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Première mission d’Ariane 5 de l’année: perte de contact avec le lanceur (PDG Arianespace)

janvier 25, 2018

Kourou – Le PDG d’Arianespace Stéphane Israël a annoncé une « anomalie » concernant le premier tir de l’année d’Ariane 5 jeudi soir en Guyane, depuis la salle Jupiter du centre spatial de Kourou, en faisant état d’une « perte de contact avec le lanceur Ariane 5 au cours de sa mission ».

C’était le premier lancement de l’année pour Arianespace, la société qui commercialise les lancements, et pour la fusée Ariane 5. Le PDG a présenté ses excuses aux clients.

Contacté par l’AFP, Arianespace a promis de plus amples informations sur cette anomalie et sur ses possibles conséquences.

Ariane 5 avait normalement décollé à 19h20 jeudi heure de Guyane (23h20 à Paris) en embarquant deux satellites de télécommunications, SES-14 pour l’opérateur luxembourgeois SES et Al Yah 3 pour Yahsat, l’opérateur des Emirats Arabes Unis.

Le satellite SES-14 héberge en outre une charge scientifique pour le programme d’exploration de la Nasa intitulé GOLD (Global-scale Observation of the Limb and Disk), un programme qui doit notamment permettre, depuis une orbite géostationnaire, de reconstituer toutes les demi-heures une image complète du disque terrestre.

Romandie.com avec(©AFP / 26 janvier 2018 00h17)                                            

Zimbabwe: Mugabe et le vice-président limogé en contact

novembre 20, 2017

Capture d’image de la télévision zimbabwéenne diffusant l’allocution du président Robert Mugabe, le 19 novembre 2017 à Harare / © ZBC/AFP /

Les deux acteurs politiques principaux de la crise au Zimbabwe, le président Robert Mugabe et son vice-président déchu Emmerson Mnangagwa, sont en contact, a annoncé l’armée lundi, à la veille d’une procédure de destitution contre l’homme fort du pays depuis 1980.

Le chef d’état-major, le général Constantino Chiwenga, auteur d’un coup de force militaire dans la nuit du 14 au 15 novembre, a également appelé la population au « calme » et à « la patience », à l’avant-veille de nouvelles manifestations anti-Mugabe.

Samedi, des dizaines de milliers de personnes étaient descendues dans la rue pour demander la démission du plus vieux chef d’Etat en exercice de la planète, âgé de 93 ans.

L’armée a pris le contrôle du pays après la destitution, le 6 novembre, d’Emmerson Mnangagwa. Avec son départ forcé, la voie semblait dégagée pour la première dame, Grace Mugabe, afin que, le moment venu, elle succède à son mari. Un scénario inacceptable pour l’armée.

Depuis ce coup de force, le chef d’Etat a perdu un à un ses soutiens, y compris celui de son parti, la Zanu-PF, qui doit engager mardi une procédure de destitution contre lui.

En trente-sept ans au pouvoir, le très fin tacticien Robert Mugabe n’a jamais été aussi affaibli politiquement, mais il refuse toujours de céder le pouvoir.

Alors que les négociations semblaient au point mort, le général Constantino Chiwenga a annoncé lundi soir des « contacts entre le président et l’ancien vice-président ». Des « développements encourageants », selon lui.

Emmerson Mnangagwa, parti en exil dans la foulée de son éviction, est « attendu prochainement dans le pays », a-t-il précisé.

Dans le cadre d’entretiens entre l’armée et le président, « plusieurs garanties ont été données » et le président Mugabe « a accepté une feuille de route » pour une sortie de crise, a assuré le général Chiwenga sans donner plus de précisions.

Selon plusieurs analystes, le vieux dirigeant, accusé de violations ds droits de l’Homme et de corruption, joue la montre afin d’obtenir des garanties sur son immunité.

Trop c’est trop

Le temps presse pour Robert Mugabe car la Zanu-PF, qui l’a évincé ce week-end de la présidence du parti, a décidé lundi d’entamer une procédure de destitution.

Elle espère ainsi lui donner le coup de grâce, ce que ni l’armée ni la population descendue en masse dans la rue n’ont encore réussi.

« Trop, c’est trop. Mugabe doit partir », a déclaré à l’AFP un parlementaire de la Zanu-PF, Pesai Munanzvi. « Nous voulons nous débarrasser de cet animal », a renchéri son collègue, Vongai Mupereri, avant que le parti ne se prononce pour le lancement, dès mardi, de la procédure de destitution.

Devant la tour du siège de la Zanu-PF, une immense affiche représentant le « camarade Bob » a été vandalisée. Tout un symbole.

