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Message de Noël des évêques du Congo

janvier 9, 2015
Les évêques du Congo.

Les évêques du Congo.

«Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes qu’il aime» (Lc 2,14).

A tout le peuple de Dieu, Aux femmes et aux hommes de bonne volonté,Chers filles et fils du Congo,

A la veille de Noël, fête de la Nativité de Notre Seigneur Jésus-Christ, Nous, Evêques, réunis au sein de la Conférence Episcopale du Congo (CEC), vous adressons un message de paix et de joie. Que notre message rejoigne chacun et chacune de vous, partout où il se trouve, pour vous manifester notre proximité comme Pasteurs et guides du Peuple de Dieu que vous êtes.

1- Depuis quelques temps a surgi, dans notre pays et dans beaucoup d’autres pays du continent, le débat sur le changement ou la révision de la Constitution. Ce débat suscite, à juste titre, au niveau de la classe politique, beaucoup de passions et de réactions, au point d’occulter les vrais problèmes sociaux concernant la vie de nos populations!

2- Nous voulons ainsi inviter tous nos compatriotes à en débattre sereinement, dans la vérité et dans la liberté. La liberté qui est «le droit de faire tout ce que les lois permettent» (1). En tant que Pasteurs, avant tout, nous invitons l’ensemble de la classe politique de notre pays à un sens élevé de la responsabilité. Aux femmes et aux hommes politiques de notre cher et beau pays, ainsi qu’à tous les Congolaises et Congolais, nous disons: malheur à nous, si le sang et les larmes coulent encore dans notre pays.

3- Plus on approche de l’élection présidentielle de 2016, plus le climat social se dégrade, ce qui plonge notre peuple dans un malaise profond et la peur. Dans le même temps, le débat sur le changement ou le maintien de l’ordre constitutionnel s’intensifie. Faut-il changer ou maintenir l’ordre constitutionnel? Quelles sont les raisons qui militent pour ou contre le changement de notre Loi Fondamentale?

1- Notre mission de Pasteurs

4- Le débat sur le changement ou la révision de la Constitution est politique. A ce titre, il concerne l’ensemble des Congolais, chacun selon sa situation sociale et son rang. En ce qui nous concerne, en vertu de notre mission prophétique, «l’Eglise se place, concrètement, au service du Royaume de Dieu» (2), en invitant continuellement les décideurs politiques à privilégier l’intérêt général et la gestion du patrimoine national pour le bien de tous, à «promouvoir dans la société une culture soucieuse de la primauté du droit» (3) et du dialogue.

5- Pour cela, elle apporte, constamment, au monde, la lumière de l’Evangile et de sa Doctrine Sociale. Et comme le déclare le Concile Vatican II, dans sa constitution pastorale Gaudium et Spes: «L’Eglise ne se confond pas avec la communauté politique et n’est liée à aucun système politique. La communauté politique et l’Eglise, chacune dans son propre domaine, sont, en effet, indépendantes et autonomes l’une de l’autre et sont toutes deux, bien qu’à des titres divers, au service de la vocation personnelle et sociale des mêmes hommes» (4). C’est pour cela que nous tenons à lever les équivoques et, à notre tour, à nous adresser à l’ensemble de notre peuple, pour préserver l’intérêt général et  l’unité nationale: «Oublions ce qui nous divise, soyons plus unis que jamais», chantons-nous dans notre hymne national «La Congolaise».

2- Appel pressant à la classe politique congolaise

6- Nous, Evêques du Congo, voulons, tout d’abord,  exprimer, à chacune et à chacun, notre estime et notre gratitude pour votre engagement dans la gestion des affaires du pays. Récemment, aux Journées mondiales de la jeunesse, à Rio, au Brésil, le Pape François affirmait: «Lorsqu’un responsable me demande un conseil, ma réponse est toujours la même: dialogue, dialogue, dialogue. Entre l’indifférence égoïste et la protestation violente, il y a une opinion toujours possible: le dialogue». Le dialogue politique constitue la pierre angulaire de toute vraie démocratie. Il vous revient d’inscrire notre pays dans la modernité, la prospérité, parmi les grandes nations.

7- Sans méconnaître tous les efforts fournis par nos dirigeants pour améliorer les conditions de vie de nos concitoyens, il faut admettre que beaucoup reste encore à faire, particulièrement dans le domaine de la santé, de l’éducation, de l’alimentation, et d’une manière générale, de l’accès égal aux biens et aux services sociaux.  A tous et à chacun, nous disons: «Dieu a  destiné la terre et tout ce qu’elle contient à l’usage de tous les hommes et de tous les peuples, en sorte que les biens de la création doivent équitablement affluer entre les mains de tous, selon la règle de la justice, inséparable de la charité» (5).

3- Appel à la force publique

8- Il ne nous revient, naturellement pas, de vous rappeler les missions régaliennes qui sont les vôtres, au service du peuple et de la nation. Qu’il nous suffise, néanmoins, de vous rappeler que le peuple congolais a toujours su compter sur vous au tournant les plus critiques de son histoire. Il veut, cette fois-ci également, pouvoir compter sur votre détermination à garantir les valeurs cardinales qui régissent notre nation. Le peuple congolais vous est particulièrement reconnaissant pour votre contribution indéniable au rétablissement et au maintien de la paix dans notre pays. Il vous sera encore plus reconnaissant dans la sauvegarde de cette paix, en disant non à toutes formes de violence susceptibles de perturber la paix sociale. Nous en appelons donc à votre haute conscience du devoir: vous êtes la force publique garante de la sécurité de la nation. Nous osons donc espérer que vous ne ménagerez aucun effort, en cette période où notre pays se trouve à nouveau dans une phase déterminante de sa jeune démocratie, pour préserver la justice, la vérité, la paix et l’unité nationale.

4- Révision ou changement de la Constitution!

9- Loin d’être seulement un moyen d’institutionnaliser le pouvoir, la Constitution est également un moyen de le limiter, de l’encadrer. Une Constitution, c’est un esprit, des institutions, des pratiques… Une vraie démocratie suppose, comme le suggère la Déclaration universelle sur la démocratie: «…que les processus d’accession au pouvoir, d’exercice et d’alternance du pouvoir permettent une libre concurrence politique et émanent d’une participation populaire ouverte, libre et non discriminatoire, exercée en accord avec la règle de droit, tant dans son esprit que dans sa lettre» (6).

10- Aussi, nous tenons à rappeler que l’Eglise a le devoir moral, de faire remarquer qu’en régime démocratique, aucune réforme qui suscite de fortes tensions et oppositions n’a jamais profité au peuple. A qui et à quoi servirait un changement de la Constitution dans la division, sinon qu’à mettre en péril la paix sociale? Ce serait un recul pour notre pays.

