mouvement Eccha a été interpellé » par la police alors qu’il assistait à la libération de ses camarades.

Romandie.com avec(©AFP / 31 juillet 2018 13h19)

Congo-Diaspora: conférence de presse à Paris prélude au procès à Brazzade maître Jean-Martin MBemba

mai 14, 2018

 

Conférence de presse en France 🇫🇷 ( Paris ) sur le procès de Jean-Martin MBEMBA, ancien ministre de la justice, pour « atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat et détention illégale d’armes et munitions de guerre »

CONFERENCE DE PRESSE – MERCREDI 16 MAI A 14 H 00

Thème 
Le procès de Jean-Martin MBEMBA,
Ancien Ministre de la justice,
Avocat aux Barreaux de Paris et de Brazzaville,
Président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme,

du Colonel Jean-Claude MBANGO,
Ancien Directeur départemental de la Police dans le Pool
et consorts,

Pour « atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat et détention illégale d’armes et munitions de guerre » devant la Cour criminelle de Brazzaville, audience du 17 mai 2018.
Les intervenants :
– Le Bâtonnier Patrick DELBAR du Barreau de Lille;
– Maître Philippe MISSAMOU du Barreau des Hauts de Seine;
– Maître Simplice NKOUKA MAJELLA du Barreau de Paris.

LIEU: Espace AFBZ, 12 – 14 rue Charles Fourrier 75013 Paris
Tél : 0144324826
Métro : Tolbiac
Bus 62, Arrêt: Bobillot Tolbiac
Bus 57, Arrêt: Bobillot Tolbiac

À l’initiative de l’Association Franco-congolaise de binationaux(AFC)

Avec Brazzanews.fr

Congo: Juste Désiré Mondélé consterné par les propos de Ndalla Graille dans une vidéo

avril 28, 2017

Lors d’une conférence de presse qu’il a organisée le 21 avril, à Brazzaville, le conseiller spécial du Chef de l’Etat, chargé des questions politiques, Juste Désiré Mondélé, a dit sa désolation quant aux propos tenus par le Délégué politique auprès du Président de la République (avec rang de ministre), Claude Ernest Ndalla alias Graille, dans une vidéo qui circule depuis quelques jours sur les réseaux sociaux.

 

Juste Désiré Mondélé a d’abord soutenu que Claude Ernest Ndalla Graille fait partie des icônes de la politique congolaise. Il a ajouté que Ndalla Graille a toujours su défendre ses opinions et qu’il était un Congolais sans frontière.

Ndalla Graille, a poursuivi M. Mondélé, a toujours exprimé sa fidélité envers le Président Denis Sassou N’Guesso. A titre d’exemple, alors qu’il était associé à Bernard Kolélas et à son parti, le MCDDI, dans les années 90, quand la guerre du juin 1997 éclate, il s’oppose aux démarches du fondateur du MCDDI pour avoir signé une alliance avec le Président  Pascal Lissouba pour combattre Denis Sassou N’Guesso.

Une autre preuve. Quand la guerre prend fin le 15 octobre 1997, le Président Sassou N’Guesso nomme Ndalla Graille au poste de ministre du Redéploiement et du Sport de la Jeunesse, chargé de l’Instruction Civique. Deux ans plus tard, il est nommé Délégué politique auprès du Chef de l’État. A l’élection présidentielle de 2002, M. Ndalla soutient Denis Sassou Nguesso.

Juste Désiré Mondélé s’est dit cependant surpris de constater que dans une interview qu’il a accordée en France où il est parti pour les besoins de santé, laquelle interview est publiée dans une vidéo, Ndalla Graille se fait donneur de leçons à Denis Sassou N’Guesso et à son pouvoir. Pour Juste Désiré Mondélé, M. Ndalla Graille s’est trahi ou an trahi ses convictions.  Il s’est demandé si cette affaire de vidéo de Ndalla Graille ne ressemble pas à celle du général à la retraite Jean-Marie Michelle Mokoko, qui déclarait qu’il avait été piégé.

En réalité, Ndalla Graille semble vouloir faire comme certains acteurs politiques congolais qui, après avoir été au lait et au miel grâce à Denis Sassou N’Guesso, lui flanquent les couteaux sur le dos. Mais, Claude Ernest Ndalla Graille peut-il vraiment faire des leçons à Denis Sassou N’Guesso ?

 

L’histoire du Congo enseigne que l’homme a été impliqué dans certaines actions qui ont troublé l’ordre public dans le pays. Ses affaires de vidéo remontent à l’année 1984. Cette année là, arrêté avant un congrès du parti du PCT, Ndalla enregistré dans une vidéo où il déclarait que Jean-Pierre Thystère Tchicaya avait orchestré les attaques à la bombe en 1982 à Brazzaville. Ces attentats à la bombe avaient fait neuf morts et 92 blessés.

Quand on lit l’histoire du Congo, on s’aperçoit très vite que Claude Ernest Ndalla Graille est très mal placé pour donner des leçons à Denis Sassou N’Guesso. Tant l’homme aurait lui aussi des mains tâchées de sang.

Congo-site.com par Gall Mombéti

Congo: Conférence de presse du Collectif des partis de l’opposition

mars 6, 2017

 

 

Avec Zenga-mambu.com

Congo: Conférence de presse de Guy Brice Parfait Kolelas

juillet 30, 2016

 

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