Posts Tagged ‘conseil des ministres’

Congo-Fonction publique : l’âge de la retraite prolongé à 65 ans

juillet 14, 2022

La réunion du Conseil des ministres du 13 juillet, à Brazzaville, a décidé du relèvement de l’âge de la retraite de 60 à 65 ans.

La décision du relèvement de l’âge limite d’admission à la retraite intègre une série d’innovations intervenues dans la loi portant statut général de la fonction publique. Cette limite d’âge est passée de 65 à 70 ans pour les cadres placés hors catégories ; de 60 à 65 ans pour les fonctionnaires de la catégorie I ; de 60 à 63 ans pour les fonctionnaires de la catégorie II et de 57 à 60 ans pour les fonctionnaires.

Ce relèvement est justifié par plusieurs raisons, à savoir permettre aux citoyens recrutés tardivement de travailler plus longtemps afin de bénéficier d’une pension ; permettre à l’administration de bénéficier davantage de l’expertise de certains de ses cadres expérimentés et mettre fin aux demandes pressantes des autorités administratives relatives aux prolongations d’activités de leurs cadres dont la présence demeure indispensable et enfin assurer l’équilibre nécessaire du régime de sécurité sociale des fonctionnaires fortement pénalisé par les départs massifs à la retraite.

Des innovations

Au titre des autres innovations, il convient de noter que l’accès aux corps hors catégories se fera désormais par décret en Conseil des ministres pour préserver le caractère rigoureux et sélectif de l’accès à ce statut. Le télétravail, qui permet d’assurer la continuité du service public en cas de circonstances de nature à empêcher l’agent de se rendre à son poste de travail, est également une autre innovation.

L’évaluation du fonctionnaire sera désormais effectuée sur la base d’un contrat d’objectifs et de performance signé entre le supérieur hiérarchique et le fonctionnaire. Elle permettra de mesurer les performances du fonctionnaire et d’atteindre les objectifs escomptés.

La validation des acquis professionnels est une procédure visant à rétablir une certaine parité entre les acquis de l’enseignement classique et ceux résultant de parcours parallèles ou autodidactes. Les mécanismes de validation des acquis de l’expérience professionnelle permettront au fonctionnaire d’accéder à un stage de qualification sur la base de ses aptitudes professionnelles.

L’instauration du contrat spécial permettant à l’Etat, pour nécessité de service, de recourir à l’expertise des fonctionnaires admis à la retraite pour une durée déterminée.

Avec Adiac-Congo par Roger Ngombé

Madagascar-Limogeage de Vonjy : De ministre à DG, de DG à planton

octobre 18, 2021

Vonjy Andriamanga

Au cours du Conseil des ministres du 13 octobre 2021, il a été décidé sur proposition du Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures, le limogeage de Vonjy Andriamanga par l’annulation   du décret n°2019-2261 du 18 décembre 2019 portant nomination du Directeur Général de la société JIRAMA.

Il convient donc de féliciter le Conseil des Ministres du 13 octobre 2021 pour la sage décision de limoger Vonjy Andriamanga de son poste de directeur général de la Jirama.

A été désigné par la même occasion, Radanielina Rivo, pour assurer les fonctions de Directeur Général à titre provisoire.  Qui aurait cru que le gouvernement se décide un jour à limoger le maître profiteur qui avait entraîné la société JIRAMA dans la pire situation qu’elle n’ait jamais connue depuis sa création ? A titre de rappel, il faut noter que ce séducteur, mari volage aux multiples concubines et maîtresses, s’est toujours vanté d’être « l’intouchable indéboulonnable », parce que protégé et soutenu par on ne sait quel parrain mafieux ou plutôt par des partenaires affairistes qui pillent sans vergogne les financements destinés par subventions à JIRAMA ?

Madagascar avait vécu des crises depuis la création de JIRAMA, mais jamais encore un cadre aussi vicieux ne s’est ainsi comporté en véritable voyou à la tête d’une société d’Etat. Mêlé à des combines qui puent l’arnaque et les utilisations abusives des deniers de l’Etat, Vonjy Andriamanga s’est permis des comportements que la morale réprouve, en plus de la gestion acrobatique et malsaine de la trésorerie de l’entreprise. L’intéressé a toujours largement payé Onja Rasamimanana et Angela Zasy à raison de 30.000.000 Ariary. Incroyable mais vrai et prouvable. Cette fois-ci, on peut dire que le ministre de l’Energie et des Hydrocarbures Andry Ramaroson a eu le courage politique de prendre la bonne décision en se débarrassant d’un élément pourri.