11- La Constitution du 20 janvier 2002, certes, peut être révisée pour des motifs légitimes et opportuns. Cependant, nous estimons qu’il y a un certain nombre de dispositions que nous trouvons fondamentales pour toute démocratie et qui méritent d’être toujours  sauvegardées. Au nombre de ces dispositions, l’on peut citer: L’article 185, en ses alinéas 2 et 3 qui stipulent, respectivement: «Aucune procédure de révision ne peut être engagée ou poursuivie, lorsqu’il est porté atteinte à l’intégrité du territoire»; «La forme républicaine, le caractère laïc de l’Etat, le nombre de mandats du Président de la République ainsi que les droits énoncés aux titres I et II ne peuvent faire l’objet de révision». Nous devons considérer ces dispositions comme un acquis précieux que nous avons tous à protéger, à défendre et à promouvoir, pour garantir un avenir stable et serein à notre jeune démocratie. Remettre en cause cet acquis serait provoquer un recul devant l’histoire qui ne ferait pas du tout honneur à notre cher beau pays, dans le concert des nations modernes et qui compromettrait notre avenir politique

5- Nos propositions

12- A la suite de Benoît XVI, nous disons, avec force, que «le non-respect de la Constitution nationale, de la loi et du respect des urnes, là où les élections ont été libres, équitables et transparentes, manifesterait une défaillance grave dans la gouvernance et signifierait un manque de compétence dans la gestion de la chose publique» (7).

13- C’est donc sans parti pris et très respectueusement, que nous interpelons notre classe politique sur le projet du changement de la Constitution de 2002. La démocratie suppose le respect du droit et un consensus partagé autour des valeurs cardinales. Comme le recommande la Déclaration universelle sur la démocratie: «La démocratie est un idéal universellement reconnu et un objectif fondé sur des valeurs communes à tous les peuples. Elle est, donc, un droit fondamental du citoyen, qui doit être exercé dans des conditions de liberté, d’égalité, de transparence et de responsabilité, dans le respect de la pluralité des opinions et dans l’intérêt commun» (8).

14- Finalement, ce qui est en jeu, dans ce débat politique actuel, c’est l’épineux problème de l’alternance au pouvoir. De manière explicite, nous, Evêques du Congo, nous proposons que l’alternance au pouvoir devienne une règle intangible et immuable pour notre démocratie: un mandat renouvelable une seule fois. La  grandeur d’une nation s’évalue par sa culture démocratique: organisation libre et transparente des élections, alternance pacifique au pouvoir, garantie des libertés fondamentales, équilibre des pouvoirs, accès libre aux médias, indépendance de la justice… C’est dans cette perspective qu’il est urgent de mettre en place une Commission électorale indépendante et crédible, d’établir des cartes d’électeurs biométriques, pour conjurer les risques de fraude, d’organiser un recensement administratif fiable, et un découpage électoral qui tienne compte de la configuration géographique du pays.

15- C’est, d’ailleurs, la recommandation de l’ensemble de l’épiscopat du continent africain. A ce propos, la lettre pastorale du SCEAM déclare: «Le véritable amour de notre patrie et de notre continent doit nous obliger à préférer une gestion transparente et responsable du pouvoir et à remettre ce pouvoir en toute douceur. Ce qui suppose un strict respect des Constitutions démocratiques nationales» (9).

16- Pour cela, nous attirons l’attention de l’opinion nationale et internationale que ce débat a été la cause des affrontements fratricides de 1993, 1994, 1997 qui ont gravement endommagé le tissu social. Et à l’époque, en 1993, nous avions déclaré, dans notre Appel à la reconstruction: «Notre démocratie sera toujours titubante, si elle ne se construit pas sur le respect total du droit et de la Constitution, et cela de la part de tous les citoyens congolais» (10). Voulons-nous retomber dans cette barbarie humaine? Avons-nous déjà oublié cette parole: «Plus jamais ça»! Quel est ce Congolais qui voudrait revenir à ces malheurs?

Intellectuels chrétiens, hommes et femmes politiques, hommes et femmes de bonne volonté, «Plus jamais ça»! Vous pouvez et devez encore vous asseoir, dialoguer, sereinement, penser aux responsabilités qui vous incombent: celles d’amener notre peuple, notre pays, au bonheur, à la justice, au pardon, à la réconciliation, cette  réconciliation sans laquelle il n’y a pas de paix, comme l’avait affirmé le Saint Pape Jean Paul II: «Pas de paix sans réconciliation». Sommes-nous prêts à la paix? Congolaises, Congolais du Nord, du Sud, de l’Est et de l’Ouest, es-tu prêt pour la paix? Veux-tu la paix?

17- Il est vrai que toute période politique provoque des rancœurs chez l’une ou l’autre catégorie de personnes. C’est pourquoi, il est urgent et même indispensable que des périodes de changement politique soient, en même temps, des périodes de réconciliation et de dépassement des conflits. Nous invitons donc notre classe politique à faire preuve de grande maturité pour épargner à notre pays un climat de haine, de revanche et de vengeance et pour assurer la paix, la sécurité et l’honneur à notre cher Dirigeant qui, malgré les limites humaines, a tant fait pour notre pays (paix, stabilité, embellie économique…). C’est le moment de mobiliser toutes nos ressources intellectuelles, spirituelles, pour privilégier la construction nationale, dans la vérité, la paix et la justice.

18-  Pour terminer, nous réitérons cet appel devenu légendaire de notre regretté cardinal Emile Biayenda: «A tous nos frères croyants du Nord, du Centre, et du Sud… Nous demandons beaucoup de calme, de fraternité et de confiance en Dieu, Père de toute race et de toute tribu, afin qu’aucun geste déraisonnable ne puisse compromettre un climat de paix que nous souhaitons tous».

19- Aussi, nous tenons à rappeler que le Christ est lumière des nations (Jn 8,12). Il nous demande, à notre tour, d’être «sel de la terre et lumière du monde» (Mt 5, 13.14). C’est cette lumière que le Christ nous apporte par sa Venue dans le monde que nous célébrons à Noël et que nous voulons transmettre à toutes les filles et tous les fils  du Congo. Car, l’Eglise est, à la fois, signe et rappel du caractère transcendant de la personne humaine. C’est l’homme, «créé à l’image et à la ressemblance de Dieu» (Gn 1,26) qu’il convient de servir et d’aimer avec toute sa dignité (Cf Gaudium et Spes, n.1). Nous invitons les fidèles chrétiens et tous les croyants à une «croisade de prière» pour la paix, la réconciliation et la justice.
Que le Christ, Verbe de Dieu fait chair (Jn 1,14), bénisse notre beau et cher pays!
Et que  la Vierge Marie, notre Mère et Reine de la paix, intercède pour le Congo!
Joyeux Noël et Bonne Année à vous tous!

Fait à Brazzaville, le 8 décembre 2014

Les Evêques du Congo

Notes
1- Montesquieu, L’esprit des lois, P.23.
2- Compendium de la Doctrine Sociale de l’Eglise, n°426.
3- Benoît XVI, Africae Munus, 81.
4- Concile Oecumenique Vatican II, Constitution pastorale Gaudium et Spes, 76.
5- Concile Oecumenique Vatican II, Gaudium et Spes, n°69.
7- Benoît XVI, Exhortation post synodale Africae Munus, n°81.
8- Déclaration Universelle sur la Démocratie, Adoptée et signée au Caire, 1996.
9- Lettre pastorale du SCEAM, Gouvernance, Bien Commun et Transitions démocratiques en Afrique, n°40.
10- Appel à la reconstruction, Parole d’Evêques n°10, P.11.