La Zanu-PF a mis ses menaces à exécution après le bras d’honneur que lui a adressé le président: il a superbement ignoré l’ultimatum de son parti qui lui enjoignait de démissionner d’ici à lundi midi (10H00 GMT).

Selon la Constitution zimbabwéenne, l’Assemblée nationale et le Sénat peuvent engager à la majorité simple, une procédure de révocation du président. Une commission d’enquête est alors formée pour formuler une résolution de destitution, qui doit ensuite être approuvée à la majorité des deux tiers.

La Zanu-PF veut accuser Robert Mugabe « d’avoir autorisé sa femme à usurper des pouvoirs » et de « ne plus être en capacité physique d’assurer son rôle compte tenu de son grand âge », a précisé le député Paul Mangwana.

Grand-père

Dans une déclaration surréaliste à la télévision dimanche soir, Robert Mugabe avait ignoré les appels à la démission, provoquant un coup de tonnerre dans le pays.

Très influents, les anciens combattants de la guerre d’indépendance lui ont à nouveau ordonné lundi de partir.

« Epargne d’autres troubles au pays. Sinon, nous allons ramener le peuple du Zimbabwe dans les rues », lui a lancé leur chef, Chris Mutsvangwa, qui a confirmé une nouvelle manifestation anti-Mugabe mercredi dans la capitale.

Sous l’oeil bienveillant de l’armée, plusieurs dizaines de milliers de personnes avaient déjà envahi samedi les rues d’Harare et de Bulawayo (sud-ouest) aux cris de « Bye bye Robert » ou « Adieu grand-père ».

Dans la foule des manifestants, figuraient plusieurs ministres.

Ils sont convoqués, avec leurs collègues du gouvernement, pour un conseil des ministres mardi à 09H00 (07H00 GMT). « Tous les ministres doivent être présents », a prévenu la présidence.

Des centaines d’étudiants ont également manifesté lundi sur le campus de l’université d’Harare pour exiger le départ du chef de l’Etat. « Nous sommes en colère et déçus par le discours de Mugabe », a déclaré un de leurs meneurs, Shepherd Raradza.

Dans la soirée, l’université a annoncé qu’elle fermerait dès mardi pour les vacances de fin d’année et que les examens auraient finalement lieu en janvier.

Romandie.com avec(©AFP / 20 novembre 2017 21h47)                

Centrafrique: les rebelles de la coalition Séléka ont pris deux nouvelles villes

janvier 5, 2013
Avancée de la rébellion Séléka en Centrafrique. Avancée de la rébellion Séléka en Centrafrique. © JA

Les rebelles centrafricains de la coalition Séléka, qui devaient arriver à Libreville pour l’ouverture des négociations en début de semaine avec le pouvoir, ont pris deux nouvelles villes, Alindao et Kouango dans le centre.

La coalition rebelle Séléka, qui a commencé une offensive mi-décembre et demande le départ du président François Bozizé, a pris deux nouvelles villes, Alindao et Kouango dans le centre, dans la nuit de vendredi 4 janvier à samedi 5 janvier, alors que des négociations devraient avoir lieu à Libreville mardi, selon le ministre de l’Administration territoriale.

« Les rebelles ont pris deux villes près de Bambari (déjà théâtre d’affrontements et contrôlée par les rebelles): Alindao et Kouango. Ca montre leurs velléités à faire la guerre même quand il y a des négociations », a déclaré à l’AFP Josué Binoua.

Des négociations à Libreville mardi ?

Les négociations avaient été proposées la semaine dernière par le président centrafricain François Bozizé, alors que les rebelles du Séléka se trouvaient, après une offensive éclair, à seulement 160 kilomètres de la capitale, Bangui, protégée par un verrou de la Force multinationale d’Afrique Centrale, composée en grande partie d’unités tchadiennes rompues au combat.

Le Conseil de sécurité de l’ONU a demandé vendredi aux deux parties de négocier « de bonne foi » et sans conditions préalables et a réitéré sa demande aux rebelles de « cesser les hostilités, de se retirer des villes prises et de cesser leur progression » vers Bangui. Les rencontres pourraient se tenir mardi dans la capitale gabonaise. « Le secrétaire adjoint de la CEEAC (le général Guy-Pierre Garcia) a un contact ferme avec les rebelles. Leur chef Michel Djotodia a pris la décision. Ils partiront le 6 pour Libreville. Ils sont au nombre de dix », a indiqué à l’AFP une source à la CEEAC.

Cette même source a assuré que le président de l’alliance Séléka, Michel Djotodia, son porte-parole, Eric Massi, ainsi que le colonel Djouma Narkoyo et sept autres personnes étaient attendus à Libreville.