Vonjy Andriamanga, qui était déjà sur sellette, est donc tombé de sa selle. La situation n’était plus tenable pour lui. Il aurait dû démissionner en raison de son manque de performance à la tête de la Jirama qui a fait de lui l’homme le plus haï de Madagascar. Ses actes de corruption passive ont aggravé son cas. Son insubordination mêlée d’arrogance n’a pas joué en sa faveur. Ses frasques sexuelles entachées de népotisme ont fait déborder le vase. Sur ce dernier point, en s’accrochant à Onja Rasamimanana, il a fini par tomber avec elle.

En nommant l’une de ses maîtresses à une haute fonction d’une entreprise publique, sans l’aval de son ministre de tutelle et du conseil d’administration, il a scié la branche sur laquelle il était assis.

Pour profiter des commissions exorbitantes qu’il a touché de la part de plusieurs compagnies du secteur de l’énergie, Vonjy Andriamanga va probablement partir à l’étranger. S’il reste ici, il sera considéré comme la seule personnalité ayant glissé du statut de ministre à celui de directeur général et de directeur général à planton à… Antanimora.

Avec La Gazette de La Grande Ile par Noël Razafilahy et Ranary

Côte d’Ivoire : le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly est décédé

juillet 8, 2020

Amadou Gon Coulibaly à Abidjan, le 8 décembre 2019.

Amadou Gon Coulibaly à Abidjan, le 8 décembre 2019. © Issam Zejli pour JA

 

Premier ministre et candidat du RHDP à la présidentielle d’octobre, Amadou Gon Coulibaly est décédé ce mercredi à Abidjan.

Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly est décédé ce mercredi 8 juillet, à Abidjan. Annoncée par Jeune Afrique, l’information a été confirmée dans la soirée par Patrick Achi, le secrétaire général à la présidence ivoirienne, sur les antennes de la RTI.

« La Côte d’Ivoire est en deuil, a-t-il annoncé, lisant un message du président Alassane Ouattara. J’ai la profonde douleur de vous annoncer que le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly nous a quittés en début d’après-midi, après avoir pris part au conseil des ministres. »

Le chef de l’État a, toujours par la voix de Patrick Achi, présenté ses « condoléances les plus attristées » à la famille du défunt, dont il a salué la mémoire et la « grande loyauté ». « Je rends hommage à mon jeune frère, mon fils, Amadou Gon Coulibaly, qui a été pendant trente ans mon plus proche collaborateur. »

Selon nos sources, il a été victime d’un malaise en plein conseil des ministres en début d’après-midi et a été transféré par ambulance vers la Polyclinique internationale Sainte Anne-Marie (PISAM), située dans la commune de Cocody, à Abidjan.

Amadou Gon Coulibaly était rentré à Abidjan le 2 juillet, après deux mois d’hospitalisation en France. Nous l’avions rencontré la veille, à l’hôtel La Réserve, dans le 8ème arrondissement de Paris. Souriant, « motivé » à l’idée d’enfin battre campagne, il s’était confié à Marwane Ben Yahmed, le directeur de la publication de Jeune Afrique : « J’ai pleinement conscience des responsabilités qui pèsent sur mes épaules comme de l’ampleur de la tâche. Mais le RHDP [Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix] est une équipe soudée, pétrie de talents, qui saura m’aider à convaincre les Ivoiriens de l’intérêt de notre projet et m’accompagner vers la victoire. » Il s’était dit conscient aussi des interrogations qu’avaient soulevées son absence prolongée et son hospitalisation.

Problèmes cardiaques

Le 2 mai, il avait été évacué en urgence à Paris en pleine pandémie de Covid-19 pour des problèmes cardiaques. Pris en charge à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, il y avait effectué une coronarographie et s’y était fait poser un stent. Mais son séjour, qui devait initialement durer « quelques semaines » s’était finalement prolongé, en raison d’une seconde hospitalisation début juin.