 

Source: Laemaineafricaine.net

 

Les Prêtres Congolais du Diocèse de KINKALA

juin 16, 2013

EVEQUE : Mgr Louis PORTELLA MBUYU

B.P. : 200 Tel : (242) 06 696 84 35

E-mail : diocesekinkala@yahoo.fr

Site Internet : http://diocesedekinkala.free.fr

Cathédrale : Sainte Monique

Fête : 28 août

(Neveu du père Jean Marie POATY, ancien Trappiste du Sénégal qui était incardiné dans le diocèse de brazzaville). Louis Portella Mbuyu est prêtre du diocèse de Pointe Noire, ordonné à Saint Pierre, le 31 décembre 1967. Après la fin de son mandat de recteur du grand séminaire de Brazzaville en 1989, il a été nommé vicaire général par Mgr Georges Firmin Singha. Administrateur apostolique du diocèse de NKAYI de 2000 à 2001. Il est nommé Evêque de kinkala le 16 octobre 2001, ordonné évêque le 06 janvier 2002 à Rome, intronisé sur son siège de Kinkala le 10 février 2002. Il a également eu la charge du diocèse d’owando comme Administrateur Apostolique après la mort de Mgr Ernest KOMBO. Il est actuellement président en exercice de la Conférence épiscopale du Congo et de l’ACERAC (Association des Conférences Episcopales de la Région de l’Afrique Centrale).

1- Mr l’abbé Anatole MIlandou de Nsamouna, ordonné à Kinkala le dimanche 23 Juin 1974. Il est le premier à être ordonné dans cette Paroisse et le 2ème à être ordonné en dehors de Brazzaville. Il a été nommé Vicaire général de Brazzaville le 31 décembre 1982 et Evêque auxiliaire de Brazzaville le 06 août 1983. Son sacre a eu lieu au Stade Félix Eboué, le dimanche 28 août 1983 lors de la clôture du centenaire de l’Evangélisation du Congo. Il a été nommé 1er Evêque du nouveau diocèse de Kinkala le 14 octobre 1987 et intronisé le 27 décembre 1987. Il a été nommé Administrateur Apostolique « sede vacante » de ce même diocèse le 1er février 2001, à la suite de sa nomination par le pape Jean Paul II comme Archevêque métropolitain de Brazzaville.

2- Mr l’abbé Joseph Yongolo de Kindamba, ordonné à Saint-Pierre Claver de Bacongo, le dimanche 15 Juillet 1979. Il est dans la communauté des Pradosiens. Il a été prêtre Fideï Donum dans une paroisse de la Guadeloupe. Rentré au pays en 2009, il a été nommé recteur de la Basilique Sainte Anne du Congo jusqu’en 2011, cumulativement avec l’économat du Diocèse de Kinkala.

3- Le père Jean Missongo de Mbanza-Ndounga par ses parents, a été ordonné le 12 août 1979 à la Bouenza. Il est le premier moine bénédictin à être ordonné dans ce Prieuré. Il s’est incardiné dans le diocèse de Kinkala et est actuellement en retraite.

4- Mr l’abbé Albert Nkoumbou de Vindza, ordonné le dimanche 28 Juin 1981 à la cathédrale Sacré-Cœur de Brazzaville, onze ans après Mr l’abbé Denis Ngambanou. Il a été nommé professeur au Grand Séminaire de Brazzaville. Actuellement, il a été nommé responsable de la formation permanente.

5- Mr l’abbé Olivier Massamba Loubelo de Makumbu-ma-Mpombo par son père, de la même ordination le 28 juin 1981 à la Cathédrale. Il est dans la communauté des Pradosiens. Il a été nommé par Rome Recteur du Grand Séminaire Brazzaville (section Philosophie) en 1995. Il a été nommé Vice-recteur à la Faculté Catholique de Douala au Cameroun et est actuellement en mission dans le diocèse de Pontoise en France.

6- Mr l’abbé Georges Kimbémbé de Mbamou, ordonné à Linzolo le 17 juillet 1983 lors du centenaire diocésain de l’Evangélisation de Brazzaville.

7- Mr l’abbé Pierre Zatuli-Ikwal de la RDC, a été ordonné à la cathédrale Sacré-Cœur de Brazzaville le dimanche 23 juin 1985, 11 ans après Mgr Anatole Milandou. Il a été Secrétaire Général de Conférence Episcopale du Congo (CEC) de 1994 à 1998. Après Loulombo, il a été envoyé comme Fideï donum au Gabon où il est nommé chancelier de l’Evêque de France-Ville.

8- Mr l’abbé Adolphe Ounounou de Vindza, ordonné le 6 décembre 1987 à la cathédrale Sacré-Cœur de Brazzaville. Après Mbanza-Nganga, il est allé aux études en France. Rentré au pays, il a assumé la charge d’Econome diocésain avant d’être nommé curé à Kindamba. Il est actuellement en mission dans le diocèse de Rennes en France.

9- Mr l’abbé Daniel Kouatouka de Ngoma-Tsé-Tsé, ordonné le 10 septembre 1989 à Mbamou par Mgr Barthélémy Batantou lors du cinquantenaire du petit séminaire Saint Paul de Mbamou. Il est le 1er à être ordonné dans cette Paroisse. Après la Côte d’Ivoire, il a été nommé Directeur Diocésain de l’Ecole Catholique (DDEC) et a la charge de la Paroisse de Mbamou cumulativement avec celle de Secrétaire du Conseil Presbytéral de Kinkala.

10- Mr l’abbé Camille Biemoundongath de Mbamou, ordonné à Kinkala, le dimanche 1er juillet 1990. Après Kinkala, il est allé aux études en Italie. Rentré au pays, il a été nommé professeur au Grand Séminaire de Théologie de Brazzaville. Il est actuellement en Italie.

11- Mr l’abbé Brice Kayi de Madzia, ordonné à Kinkala le dimanche 1er juillet 1990. Il a été économe au Séminaire Saint Jean de Brazzaville. Après Voka, il est allé aux études en Italie.

12- Le père Norbert Auguste Kitoumou Bountsoueki de Madidi, ordonné à Kinkala le dimanche 1er juillet 1990. Il est le 4ème prêtre à être ordonné à Kinkala, 16 ans après Mgr Anatole Milandou, et est le 7ème prêtre Spiritain Congolais, 36 ans après le Père Paul Ondia.

13- Mr l’abbé Lhillet Milandou Bassinga de Kibouendé par son père, ordonné le dimanche de pentecôte 7 juin 1992 à Kinkala par Mgr Anatole Milandou. Après le séminaire Saint Jean de Brazzaville, il a été envoyé aux études à Strasbourg.

