Posts Tagged ‘convalescence’

L’ex-président américain Jimmy Carter est sorti de l’hôpital

mai 16, 2019

 

L’ancien président américain et prix Nobel de la paix Jimmy Carter est sorti jeudi de l’hôpital après avoir été opéré de la hanche et reprendra dès dimanche, à 94 ans, ses activités régulières, a annoncé sa fondation.

Jimmy Carter s’était fracturé la hanche lundi alors qu’il partait chasser la dinde sauvage. Les médecins lui ont posé une prothèse de hanche et il devra suivre des séances de kinésithérapie pour se rétablir, a indiqué le Carter Center dans un communiqué.

L’ex-président démocrate reprendra dès dimanche l’enseignement religieux et moral qu’il donne régulièrement le dimanche devant quelque 500 personnes dans une petite église baptiste de sa ville de Plains, en Géorgie, dans le sud des Etats-Unis.

Son épouse depuis 1946, Rosalynn Carter, s’est sentie faible mercredi soir et a été gardée en observation pour la nuit dans le même hôpital. Les deux époux ont quitté l’hôpital en même temps ce matin, précise la fondation Carter.

Le plus âgé des présidents américains encore en vie, Jimmy Carter avait surmonté un cancer au cerveau en 2015.

Par Le Figaro.fr avec AFP

Algérie : l’après-Bouteflika a commencé

mai 31, 2013
 

Le président, lors d'une cérémonie à l'Académie militaire de Cherchell, en juin 2012. Le président, lors d’une cérémonie à l’Académie militaire de Cherchell, en juin 2012. © Reuters

Hospitalisé depuis le 27 avril, Abdelaziz Bouteflika pourra-t-il reprendre les rênes du pouvoir ? Alors que l’incertitude règne sur son état de santé, difficile d’imaginer sa succession tant son destin personnel se confond avec celui de son pays.

«Tout le monde sait que j’ai été malade et que j’ai dû suivre une convalescence très sérieuse. Mais maintenant, j’ai repris mes activités normales et je ne pense pas que mon état de santé doive encore susciter des commentaires et des supputations plus ou moins fantaisistes. » Ainsi parlait Abdelaziz Bouteflika, quelques mois seulement après son hospitalisation – fin 2005 et déjà au Val-de-Grâce – pour un ulcère hémorragique.

L’histoire se répète aujourd’hui. Impossible d’éluder les questions sur la santé du chef de l’État algérien, transféré le 27 avril dernier dans l’établissement militaire français, officiellement suite à un accident ischémique transitoire (AIT). Un type d’accident vasculaire cérébral (« mini-AVC ») relativement bénin s’il est pris en charge à ses débuts, mais qui peut faire craindre la survenue ultérieure d’un accident ischémique constitué (ou infarctus cérébral) qui, lui, provoque des lésions irréversibles, pouvant entraîner la paralysie d’une partie du corps ou des troubles du langage.

Problème : entre des versions officielles angéliques, distillées à dose homéopathique, et les versions alarmistes que répandent certains médias français et algériens, il est difficile de se forger une opinion. « La maladie du président ne sera bientôt plus qu’un mauvais souvenir […], son état s’améliore de jour en jour […], il suit quotidiennement les activités du gouvernement », affirme Abdelmalek Sellal, le Premier ministre. Pendant ce temps, des organes de presse n’hésitent pas à affirmer, en l’absence de preuves tangibles ou de sources crédibles, que le chef de l’État serait dans le coma, ou aurait été rapatrié à Alger en catimini pour y finir la poignée de jours qui lui resteraient à vivre. La chape de plomb qui pèse sur la maladie du plus célèbre patient d’Algérie ne peut qu’alimenter les rumeurs les plus folles.