Âgé de 61 ans, Amadou Gon Coulibaly était le candidat du RHDP (au pouvoir) à l’élection présidentielle d’octobre. Il devait être formellement investi début août à Yamoussoukro.

Avec Jeune Afrique

 

Burundi: réunion extraordinaire du conseil des ministres après le décès du président

juin 11, 2020

 

Le Burundi tenait ce jeudi une réunion extraordinaire du conseil des ministres pour discuter de la marche à suivre après le décès soudain du président Pierre Nkurunziza, qui soulève des incertitudes dans ce pays à l’histoire troublée.

Pierre Nkurunziza, au pouvoir depuis 15 ans, devait achever son mandat le 20 août et passer le témoin au général Évariste Ndayishimiye, son dauphin désigné par le parti au pouvoir CNDD-FDD et vainqueur proclamé de la présidentielle du 20 mai, en dépit des accusations de fraudes massives de son principal rival.

Mais sa mort ouvre une période d’incertitude pour son pays, dont l’histoire est marquée par des crises politiques meurtrières et une longue guerre civile, et qui pourrait être soumis à des luttes d’influence déstabilisatrices.

L’investiture de Ndayishimiye accélérée?

Le gouvernement a organisé un conseil des ministres afin de discuter de «la gestion de la situation consécutive au décès inopiné» de Pierre Nkurunziza, décédé selon le gouvernement d’un arrêt cardiaque. «Cette réunion sera présidée par le 1er vice-président, Gaston Sindimwo, (…) Nous allons notamment signer la saisine de la Cour constitutionnelle pour qu’elle déclare la vacance de poste définitive de la présidence», a annoncé à l’AFP une source ministérielle, sous couvert d’anonymat. Selon la Constitution de 2018, en cas de vacances de poste définitive de la présidence, l’intérim est censé être assuré par le président de l’Assemblée nationale, un poste actuellement occupé par Pascal Nyabenda.

«En réalité, ça n’est pas le Conseil des ministres qui va décider de ce qui va se passer (…) Tout a été décidé au sein du Comité de crise qui siège à la présidence», a ajouté cette source. Ce Comité de crise, constitué essentiellement de généraux issus du CNDD-FDD, le parti au pouvoir, est notamment chargé d’organiser l’après-Nkurunziza sur le plan institutionnel.

«Or aujourd’hui nous sommes dans un cas particulier puisque la présidentielle vient d’avoir lieu et que Nkurunziza était en fin de mandat. Le pouvoir penche pour accélérer l’investiture du président élu sans passer par la case intérim», a expliqué à l’AFP un haut cadre du parti au pouvoir. «Ça sera légitime et pas du tout choquant, et surtout ça peut éviter au général Ndayishimiye cette longue période d’incertitude et d’immobilisme synonyme de tous les dangers», a estimé un diplomate sous couvert d’anonymat.

Par Le Figaro avec AFP

Congo – Gouvernement: des ministres éconduits du Conseil des ministres pour cause de retard

avril 11, 2018

 

Ministres d’État: Gilbert Ondongo, Henri Djombo et Pierre Oba
Les ministres d’État Gilbert Ondongo et Henri Ndjombo, ainsi que le ministre Pierre Oba ont été empêchés de prendre part au conseil des ministres tenue ce mercredi. Les trois infortunés seraient arrivés en retard.

Les ministres Gilbert Ondongo, Henri Ndjombo et Pierre Oba n’auraient pas pris part au conseil des ministres tenu ce mercredi au palais du Peuple, sous la très haute autorité du président Denis Sassou N’Guesso. Et pour cause, le protocole d’État aurait purement et simplement demandé au trois ministres de rebrousser chemin, le président de la république s’étant déjà installé et le conseil ayant commencé.

Il va s’en dire que nous avions déjà dénoncé les retards récurrents de certains ministres aux conseils de cabinet présidés par le premier ministre.

Il est pourtant clair que le protocole d’État prend régulièrement le soins de rappeler aux ministres l’heure d’arrivée au conseil, de même que le cabinet du chef de l’État ainsi que celui du premier ministre en font autant.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Congo: Le Professeur Jean Bernard NKoua MBon redresse les contre-vérités du Conseil des ministres

août 9, 2017

Bonjour à tous,


Mesdames et messieurs, j’ai suivi comme la plupart d’entre nous, avec intérêt le compte rendu du conseil des ministres.