14- Mr l’abbé Fulbert Bikoumou de Mbamou, de la même promotion le 7 juin 1992 à Kinkala. Après Madzia, il a été envoyé en Guadeloupe. Actuellement il est en mission dans le diocèse de Créteil en France.

15- Mr l’abbé Martial Massengo de Madzia, de la même promotion, ordonné le dimanche de pentecôte 7 juin 1992 à Kinkala par Mgr Anatole Milandou. Après Mbanza-Nganga, Vindza et Voka, il a été envoyé en mission en Italie.

16- Mr l’abbé Félix Twadikissa Kizaboulou de Vindza, de la même promotion le 7 juin 1992 à Kinkala. Après Mbanza-Nganga, il a été envoyé en mission dans le diocèse de Beley-Ars en France.

17- Le père Maurice Milandou de Kololo à Madzia, de la même promotion le 7 juin 1992 à Kinkala. 18 ans après Mgr Anatole Milandou, il est le 11ème prêtre spiritain Congolais. Il a été nommé Directeur de la Radio Catholique Magnificat de Brazzaville.

18- Mr l’abbé Félix Maboundou de Marchand, ordonné par Mgr Barthélémy Batantou, le Dimanche 29 août 1993 à Kinkala. après Mbanza-Ndounga, la France et Voka, il est allé aux études à Cotonou. Actuellement il a été nommé curé à Loulombo.

19- Mr l’abbé Jacques Nziendolo de Brusseaux, ordonné également par Mgr Barthélémy Batantou, le Dimanche 29 août 1993 à Kinkala. il a été le 1er aumônier diocésain de la Scholas Populaire. Après Madzia, il a été envoyé en mission dans le diocèse de Créteil en France.

20- Mr l’abbé Bienvenue Manamika Bafuakuawu de Kibossi par son père, de la même promotion, ordonné par Mgr Barthélémy Batantou, le Dimanche 29 août 1993 à Kinkala. il a été directeur du Petit Séminaire de Mindouli. Après ses études en Espagne, il a été nommé curé de la Cathédrale Sainte Monique de Kinkala cumulativement avec le Vicariat Judiciaire et Général, actuellement nouvel évêque de Dolisie.

21- Mr l’abbé Barthélémy Bassoumba de Mbanza-Lukaya, ordonné le dimanche 3 juillet 1994 à Kinkala par son Exc. Mgr Anatole Milandou. Après avoir exercé comme Fideï Donum dans le diocèse de Ouesso, il est allé aux études en Belgique. Rentré au pays, il a été nommé curé à Mindouli cumulativement avec la charge de Directeur diocésain de la Catéchèse.

22- Mr l’abbé Bertin Foueti de Dikokele, de la même promotion, ordonné le dimanche 3 juillet 1994 à Kinkala par son Exc. Mgr Anatole Milandou. Après avoir exercé comme Fideï Donum dans le diocèse de Ouesso, il est allé aux études en Italie. Après Mbanza-Ndounga, il a été nommé curé de la Cathédrale Sainte Monique de Kinkala.

23- Mr l’abbé Bernard Yindoula de Deschavannes, ordonné également le dimanche 3 juillet 1994 à Kinkala par son Exc. Mgr Anatole Milandou. Il est le 15ème à être ordonné à Kinkala, 20 ans après Mgr Milandou (1974). Il a été nommé Curé de la Cathédrale Sainte Monique de Kinkala jusqu’à l’intronisation de Mgr Louis Portella sur son siège de Kinkala. Après Kinkala, il est en mission en Guadeloupe.

24- Mr l’abbé Isaac Robert Bitsoumanou de Soumouna, ordonné le dimanche 30 juillet 1995 à Kinkala par Mgr Jean Claude Makaya Loemba. Il est de cette promotion des 4 premiers prêtres ordonnés par Mgr Jean Claude Makaya Loemba, nouvellement sacré Evêque de Pointe-Noire. Il a été directeur du petit séminaire de Mindouli. Il est actuellement aux études dans le diocèse de Grenoble en France.

25- Mr l’abbé Bernard Kissakolo de Kimba, de la même promotion, ordonné le dimanche 30 juillet 1995 à Kinkala par Mgr Jean Claude Makaya Loemba. Après Mindouli, il est allé aux études en France. Actuellement il a été nommé curé à Missafou.

26- Mr l’abbé David Ntelombila de Yokama, de la même promotion, ordonné le dimanche 30 juillet 1995 à Kinkala par Mgr Jean Claude Makaya Loemba. Après Vindza et Madzia, il a été envoyé en mission en Guadeloupe.

27- Mr l’abbé Charles Moukala de Deschavannes, de la même promotion, ordonné le dimanche 30 juillet 1995 à Kinkala par Mgr Jean Claude Makaya Loemba. Après Mbanza-Nganga, il a été nommé professeur au Grand Séminaire de Brazzaville. Actuellement il est aux études dans le diocèse de Bonn en Allemagne.

28- Mr l’abbé Guy Roland Nkounkou de Koubola par ses parents, ordonné le dimanche 8 décembre 1996 à Kinkala par son Exc. Mgr Anatole Milandou, ordinaire du Lieu. Après Mbanza-Ndounga, il est en mission dans le diocèse d’Abidjan en Côte d’Ivoire.

29- Mr l’abbé Gilbert Mayela de Matoumbou, ordonné à Kinkala le dimanche 29 juin 1997 par son Exc. Mgr Anatole Milandou. Il a été nommé procureur du diocèse de Kinkala avant la guerre de 1998, et est actuellement en mission dans le diocèse de Beley-Ars en France.

30- Mr l’abbé Guy Roland Mouyamba de Louyakou, de la même promotion, ordonné à Kinkala le dimanche 29 juin 1997 par son Exc. Mgr Anatole Milandou. Après Kindamba, il est allé en mission en Guadeloupe puis en France. Rentré au pays, il a été nommé directeur spirituel au séminaire propédeutique de Ouesso, et actuellement curé à Mbanza-Ndounga.

31- Mr l’abbé Alain Biniakounou de Kibouendé, de la même ordination à Kinkala, le dimanche 29 juin 1997 par son Exc. Mgr Anatole Milandou. Après Missafou, Kinkala et Mindouli, il a été envoyé en mission dans le diocèse de Versailles en France.

32- Mr l’abbé IIdevert Mouanga de Madzia, ordonné à Madzia le 16 août 1998 par Mgr Anatole Milandou, il est le 24ème à être ordonné dans cette paroisse. Après ses études en Italie, il a été nommé professeur au Grand Séminaire de Théologie de Brazzaville.

33- Mr l’abbé Marie Joseph Nkouka de Kindamba par son père, ordonné le 27 juin 1999 en la Cathédrale Saint Bénigne de Dijon (France). Il est incardiné dans le diocèse de Kinkala mais travaille en France.