Galerie de photos : ces chefs atteints de la maladie du secret

 

Convalescence

« Boutef », qui souffre par ailleurs depuis sa jeunesse de polykystose, une maladie héréditaire nécessitant un suivi médical rigoureux, est sorti du Val-de-Grâce le 21 mai. Il a été transféré aux Invalides, une autre institution médicale militaire, dans le 7e arrondissement de Paris, « pour y poursuivre sa convalescence » selon le ministère français de la Défense. D’après nos informations, son pronostic vital n’est pas engagé. Mais la longueur de son hospitalisation, ainsi que l’absence d’éléments de preuves relatifs à l’amélioration de son état, laissent tout de même penser que la situation est préoccupante. Ou du moins, pas aussi anodine que les autorités le serinent, aiguillonnées par Saïd Bouteflika, frère et conseiller spécial du chef de l’État, à son chevet depuis son transfert d’Aïn Naadja, fin avril. « Maintenant, c’est aux Algériens de gérer la fin de l’histoire », nous a confié, énigmatique, l’un des principaux membres du gouvernement de François Hollande.

>> Lire aussi : Enrico Macias, l’interview qui dérange

Question essentielle : le président sera-t-il en mesure de reprendre les rênes du pays jusqu’à la fin de son mandat, dans dix mois ? Cela paraît aujourd’hui bien difficile. Mais mieux vaut être prudent. Combien de fois n’a-t-on annoncé sa mort ? N’en déplaise aux Cassandre, près de huit ans après sa première hospitalisation, celui qui détient le record de longévité au pouvoir en Algérie occupait toujours le palais d’El-Mouradia.

Prunelle

Depuis son ulcère hémorragique qui faillit lui coûter la vie, comme il l’a lui-même reconnu, Bouteflika, 76 ans, s’est cependant progressivement effacé du devant de la scène. Si son cerveau fonctionnait toujours aussi bien, son corps était épuisé. Il a suspendu ses voyages de travail à l’étranger, fait de fréquents séjours réparateurs dans une clinique en Suisse, n’a présidé que deux conseils des ministres en un an, n’a plus prononcé de discours public depuis mai 2012 [quand il avait annoncé, à Sétif, que sa génération était arrivée au bout de son chemin], charge Mohamed Rougab, son secrétaire particulier, de transmettre ses directives à ses ministres ou à ses collaborateurs, et n’accorde que de très rares rendez-vous, toujours officiels. Le raïs a même fini par abandonner son appartement d’El Biar, auquel il tenait comme à la prunelle de ses yeux, pour vivre au palais présidentiel : il ne pouvait plus gravir chaque jour les escaliers de cet immeuble dépourvu d’ascenseur. Diminué physiquement, il demeurait cependant le zaïm (le chef tout-puissant, en arabe) et l’État, son fonctionnement et ses cadres s’étaient adaptés à cette gouvernance d’un genre nouveau.

Rares étaient ceux qui prenaient le risque de s’opposer à lui frontalement. Si, conscient de son état et malgré les pressions de son entourage, il n’a jamais envisagé de se présenter à la présidentielle d’avril 2014, nul n’osait afficher son ambition. Tous, opposants compris, attendaient qu’il se prononce officiellement avant de se déclarer. Aujourd’hui, le décor a changé. Jadis peu nombreuses ou murmurées du bout des lèvres, les attaques fusent. Contre lui, les siens ou son bilan. Y compris au sein d’anciennes formations alliées qui, enhardies par cette ambiance de fin de règne, se mettent à cracher dans une soupe dont elles se sont pourtant longtemps régalées. Certains exigent même l’application de l’article 88 de la Constitution (voir encadré ci-contre), qui détermine les modalités d’un empêchement du chef de l’État. Nul ne s’y était risqué, en 2005, alors que les circonstances étaient peu ou prou les mêmes.

Abdelaziz Bouteflika à Sétif, le 8 mai 2012.

© Farouk Batiche/AFP

Omerta contre rumeurs incessantes ou avis de pseudo-experts spécialistes du pays : ce cocktail ne peut que plonger les Algériens dans une profonde inquiétude. Car Bouteflika n’est pas n’importe qui. Quatorze ans de pouvoir, des prérogatives que seul Houari Boumédiène avant lui a pu concentrer entre ses mains, aucun adversaire de taille depuis son accession à la tête de l’État en 1999… « Boutef » est le dernier survivant, aux affaires, des tumultes de l’histoire algérienne. Intégré dès ses 19 ans au sein des premières unités de l’Armée de libération nationale (ALN), dans l’Oranais, en pleine guerre pour l’indépendance, où il côtoie un certain Mohamed Boukharouba, plus connu sous le nom de Boumédiène ; chef de la diplomatie à l’âge de 26 ans ; président un demi-siècle plus tard… Son destin se confond avec celui de son pays, et les plus jeunes – la majorité de la population – n’ont connu quasiment que lui. C’est donc à un véritable saut dans l’inconnu que se prépare l’Algérie.