A propos du CHU de Brazzaville, 2 chiffres ont retenu mon attention. 3000 agents et une masse salariale de 7 milliards par trimestre.

NON. Ces chiffres sont erronés. Ils sont faux. Je suis étonné que l’on nous les communique avec autant de légèreté alors que ministère de la santé aurait pu tout simplement se rapprocher de cette structure pour en recueillir les vrais.

Mesdames et messieurs, le CHU est certes un mammouth mais il demeure une institution qui nous est commune. Cet hôpital est malade depuis près de 20 ans. Son cancer est connu et les solutions existent. Il a tout simplement manquer un peu de courage pour le soigner.

Le CHU compte un peu plus de 650 lits pour 2300 agents environ et non 3000. Sa masse salariale trimestrielle est de 3.450.000.000 de f CFA et non 7 milliards.

Monsieur le président voilà les vrais chiffres.

Depuis 1 semaine le CHU est entré en grève. Le salaire du mois de juin a été payé et le travail n’a pas repris.

Quelle a été le plan de communication du ministère de la santé? Silence!

Pourquoi la ministre n’est pas descendue sur le terrain pour rencontrer les agents et faire un peu de pédagogie? Cela aurait pu decrisper l’atmosphère et créer les conditions permissives pour désamorcer cette grève. Il me semble que l’on a choisi le mépris au lieu  du courage et du bon sens pour traiter ce problème.

Quand le CHU ne fonctionne pas, les autres hôpitaux crèvent. Le moment est venu pour que l’on se saisisse serieusement du cas CHU. Ne nous leurrons pas;  que l’on soit empereur, roi, Ministre,  parlementaire, médecin, ouvrier et que sais-je encore, nous aurons tous un jour besoin de cet hôpital.


Pr Jean Bernard Nkoua Mbon
Chef de Service de carcinologie et radiothérapie
Professeur Titulaire des UniversitésCHIU

Congo: Nominations du Conseil des ministres par Denis Sassou Nguesso

août 8, 2017

 

Le Conseil des Ministres a procédé à une série de nominations au titre des Ministères suivants :

A/- Ministère de la Santé et de la Population.

Sont nommés :

-Directeur général du Centre national de transfusion sanguine : M. Serge Oscar MOKONO, Médecin spécialiste en hématologie et transfusion sanguine ;
– Président du Comité de direction du Centre national de transfusion sanguine : M Innocent KOCKO, Médecin spécialiste en hématologie clinique ;
– Directeur général du Centre national de référence de la drépanocytose: M. Alexis ELIRA DOKEKIAS, Professeur titulaire des Universités ;
– Directeur Général de l’Hôpital général Edith Lucie BONGO-ONDIMBA : M. Donatien MOUKASSA, Maitre de conférences agrégé en anatomie et cytologie pathologique ;
– Directeur général de l’Hôpital général Adolphe SICE : Docteur Jean Raoul CHOCOLAT ;
Directeur général de l’Hôpital général de Loandjili : M. Vital Evence EBELEBE, spécialiste en médecine interne ;
– Directeur général de l’Hôpital général 31 Juillet 1968 d’Owando : M. Dominique OBISSI, Médecin ;
– Directeur général de l’Hôpital général de Dolisie : Docteur Maurice MPOMPOLO ;
– Directeur général de la Centrale d’achat des médicaments essentiels et des produits de santé : M. Max Maxime MAKOUMBA NZAMBI, Pharmacien ;
– Président du Comité de direction du Centre national de référence de la drépanocytose: M. Jean-Louis NKOUA, Professeur titulaire ;
– Président du Comité de direction de l’Hôpital général Edith Lucie BONGO-ONDIMBA : M. Prosper Alain BOUYA, Professeur titulaire ;
– Président du Comité de direction du Centre Hospitalier Universitaire : M. Jean-Rosaire IBARA, Médecin gastro-entérologie ;
– Président du Comité de direction de l’Hôpital général Adolphe SICE : M. Richard Roger Urbain BILECKOT, Docteur en médecine et rhumatologie ;
– Président du Comité de direction de l’Hôpital général de Loandjili : Mme Yolande VOUMBO MATOUMONA, Médecin spécialiste ;
– Président du Comité de direction de l’Hôpital général 31 Juillet 1968 d’Owando : M. Blaise Irénée ATIPO IBARA, Maitre de conférences agrégé ;
– Président du Comité de direction de la Centrale d’achat des médicaments essentiels et des produits de santé : M. Ange Antoine ABENA, Pharmacien ;
– Président du Comité de direction de l’Hôpital général de Dolisie : M. Antoine LOUSSAMBOU, Médecin généraliste.