34- Mr l’abbé Jean Victor Miaka-Nzaba de Kissengelé, ordonné le 24 septembre 2000 à Kinkala par son Exc. Mgr Anatole Milandou. Prêtre du Jubilé de l’Eglise en 2000, il est de la promotion de ceux qui ont été ordonnés diacres avant la fin de la 4ème année au séminaire, ordinations diaconales interdiocésaines qui ont eu lieu à Pointe-Noire au stade Nvoulaléa. Après Mbanza Ndounga, il a été envoyé aux études dans le diocèse d’Evry en France.

35- Mr l’abbé Pierre Raudhel Ntadi Minkala de Mindouli, ordonné également le 24 septembre 2000 à Kinkala par son Exc. Mgr Anatole Milandou. Prêtre du Jubilé de l’Eglise en 2000, il est aussi de la promotion de ceux qui ont été ordonnés diacres avant la fin de la 4ème année au séminaire, ordinations diaconales interdiocésaines qui ont eu lieu à Pointe-Noire au stade Nvoulaléa. Après le secrétariat et la chancellerie du diocèse, il a été envoyé aux études dans le diocèse de Grenoble en France.

36- Mr l’abbé Pierre Julien Toungadio de Sangi-dia-yakassa, de la même promotion, ordonné le 24 septembre 2000 à Kinkala par son Exc. Mgr Anatole Milandou. Prêtre du Jubilé de l’Eglise en 2000, il est aussi de la promotion de ceux qui ont été ordonnés diacres avant la fin de la 4ème année au séminaire, ordinations diaconales interdiocésaines qui ont eu lieu à Pointe-Noire au stade Nvoulaléa. Après Voka, il a été envoyé aux études au Ghana.

37- Mr l’abbé Simon Mahoungou de Mindouli, de même ordination le 24 septembre 2000 à Kinkala par son Exc. Mgr Anatole Milandou. Prêtre du Jubilé de l’Eglise en 2000, il est aussi de la promotion de ceux qui ont été ordonnés diacres avant la fin de la 4ème année au séminaire, ordinations diaconales interdiocésaines qui ont eu lieu à Pointe-Noire au stade Nvoulaléa. Après la Procure et l’économat du diocèse, il a été envoyé aux études dans le diocèse de Grenoble en France.

38- Mr l’abbé Jean Michel Moukouba de kindamba, ordonné prêtre le 18 novembre 2000 en Italie. Il est incardiné dans le diocèse de Kinkala mais travaille en Italie.

39- Mr l’abbé Charlemagne Didace Malonga Diawara de Madzia, ordonné le 8 septembre 2002 à la Cathédrale Sacré-Cœur de Brazzaville par Mgr Anatole Milandou.

40- Mr l’abbé Joachim Loumouamou de Kindamba, ordonné le 8 février 2003 à Notre Dame de Bacongo à Brazzaville par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Mbanza-Ndounga, il a été envoyé aux études en Italie.

41- Mr l’abbé Abdon Ignace Ngoma de Kindamba, ordonné le 6 septembre 2003 à la Cathédrale Sacré-Cœur de Brazzaville par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après son ordination, il est repartie aux études en Belgique.

42- Mr l’abbé Mesmin Boniface Mbemba de Kindamba, de la même ordination le 6 septembre 2003 à la Cathédrale Sacré-Cœur de Brazzaville par Mgr Louis Portella Mbuyu.

43- Mr l’abbé Armel Prospère Bouity de Mindouli par sa mère, ordonné le 28 août 2004 à Kinkala par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Kinkala, il a été envoyé à Voka comme curé.

44- Mr l’abbé Bienvenue Babindama Nkokani de Louingui, ordonné également le 28 août 2004 à Kinkala par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après la France, il a été envoyé à Ouesso comme directeur spirituel au Séminaire Propédeutique. Il est entré dans la communauté des pradosiens en 2010.

45- Mr l’abbé Jean de Dieu Bouekassa Kimbembe de matsiedi, de la même promotion, ordonné le 28 août 2004 à Kinkala par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Madzia, il a été envoyé à Kibouendé comme curé. Il a été nommé aumônier diocésain des EPV.

46- Mr l’abbé Paul Eric Goma de Mpangala par sa mère, ordonné aussi le 28 août 2004 à Kinkala par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Loulombo, il a été envoyé à Mayama comme Administrateur Paroissial. Il a été nommé Exorciste diocésain avec résidence à Kinkala.

47- Mr l’abbé Lié Brice Médard Nzomambou de Madzia, ordonné le 4 Février 2006 à Kinkala par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Kinkala, il a été envoyé à Kindamba comme curé. Il a été nommé aumônier diocésain des Scouts et Guides.

48- Mr l’abbé Irénée Avalery El’Yhombos de Mindouli, ordonné le 2 septembre 2006 à Kinkala par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Voka, il a été envoyé aux études dans le diocèse de Versailles en France.

49- Mr l’abbé Salomon Clausel Mambou ordonné également le 2 septembre 2006 à Kinkala par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Loulombo, il a été envoyé à Madzia comme curé.

50- Mr l’abbé Séverin Rodrigue Bamoutissa de la même promotion, ordonné le 2 septembre 2006 à Kinkala par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Missafou, il a été envoyé à Massembo-Loubaki comme Administrateur paroissial.

51- Mr l’abbé Armel Prisca Missamou de Mbanza-Ndounga, ordonné le 7 juillet 2007 à Kinkala par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Voka, il a été envoyé à Loulombo comme Vicaire. Il a été nommé aumônier diocésain de la Jeunesse en 2012.

52- Mr l’abbé Marcellin Kouloukiabonga de Vindza, ordonné également le 7 juillet 2007 à Kinkala par Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Madzia, il a été envoyé à Mbanza-Nganga comme curé. Il a été nommé aumônier diocésain de la Légion de Marie.

53- Mr l’abbé Aimé Minkala de Kinkala, ordonné le 21 juin 2008 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Il a été nommé professeur au Grand Séminaire de Théologie de Brazzaville.

54- Mr l’abbé Aimé Thierry Hebakourila de Mindouli, de la même promotion, ordonné le 21 juin 2008 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Il a été ordonné un an avant la fin des études à l’Université Catholique de Kinshasa. Après Missafou et Kinkala, Il a été nommé professeur au Grand Séminaire de Théologie à Brazzaville en 2012.

55- Mr l’abbé Honoré Parfait Nkoukou de Mbanza-Ngiri 10, de même ordination le 21 juin 2008 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Kindamba, Il a été envoyé aux études à Brazzaville depuis 2011.

56- Mr l’abbé Louis Barthélémy Samba Mambanzila de Mbanza-Ndounga, de la même promotion, ordonné le 21 juin 2008 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Il a été ordonné un an avant la fin des études à l’Université Catholique de Kinshasa. Après Mindouli, Il a été envoyé aux études en Italie depuis 2012.

57- Mr l’abbé Régis Kibouka Mahoukou de Makana, de même ordination le 21 juin 2008 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Il a été nommé secrétaire chancelier de Mgr Portella depuis 2009.

58- Mr l’abbé Rodier Canisius Hakoula de Kindamba, ordonné également le 21 juin 2008 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Mbanza-Ndounga, Il est aux études à Brazzaville depuis 2012. Il a été nommé aumônier diocésain de l’Archiconfrérie Notre Dame du Suffrage.