Que l’échéance soit dans quelques semaines ou dans quelques mois, l’après-Bouteflika, théâtre d’ombres dans un pays où l’opacité confine à la religion d’État, a bel et bien commencé. Là encore, les questions sont plus nombreuses que les réponses. Avides de changement mais ayant fait preuve jusqu’à présent d’une infinie patience, les Algériens ne se laisseront plus imposer un candidat par les militaires, qui en ont conscience. Le Printemps arabe est passé par là…

Ribambelle

Il n’en demeure pas moins que le Département du renseignement et de la sécurité (DRS) de l’inamovible général Mohamed Mediène, alias Tewfik, veille au grain et tentera de trouver la personnalité qui incarnera, aux yeux de la population comme aux siens, le meilleur compromis. Son portrait-robot ? Plus jeune, donc n’appartenant pas à la génération de l’indépendance qui dirige le pays depuis 1962 ; suscitant l’espoir sans s’attaquer brutalement au fameux « système », comme l’appellent les Algériens, et aux multiples intérêts en jeu ; moderne et ouvert sans pour autant s’aliéner les islamistes modérés ou les conservateurs ; originaire d’une autre région que le Nord-Ouest frontalier du Maroc d’où sont issus nombre de caciques du régime ; expérimenté mais indépendant ; enfin, aucunement éclaboussé par la ribambelle de dossiers de corruption qui ont fleuri ces derniers mois et visaient – comme par hasard – l’entourage du chef de l’État. Last but not least, cet oiseau rare devra obtenir le parrainage des jumeaux nationalistes, décapités mais toujours influents, que sont le Front de libération nationale (FLN) et le Rassemblement national démocratique (RND). En dehors des habituels « lièvres » qui ne dépassent jamais 3 % des suffrages ou des personnalités du siècle dernier que l’on sort de la naphtaline à chaque scrutin présidentiel, un seul nom émerge, pour l’instant : Ali Benflis, ancien Premier ministre de Bouteflika (2000-2003) et ex-secrétaire général du FLN, qui a rejoint l’opposition en 2004. Originaire de Batna, en pays chaoui, réputé intègre et ouvert, cet avocat de 68 ans, qui ne suscite aucune animosité, ni chez les militaires ni chez les politiques, observe la plus grande discrétion. Et de tous les anciens Premiers ministres de « Boutef », il est celui qui a laissé la meilleure impression aux Algériens…

En cas de longue vacance

Que prévoit la Constitution dans l’hypothèse où Abdelaziz Bouteflika, 76 ans, ne serait plus en mesure d’exercer ses fonctions ? Son article 88 stipule que lorsque le chef de l’État, « pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions, le Conseil constitutionnel […], après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose à l’unanimité au Parlement de déclarer l’état d’empêchement ». Après s’être prononcés à la majorité des deux tiers, les parlementaires chargent le président du Conseil de la nation (Sénat) – en l’occurrence Abdelkader Bensalah, 72 ans – d’assurer l’intérim pour une durée qui ne peut excéder 45 jours. Si l’incapacité du chef de l’État à exercer ses fonctions se poursuit, une « vacance par démission de plein droit » est déclarée. « En cas de démission ou de décès » de l’intéressé, le Conseil constitutionnel – dirigé par Tayeb Belaïz, un proche de Bouteflika – « constate la vacance définitive » du pouvoir. Le président du Sénat assume alors un intérim de 60 jours, au cours duquel une élection présidentielle est organisée. Soit trois mois et quinze jours après le début de la procédure. F.A.