 

B/- Ministère du Plan, de la Statistique et de l’Intégration régionale.

Sont nommés :

– Directeur général du Plan et du développement : M. Franck Corneille MAMPOUYA-M’BAMA, Statisticien, Financier et Économiste ;
– Directeur général du partenariat au développement : Mme Antoinette KEBI, née MOUNKALA, Enseignante-Maitre assistante ;
– Directeur général de l’Institut national de la statistique : M. Gabriel BATSANGA, Ingénieur statisticien de 10ème échelon ;
– Directeur général du Centre d’études et d’évaluation des projets d’investissement : M. De Trebaud Jules Gérard TCHICAYA-GONDHET ;
– Directeur général du Centre d’application à la statistique et à la planification : M. Gaspard Symphorien MBOU LIKIBI, Enseignant économiste.

 

L’ordre du jour étant épuisé, Denis Sassou Nguesso a alors levé la séance.

 

Avec Brazzanews.fr

Congo: Premier Conseil des ministres

mai 4, 2016
Premier conseil de ministres du gouvernement Clément Mouamba avec tous les pervers et les morts vivants au complet

Photo de BrazzaNews.
Photo de BrazzaNews.
Photo de BrazzaNews.Photo de BrazzaNews.

Référendum le 23 juin sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE

février 20, 2016

Le référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l’UE aura lieu le 23 juin, a annoncé samedi le premier ministre David Cameron à l’issue d’un conseil des ministres. Il a qualifié ce vote de « l’une des plus grandes décisions » d’une génération.

Au lendemain de l’accord arraché à Bruxelles à ses homologues européens, le dirigeant britannique a réitéré que le Royaume-Uni sera « plus fort, plus en sécurité et plus prospère au sein d’une union européenne réformée », lors d’une brève allocution devant le 10 Downing Street.

« Je me présenterai lundi au Parlement et je proposerai que le peuple britannique se prononce le jeudi 23 juin par référendum sur notre avenir en Europe », a déclaré le chef de l’exécutif britannique.

David Cameron, qui doit faire face à un vaste mouvement eurosceptique au sein de son propre parti conservateur, a fait savoir qu’il défendrait le maintien du Royaume-Uni dans l’UE lors du référendum.

Après deux jours de négociations avec ses partenaires de l’UE, Londres a obtenu qu’on lui garantisse explicitement une exemption concernant l’objectif d’une « Union sans cesse plus étroite », qu’on lui offre des concessions importantes sur les prestations sociales versées aux travailleurs européens installés dans le pays et que les avantages de la City soient préservés.

Romandie.com

Explosion près du Stade de France, Hollande évacué, convoque d’urgence un Conseil des ministres à minuit

novembre 13, 2015

Stade de France

Stade de France

Selon I-Télé, trois explosions ont été entendues près du Stade de France. François Hollande qui assistait au France-Allemagne aurait été évacué.

Selon I-Télé, trois explosions ont été entendues près du Stade de France. François Hollande qui assistait au match France-Allemagne aurait été évacué. Le stade, lui, est bouclé. Les spectateurs du Stade de France sont sur la pelouse.

Fusillades à Paris : conseil des ministres exceptionnel vers minuit

François Hollande

François Hollande

Selon l’AFP, un conseil des ministres exceptionnel va être réuni vers minuit après les attaques à Paris.

Selon l’AFP, un conseil des ministres exceptionnel va être réuni vers minuit après les fusillades dans le centre de Paris et des explosions dans le secteur du stade de France, au nord de la capitale.

Le président François Hollande était ce vendredi soir au ministère de l’Intérieur. Il fait « actuellement un point de la situation au ministère de l’Intérieur avec tous les services concernés ». François Hollande assistait au match France-Allemagne au Stade de France avant d’être évacué. Manuel Valls serait également Place Beauvau.

Lepoint.fr