59- Mr l’abbé Esdras Bouenikalamio de Nsakambilou, ordonné le 20 juin 2009 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Kindamba, Il exerce à Mindouli comme Vicaire. Il a été nommé aumônier diocésain de l’Archiconfrérie Saint Michel en 2012.

60- Mr l’abbé Jean Baptiste Kintombo de Zandou-dia-babakala, de la même promotion, ordonné le 20 juin 2009 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Kinkala, Il est aux études à Brazzaville depuis 2012.

61- Mr l’abbé Thibault Mbimi Milongo de Kindamba par ses parents, de la même ordination le 20 juin 2009 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Il a été ordonné un an avant la fin des études à l’Université Catholique de Kinshasa, Il exerce à Kinkala comme Vicaire et s’occupe du Collège Catholique Saint Augustin de Kinkala.

62- Mr l’abbé Daleb Venceslas Mpassy Kazebiamioko de Kimbenza (la Bouenza) par ses parents, ordonné prêtre le dimanche 4 juillet 2010 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu, ordinaire du Lieu, 36 ans après Mgr Anatole Milandou (1974). Il exerce à Kibouendé comme Vicaire et a été nommé aumônier diocésain adjoint des Scouts et guides du Congo, puis responsable de la sous-commission Enfance.

63- Mr l’abbé Hermann Maniakou 2 de Mindouli par ses parents, de la même promotion, ordonné le dimanche 4 juillet 2010 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Après Missafou, Il a été envoyé à Mbanza-Ndounga comme Vicaire. Il a été nommé aumônier diocésain des Yambotés en 2012.

64- Mr l’abbé Marie Joseph Mienakanda Ndokolo de Mbamou, de la même promotion, ordonné le dimanche 4 juillet 2010 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Il exerce à Kindamba comme Vicaire.

65- Mr l’abbé Sévère Elvéry Christel Boukaka de Loudima, de la même ordination le dimanche 4 juillet 2010 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Il est aux études en Italie depuis son ordination.

66- Mr l’abbé Armand Kabikissa de Simu-Lukuni par ses parents, ordonné le 19 juin 2011 à Kinkala par son Exc. Mgr Louis Portella Mbuyu. Il a été envoyé à Voka comme Vicaire.

Prêtres Congolais du Diocèse de Kinkala décédés :

1-Mr l’abbé Dominique Kimbembo de Marchand, ordonné à Mindouli le dimanche 24 juin 1962 en la solennité de Saint Jean-Baptiste, il est le 1er à être ordonné en dehors de Brazzaville. Il a été Secrétaire Général de la Conférence Episcopale du Congo (CEC) de 1977 à 1985. Après avoir été curé de la Cathédrale Sainte Monique de Kinkala, il est détaché pour la Direction Diocésaine de la Catéchèse de Kinkala en 1995, puis a été envoyé en France d’où il a pris sa retraite à la Maison Marie-Thérèse de Paris. Il y décède en Avril 2012 et sera inhumé à Kinkala le 1er Mai 2O12. NB : En sa qualité de doyen des prêtres du diocèse de Kinkala, Il est également le 1er à être inhumé dans ce Cimetière du Clergé de Kinkala situé dans l’enceinte de l’Evêché.

Source: Abbé Dalheb-Passi

Eglise catholique au Congo : Mgr Bienvenu Manamika, évêque du nouveau diocèse de Dolisie

mai 28, 2013

 

Mgr Bienvenu Manamika et son évêque d’antan, Mgr Portella.

L’Eglise catholique au Congo s’est enrichie, avec l’érection du diocèse de Dolisie, et la nomination de Mgr Bienvenu Manamika Bafouakouahou comme premier évêque dudit diocèse. La nouvelle a été annoncée officiellement, vendredi 24 mai 2013, jour où l’Eglise catholique célèbre la Mémoire liturgique de la Vierge Marie Auxiliatrice. A Kinkala, c’est Mgr Louis Portella Mbuyu, évêque du lieu et président de la Conférence épiscopale du Congo qui a publié la nouvelle, en la cathédrale Sainte-Monique, à 11h.

A la même heure à Dolisie, Mgr Daniel Mizonzo, évêque de Nkayi, a lui aussi publié la nouvelle en l’église Saint-Paul Apôtre, comme ce fut également le cas au Vatican, à 12h, heure de Rome. Avec l’érection du diocèse de Dolisie et la nomination de Mgr Manamika, jusqu’ici vicaire général de Kinkala, le nombre des diocèses du Congo passe à 9, ainsi que le nombre des membres de la Conférence épiscopale du Congo.

Longtemps attendue, l’érection du diocèse de Dolisie a été accueillie comme un signe de consolation, par l’ensemble des chrétiens du Congo, et par ceux de Dolisie, en particulier. Tout le monde a éprouvé une immense joie, et a manifesté sa gratitude vis-à-vis de Sa Sainteté le Pape François, pour cette décision qui honore l’Eglise du Congo et le département du Niari, qui héberge le nouveau diocèse.

Ayant appris la nouvelle, Mgr Daniel Mizonzo a aussitôt fait le déplacement de Dolisie, où il a annoncé cette importante décision du pape, en présence des membres de l’équipe presbytérale de la paroisse Saint-Paul Apôtre et d’autres prêtres venus des paroisses riveraines, ainsi que quelques fidèles laïcs réunis dans cette église qui canoniquement, devient la cathédrale du nouveau diocèse.  

Le nouveau diocèse de Dolisie est issu du démembrement de celui de Nkayi, comprenant jusqu’ici les départements du Niari, de la Bouenza et de la Lékoumou. Géographiquement, il correspond au département administratif du Niari. Suffragant de l’arcidiocèse de Brazzaville, il s’étend sur une superficie de 25.930 km2. Il fait frontière au nord avec la République gabonaise, à l’est avec le diocèse de Nkayi dont il est issu, au sud avec la République Démocratique du Congo et à l’ouest avec le diocèse de Pointe-Noire. Sa population est estimée à 90.000 âmes, pour 71.000 catholqiues, disséminés sur 11 paroisses dont 5 quasi-paroisses. Le diocèse compte 30 prêtres séculliers et deux prêtres réguliers (religieux), 6 diacres, 6 religieuses et 25 séminaristes (statistiques à vérifier).
Dans le communiqué de la Nonciature apostolique annonçant l’érection du diocèse et la nomination de Mgr Manamika, on lit: «Ces dispositions du Pape François sont une nouvelle manifestation de la sollicitude pastorale à l’égard de la communauté catholique en République du Congo et du peuple congolais. Avec celles du Pape Benoît XVI, du 22 février dernier, elles complètent la restructuration administrative de l’Eglise au Congo, pour son meilleur service auprès du peuple de Dieu et de l’évangile».