Jeuneafrique.com par Marwane Ben Yahmed

Algérie : Bouteflika transféré à l’hôpital militaire des Invalides, incertitudes sur son état de santé

mai 22, 2013
 
Algérie : Bouteflika transféré à l'hôpital militaire des Invalides, incertitudes sur son état de santé Algérie : Bouteflika transféré à l’hôpital militaire des Invalides, incertitudes sur son état de santé

Mardi 21 mai, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a été transféré de l’hôpital militaire du Val-de-Grâce, à Paris, vers celui des Invalides. Selon les informations de « Jeune Afrique », si le pronostic vital du chef de l’État n’est pas engagé, les séquelles liées à son AVC pourraient être sérieuses.

Hospitalisé depuis le 27 avril à l’hôpital du Val-de-Grâce à Paris après avoir été victime d’un AVC, le président algérien Abdelaziz Bouteflika, a été transféré mardi 21 mai dans un autre établissement militaire de la capitale française, celui des Invalides. Il doit y poursuivre sa convalescence.

L’information a été confirmée à Jeune Afrique par la présidence algérienne et des sources françaises. Mais l’incertitude plane toujours sur l’état de sa santé réel du chef de l’État. Si son pronostic vital n’est pas engagé, il souffrirait de séquelles qui pourraient être graves, selon nos informations.

« Repos strict »

« Après avoir subi des examens médicaux à l’hôpital du Val-de-Grâce à Paris, le président de la République, dont le pronostic vital n’a jamais été engagé et qui voit son état de santé s’améliorer de jour en jour, est tenu, sur recommandation de ses médecins, d’observer un strict repos en vue d’un total rétablissement, selon une déclaration du Premier ministre Abdelmalek Sellal », citée par l’agence APS.

« La maladie du président Bouteflika ne sera bientôt plus qu’un mauvais souvenir », affirmait encore M. Sellal dont c’était la première déclaration depuis le 11 mai sur la santé du chef de l’État, qui avait déjà été soigné en 2005 pour un ulcère hémorragique à l’estomac, à l’hôpital du Val-de-Grâce.

Jeuneafrique.com

Joe Jackson hospitalisé

novembre 30, 2012

Le père de Michael Jackson a été victime d’un AVC

Joe Jackson hospitalisé
  • Joe JacksonKatherine-JacksonJoe et Katherine JacksonMichael Jackson et son père Joe Jackson

Le clan Jackson est à nouveau plongé dans la torpeur. Le patriarche de la famille, Joseph a été hospitalisé dans la nuit de jeudi à vendredi suite à un accident vasculaire cérébral.

Le sort s’acharne contre la famille Jackson. Depuis le décès brutal de Michael en 2009, tous les membres du clan vivent continuellement de mauvaises passes. Nouveau drame en date, l’hospitalisation de Joseph Jackson. Le père du King of pop a été hospitalisé d’urgence après suite à accident vasculaire cérébral à l’âge de 83 ans. 

Ses proches ont fait savoir au site internet X17 que Joseph Jackson allait «bien» et se trouvait dans «un état stable». Joe Jackson devrait rejoindre son domicile de Las Vegas vendredi ou ses enfants et son ex-épouse, Katherine, devraient le rejoindre. 

Il y a quelques mois, Katherine Jackson était victime elle aussi d’un AVC. Un choc pour ses petits enfants, Paris, Prince et Blanket qui s’inquiétaient dans le même temps de la disparition de leur chère grand-mère. La mère de Michael Jackson a finalement été retrouvée en juillet dans l’Arizona où elle profitait tranquillement de sa convalescence.

 Gala.fr par Laure Costey

 

 

 

 

Gabon: l’opposant André Mba Obame « sera interpellé »

août 20, 2012
Gabon: l'opposant André Mba Obame 'sera interpellé' Gabon: l’opposant André Mba Obame « sera interpellé » © AFP

La procureur de Libreville a affirmé lundi que le principal opposant gabonais André Mba Obame, dont le parti dissous l’Union nationale (UN) a organisé une manifestation qui a dégénéré en violences le 15 août, serait « interpellé » mais sans indiquer précisément pour quel motif.

« Je vous assure que M. Mba Obame sera interpellé », a lancé la procureur Sidonie-Flore Ouwé lors d’une conférence de presse.