Le départ de Bozizé réclamé

Mais le porte-parole de la rébellion, Eric Massi, basé à Paris, s’est étonné de ces informations, assurant ne pas avoir été contacté. « Je ne suis pas au courant. Je l’apprends par l’AFP, c’est incroyable », a-t-il dit. M. Massi a par ailleurs réaffirmé que la coalition du Séléka, qui réunit différentes ex-rébellions centrafricaine, excluait toute négociation avec Bozizé. La coalition fait actuellement face à des divisions qui l’affaiblissent.

« Le seul point qui serait à négocier à Libreville porte sur les conditions du départ de Bozizé », a-t-il dit, rejoint sur ce point par des opposants rassemblés dans un Front commun pour l’alternance et la Paix (FRAP), créé fin décembre à Paris.

De son côté, la présidence centrafricaine a réitéré sa volonté d’aller à la table de négociations « sans condition ». Toutefois, « il est hors de question de négocier le départ du président », a souligné le secrétaire général de la présidence, Stanislas Mbamgot. « Les accords de N’Djamena du 21 décembre ont fixé le cadre des négociations. Il s’agit de discuter d’autres sujets. Le président a un mandat qui court jusqu’en 2016 et il a précisé aux diplomates que ce qu’il le préoccupait, c’est de mener le reste de son mandat à son terme », a-t-il dit à l’AFP.

« Nous retrouver en short »

M. Bozizé, au pouvoir depuis un coup d’État en 2003, avait fait des concessions la semaine dernière, proposant notamment un gouvernement d’union nationale.

Vendredi, le gouvernement centrafricain s’est penché sur la liste des personnes qui iraient à Libreville, notamment des membres de l’opposition politique, des rebelles ayant signé les accords de paix et des représentants de la société civile, selon une source au ministère de l’Administration territoriale.

Le principal opposant, Martin Ziguélé, a confirmé: « Nous irons aux négociations. Sur le principe, je suis d’accord mais je n’ai encore reçu aucune information sur la date de celles-ci ».
« Si nous acceptons d’aller négocier à Libreville alors que Bozizé est toujours au pouvoir, nous allons nous retrouver ‘en short’. On va se faire manipuler et on aura combattu pour rien », déclarait pour sa part vendredi soir une source de la rébellion à l’AFP.

Jeuneafrique.comavec AFP

Morsi évoque une trêve possible entre Hamas et Israël

novembre 17, 2012
  • Le président égyptien, Mohamed Morsi, a déclaré samedi que son gouvernement était en contact avec Israël et avec les Palestiniens et qu’une trêve pourrait être conclue rapidement dans le conflit à Gaza. « Il y a quelques indications sur la possibilité d’un cessez-le-feu bientôt », a déclaré le président égyptien lors d’une conférence de presse avec le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, ajoutant toutefois qu’il n’y avait pas encore de « garanties ».
     
    Lefigaro.fr avec AFP

Un coeur de fraise

juin 16, 2011

Je veux ton coeur de fraise
Arraché sur la braise
Pour un grand rendez-vous
Dans un coin debout

Refrain:
Un petit verre à table
Une pomme dans la bouche
Ton regard en plein feu
Tu me diras si je te plais

A l’été dans la nuit
Je te parle sans bruit
Tu me caresses bien
Comme sur un lien

Dans la conversation
Sous le bois sans avion
Je fumais un baiser
Bien dosé et braisé

Au contact de ton corps
A la limite de mon bord
Ta bouche entre ma langue
Etait une part de mangue.

Bernard NKOUNKOU

Expression de joie festive

février 15, 2011

La joie festive expression de joie
Au sourire glamour scintillant de jais
Dans une esquisse de dentition blanche
Au grand sommet de la Maison blanche
Les doigts fins entrelacés en l’air
Au contact de la paume en chair
Fusaient d’ample délectation
Au parfum d’ultime attention
Avec des pas d’une belle envolée de danse
Bonheur savouré au rythme de la cadence

Bernard NKOUNKOU

Bonheur de séjour à la plage

décembre 31, 2010

Ton corps vaste étendue de sable
Sur lequel je me promène à l’infini
Où chaque empreinte de ma chair
Au contact de ta voluptueuse chair
Ressemble à la belle mousse éteinte
De cette vague d’océan Atlantique
Brin de fraîcheur de ton océan corporel
Je courre derrière le ressac des vagues maritimes
Comme sur le talon de tes pas
Je tombe à la limite de l’eau
Où je rattrape ta jambe charnue
Sur laquelle je dépose la mienne au bord de l’eau
Dans une étreinte d’une belle partie d’amour
Qui se prolonge au fond de l’eau
Comme si nous étions des poissons marins
Loin des turbulences terrestres
Pour le bonheur intime de notre amitié

Bernard NKOUNKOU