Rappelons que Mgr Bienvenu Manamika Bafouakouahou est le troisième évêque congolais nommé en cette année de la foi, après NNSS. Urbain Ngassongo, évêque de Gamboma et Miguel Angel Olaverri Arroniz, évêque de Pointe-Noire, nommés le 22 février 2013, en la fête de la Chaire de Saint-Pierre Apôtre. Depuis l’annonce de sa nomination, les chrétiens de Dolisie se disent impatients de recevoir leur nouvel évêque. Une nomination qui disons-le, tout de même, apaise les esprits et élague tant de soupçons qui pesaient longtemps sur l’érection de ce nouveau diocèse dont Mgr Ernest Kombo, Sj., alors évêque de Nkayi, avait d’ores et déjà acquis le site devant abriter l’évêché.

Bon vent et fructueux ministère au nouvel évêque! (Ci-contre, le Cv du nouvel évêque).

Lasemaineafricaine.com par Aristide Ghislain NGOUMA

Diocèse de Pointe-Noire : Mgr Miguel Angel Olaverri ordonné et installé sur son trône

mai 2, 2013

 

Le nouvel évêque entouré du nonce apostolique (à g.) et de Mgr Pïcan qui l’a consacré.

Dimanche 28 avril 2013, 5ème dimanche de Pâques. Les chrétiens de Pointe-Noire ont jubilé de joie et rendu grâce à Dieu, pour l’ordination épiscopale de Mgr Miguel Angel Olaverri Arroniz (salésien), leur nouvel évêque. Ce dernier a reçu l’ordination épiscopale des mains de Mgr Pierre Pican, salésien, évêque émérite de Bayeux-Lisieux (France), au cours d’une messe solennelle célébrée au stade municipal de Pointe-Noire, en présence de Mme Antoinette Sassou Nguesso, épouse du chef de l’Etat, de Raymond Zéphyrin Mboulou, ministre de l’intérieur et de la décentralisation, représentant spécial du chef de l’Etat, de quelques membres du gouvernement, des autorités politico-administratives et militaires locales.

La messe, animée par la chorale diocésaine, la schola populaire et le chœur grégorien, a été concélébrée par quatorze évêques dont les sept de la Conférence épiscopale du Congo, ceux venus de la RDC, de l’Angola, du Cabinda et du Gabon (notamment Mgr Basile Mvé Engone, archevêque de Libreville), plus d’une centaine de prêtres venus de tous les diocèses du pays et de l’étranger. Des religieux et religieuses et des fidèles laïcs ont pris d’assaut le stade municipal, rempli aux trois quarts, pour assister à l’événement et participer à la prière.

Nommé évêque de Pointe-Noire le 22 février 2013, par le Pape Benoît XVI, quelques jours avant sa renonciation, Mgr Miguel Angel Olaverri Arroniz, a administré ce diocèse, comme administrateur apostolique «sede vacante et ad nutum sanctae sedis», pendant deux ans. Sur tous les visages, on pouvait lire la joie des chrétiens, qui attendaient impatiemment leur nouveau pasteur.

La messe a débuté par le mot de l’abbé Alain Loemba-Makosso, vicaire général délégué du diocèse de Pointe-Noire, qui a souhaité la bienvenue à tous. Puis, l’abbé Gilles Isaac Makosso, vicaire de la paroisse Saint-Christophe de Mvoumvou, doyen des prêtres présents dans le diocèse, a présenté l’élu. Avant qu’il ne soit admis à l’ordination épiscopale, le consécrateur a demandé de donner lecture de la bulle de nomination, comme cela est de tradition. C’est ainsi que Mgr Jan Romeo Pawlowski, nonce apostolique au Congo et au Gabon, a procédé à la lecture de la bulle de nomination.  

Parmi les temps forts de cette messe haute en couleurs, figure en bonne place l’homélie de Mgr Pierre Pican, qu’il a prononcée pendant 22 minutes. Après avoir commenté les textes du jour, il a fait écho du message des évêques du Congo, sur les antivaleurs. «Vos évêques du Congo sont dans leur rôle en nous invitant à la vigilance, au discernement, à la conversion réelle de vos pratiques. Le second synode de l’Eglise en Afrique le rappelle à plusieurs reprises, de son côté, avec le même réalisme», a-t-il dit. «Vos évêques vous appellent à vous engager d’urgence sur six terrains où la dignité de l’homme est bafouée, les conditions de vie affaiblies, les abus et excès devenus intolérables. Ils ont retenu ces six lieux d’intervention sur lesquels chacun est appelé à s’examiner, à s’engager, à opérer une véritable modification d’attitudes et de sa pratique. Non à la corruption, non à l’incivisme, non aux déviances sexuelles, non à l’impunité, non aux atteintes des valeurs démocratiques, non à tout ce qui dégrade la relation entre les personnes et dénature la vérité. Chacun de ces «non», vous l’avez remarqué renvoie à des situations très concrètes que chacun a pu repérer, dont beaucoup peuvent être victimes et dans lesquelles nous pouvons, évidemment, être engagés comme acteurs directs», a-t-il poursuivi.

Parlant du nouvel évêque de Pointe-Noire, il a demandé aux chrétiens de prier pour lui. «Vous savez, frères et sœurs, ce que nous avons à demander au Seigneur, que votre évêque Miguel soit un saint évêque, rayonnant de bonté, pétri de bienveillance, ruisselant de tendresse et disponible à tous. Conformément à sa devise, qu’il vous aide, chacun, à élargir les piquets de votre tente, pour que d’autres frères prennent place chez vous, comme des amis attendus, des frères aimés, des proches désirés, des membres nouveaux de la famille, cette chère Eglise domestique si développée chez vous. Que votre évêque, comme il l’affirmera tout à l’heure dans les prières présentant sa mission, prenne soin des petits et des pauvres, des exclus, des lointains et de tous ceux, selon la forte expression du Pape François que «nous maintenons à la périphérie de notre cœur», a dit le consécrateur principal.

Mgr Miguel a choisi comme évêque consécrateur, Mgr Pierre Pican, parce que c’est lui, en tant supérieur majeur des salésiens, qui l’avait envoyé en Afrique, il y a 37 ans. Après le rite de l’ordination, et comme le recommande la tradition de l’Eglise en pareille cérémonie, tous les prêtres du diocèse ont tour à tour fait acte d’obédience à leur nouvel évêque, pour lui déclarer leur attachement, leur disponibilité, leur désir de collaborer avec lui et de lui obéir toujours.

Pendant la procession des offrandes, l’épouse du chef de l’Etat a, au nom du couple présidentiel, offert au nouvel évêque une statue de Notre-Dame de Fatima, des chasubles et un véhicule de marque Toyota land cruiser Prado. Elle n’a pas manqué d’esquisser quelques pas de danse avec les enfants Elisa, à travers le célèbre chant Makoua «Sua da», exécuté magistralement par la chorale, comme pour communier à la joie des chrétiens pour le nouvel évêque. Drapé dans ses ornements d’évêque, Mgr Olaverri, accompagné de NN.SS Portella et Pawlowski, a fait le tour de l’aire de jeu, pour donner sa première bénédiction épiscopale, à la foule des chrétiens, disséminée dans les gradins.