Selon l’UN, les troubles ont fait un mort, une jeune femme asthmatique ayant mal réagi aux gaz lacrymogènes. Pour le pouvoir, il s’agit d’une mort naturelle.

De retour le 11 août de Paris, après 14 mois d’absence en raison de problèmes de santé, M. Mba Obame, ancien baron du régime passé dans l’opposition à la mort du président Omar Bongo en 2009, avait contesté la victoire à la présidentielle d’Ali Bongo, le fils de l’ancien président.

Il s’était autoproclamé président de la République en 2011, avant de se réfugier plus d’un mois dans une agence onusienne de Libreville. Son immunité parlementaire avait été levée et il est poursuivi pour « trouble à l’ordre public ». Il risque de deux mois à un an de prison, selon son avocat. La procédure avait été suspendue pendant sa convalescence en Afrique du sud et en France.

Interrogée à deux reprises sur la question, la procureur n’a pas précisé si l' »interpellation » envisagée de M. Mba Obame entrait dans le cadre de son autoproclamation ou de la manifestation du 15 août. « J’avoue que c’est une question qui n’est pas tout à fait au coeur de mon intervention mais qui a un lien avec les événements que nous déplorons aujourd’hui », a-t-elle dit.

« Ce qui est sûr et certain, je vous le dis, c’est qu’il sera interpellé. Pas en tant que coupable. La présomption d’innocence sera également assurée à M. Mba Obame comme à tous ceux qui sont arrêtés (dans le cadre de la manifestation) présentement », a dit Mme Ouwé.

« Ces événements (du 15 août) sont consécutifs à l’appel lancé par M. Mba Obame André et ses compagnons politiques », a-t-elle commenté.

Mme Ouwé a fait état d’une quarantaine de personnes arrêtées, réparties sur trois sites.

Elle a par ailleurs évoqué « deux blessés légers » et « une jeune femme arrivée décédée » à l’hopital de Libreville. « Le corps ne présentait aucune lésion corporelle apparente. Aucune autopsie n’a été pratiquée sur la victime pouvant déterminer les causes du décès », a-t-elle déclaré.

« Aucun signalement n’a été donné aux forces de sécurité sur le fait qu’une personne sans vie aurait été retrouvée sur les lieux de la manifestation », a ajouté Mme Ouwé.

« Nous allons frapper au coeur de la délinquance, quelle que soit son origine et ses auteurs », a prévenu la procureur, adoptant un ton dur. « Nous punirons avec tous les moyens de droit les auteurs des dégâts ».

Jeuneafrique.com avec AFP

François Fillon en deuil : Sa mère est morte

août 17, 2012
Triste nouvelle pour l’ancien premier ministre du Président Sarkozy, François Fillon.

D’après la rédaction du site Altantico, la mère de l’homme politique est décédée dans la nuit du 16 au 17 août, « des suites d’une longue maladie ». Anne Soulet, son nom de jeune fille, 80 ans, était une passionnée d’histoire, passion dont elle avait fait son métier. Historienne et professeur, elle était mariée au notaire Michel Fillon et maman de quatre garçons. François Fillon était son aîné.

Tout au long de la carrière politique de son fils, Anne Soulet est restée très discrète. Comme le rappelle le site Atlantico, elle s’était exprimée en 2010 à la radio sur les choix de vie de son fils alors reconduit à la tête du gouvernement : « Il y a une continuité dans sa vie, je trouve que petit, il était déjà un peu comme il est aujourd’hui, avec énormément de maîtrise de lui. » Mère protectrice avant tout, elle s’inquiétait pour son garçon : « J’ai peur, plus que mon mari […]. Je dis très souvent, mais je ne le pense peut-être pas vraiment, que j’aurais aimé le voir faire autre chose. »

Au début du mois, François Fillon était victime d’un accident de scooter sur son lieu de vacances à Capri. Sa convalescence devrait durer un mois. Pendant ses vacances, François Fillon continue son combat politique. Il interpellait l’actuel président, François Hollande, sur sa politique étrangère dans une tribune parue dans le Figaro le 13 août 2012.

Purepeople.com