Une série d’allocutions a précédé la bénédiction finale. Au nom du bureau diocésain  de l’apostolat des laïcs, Pierre Justin Makosso a parlé d’un «événement inoubliable, indélébile» et a exprimé la disponibilité des laïcs à travailler avec l’évêque. «Nous avons le devoir de l’aimer, de le respecter et de lui obéir», a-t-il déclaré. Le père Rodriguez Tallon, représentant le supérieur général des Salésiens, a lu le message du recteur majeur des Salésiens qui a vu dans le choix du nouvel évêque de Pointe-Noire, l’estime que le Saint-Père a pour le Salésien Miguel Olaverri et pour leur congrégation. Mgr Louis Portella Mbuyu, président de la Conférence épiscopale du Congo s’est réjoui de voir le nombre des évêques du Congo passer à huit.

Dans sa longue allocution de remerciements, Mgr Olaverri s’est particulièrement montré reconnaissant vis-à-vis de son prédécesseur immédiat, Mgr Jean-Claude Makaya-Loemba. Il a remercié la première dame, Mme Antoinette Sassou Nguesso, pour sa contribution et sa sollicitude, les autorités locales, le corps diplomatique, ses confrères évêques, les prêtres, les séminaristes, sa famille à travers la présence de sa sœur, la congrégation salésienne, les fidèles laïcs, pour tout leur soutien. Il a parlé à ses prêtres, aux séminaristes aux laïcs, en traduisant ses propos en kituba.

Signalons que Mgr Miguel a célébré sa messe de prémices, en la cathédrale Saint Pierre Apôtre, où il s’est adressé aux chrétiens, comme évêque fraichement installé. Sa devise est: «Que tous soient un!» (Jn 17,21).

Lasemaineafricaine.com par Jean Baptiste MILANDOU et Aristide Ghislain NGOUMA

41ème assemblée plénière de la Conférence épiscopale du Congo : La lutte contre les antivaleurs bientôt appuyée par un message des hommes d’Eglise

avril 12, 2013
Mgr Louis Portella Mbuyu (debout) prononçant son allocution.

Du 8 au 14 avril 2013, se tient au C.i.o (Centre interdiocésain des Œuvres), à Brazzaville, la 41ème assemblée plénière des évêques du Congo, sous le thème: «Les antivaleurs». Placée sous le patronage de Mgr Louis Portella Mbuyu, évêque de Kinkala, président de la C.e.c (Conférence épiscopale du Congo), cette assemblée plénière connaît la participation de NN.SS. Anatole Milandou, archevêque de Brazzaville, Daniel Mizonzo, évêque de Nkayi, Yves-Marie Monot, évêque de Ouesso, Victor Abagna-Mossa, évêque d’Owando, Jean Gardin, évêque d’Impfondo, Urbain Ngassongo, évêque du nouveau diocèse de Gamboma, et Miguel Angel Olaverri, évêque de Pointe-Noire. Autour des évêques, l’équipe du secrétariat de la C.e.c, les vicaires généraux des diocèses, les abbés responsables des commissions épiscopales spécialisées, les experts de la C.e.c.

L’assemblée plénière des évêques du Congo, qui a pour modérateur père Claver Boundja, supérieur provincial des Dominicains de l’Afrique centrale, prend fin dimanche 14 avril 2013, par une messe solennelle de clôture, en la basilique Sainte-Anne du Congo, au cours de laquelle les évêques vont rendre public leur message sur la lutte contre les «antivaleurs».

Pour réfléchir sur ce thème, plusieurs conférenciers se sont succédé devant les évêques. Parmi eux, on peut citer Anatole Collinet Makosso, ministre de l’éducation civique et de la jeunesse, qui a parlé des antivaleurs dans la société de manière générale. L’abbé Antoine Madingou, membre du secrétariat de la C.e.c a présenté les «grandes lignes du Magistère locale: paroles d’évêques de 2000 à 2012». Il s’agit d’une vue panoramique des messages des évêques, de 2000 à 2012. M. Anthime Bayimina, coordonnateur du Mouvement pour la culture citoyenne, a exposé sur les subtilités  relatives aux opérations pré et post-électorales ainsi que les déviances qui s’y rapportent.  M. Frank Régis Tounda Ouamba, substitut du procureur près la Cour d’appel de Brazzaville, a exposé sur les «implications juridiques des antivaleurs». M. Laurent Tengo, conseiller juridique du chef de l’Etat et secrétaire permanent de la commission nationale de lutte contre la corruption, a parlé du phénomène de la corruption, ses causes, ses conséquences, ainsi que la lutte à mener pour la combattre. M. Jean-Baptiste Mbaloula, inspecteur du travail, a renseigné les évêques sur la législation du travail, notamment les obligations et les droits de l’employeur face à son employé ou à ses employés. Ainsi, il a permis aux évêques d’avoir une idée claire et nette de la notion du contrat de travail avec ses spécificités et ses implications juridiques. Au terme de son exposé, les évêques ont approuvé la conception d’un cadre juridique  appelé Convention collective de l’Eglise catholique qui régirait toutes les situations ayant trait à la relation entre l’employeur (les différentes structures de l’Eglise) et l’employé.

Après les apports des sachants, les évêques se sont mis à travailler sur le message, qui sera rendu public, dimanche 14 avril. Ainsi, la lutte contre les antivaleurs, engagée dans le pays, depuis le second septennat du président de la République, M. Denis Sassou Nguesso, sera bientôt appuyée par un message des hommes d’Eglise.

Lasemaineafricaine.com par Gislain Wilfrid BOUMBA

Un salésien nommé évêque de Pointe-Noire

février 22, 2013



En République du Congo, Benoît XVI a nommé évêque de Pointe-Noire un missionnaire salésien espagnol âgé de 65 ans, le père Miguel Angel Olaverri Arroniz, qui était déjà Administrateur apostolique de ce même diocèse. Le diocèse de Pointe-Noire était vacant depuis 2011. Le Pape avait retiré sa charge pastorale à l’évêque du lieu, Mgr Jean-Claude Makaya Loemba, pour « de graves problèmes de gestion, notamment économique, et de fortes tensions dans le diocèse ». Une mesure exceptionnelle.

La fracture entre le prélat et certains des prêtres du diocèse n’avait fait que s’aggraver au fil des mois. La destitution de l’évêque avait été précédée d’une enquête apostolique. Le nouvel évêque, Mgr Olaverri Arroniz, est responsable de Caritas Congo, de la Pastorale des Migrants, de la commission Justice et Paix, et président du Bureau national des communications sociales.

Un nouveau diocèse

Toujours au Congo, Benoît XVI a créé un nouveau diocèse : le diocèse de Gamboma, en le détachant du diocèse d’Owando et en le rendant suffragant de l’Archidiocèse de Brazzaville. Le Pape a nommé premier Evêque de Gamboma, le père Urbain Ngassongo, actuellement secrétaire de la Conférence épiscopale du Congo.

Radio-Vatican