Posts Tagged ‘dans le jardin’

Une femme transportait le corps de sa mère dans un sac de sport

août 8, 2013
Cadavre dans un sac de sport

Cadavre dans un sac de sport

Le convoi mortuaire était pour le moins inattendu. Une femme d’une quarantaine d’années s’est présentée, mardi, à un magasin de pompes funèbres de Reims (Marne) en poussant un fauteuil roulant, sur lequel se trouvait un grand sac de sport, rapporte L’Union ce jeudi.

En ouvrant le sac, les employés du magasins ont alors découvert le corps sans vie de la mère de la quadragénaire. Cette dernière, rendue psychologiquement vulnérable par le décès de sa maman, a dû ensuite expliquer la situation aux policiers, appelés sur les lieux.

Retrouvée morte dans le jardin

Elle a alors raconté avoir retrouvé le corps de sa mère dans le jardin de sa maison, clos de hauts murs qui empêchaient de le voir. La femme aurait ensuite, sans appeler ni les pompiers, ni un médecin, ni la police, décidé de ramener le corps dans la maison.

Au bout de quelques jours, la fille a décidé de placer la dépouille dans un grand sac de sport, avant de l’amener, en fauteuil roulant, à l’entreprise de pompes funèbres. Après autopsie, la piste criminelle a été totalement exclue. L’inhumation devrait avoir lieu dans les prochains jours, de façon plus conventionnelle.

20minutes.fr

Tourtereaux sur le chemin du mariage

juillet 17, 2013

Hier encore collègues de classe,
ils s’estimaient,
devenus amis dans la cour de l’école,
ils s’admiraient,
ayant allumé la flamme de l’amour –
l’on ne sait par qui ? –
ils flirtaient,
dans le jardin du quartier
comme d’heureux amoureux entiers,
prêts à convoler, en justes noces,
comme à une partie de chasse,
jusqu’à devenir de doux époux.

Joyeux comme un fécond troupeau,
ils donnèrent de beaux agneaux,
avec leurs ailes de tourtereaux,
ils s’embrassaient dans la beauté de leur peau.

Élevés chacun dans le giron paternel,
maternel, familial et national,
ils se livraient, à cœur joie, dans l’apprentissage,
du vol initial et nuptial dans le champs de la liberté,
à la découverte de l’âme sœur à l’heure du bonheur.

Savourant la douceur de l’affection,
avec de joyeuses caresses pleines de lotion,
ils s’entouraient de tendresse dans leur forteresse,
comme des colombes de l’amour,
roucoulant au milieu de la cour,
dans la maturité et l’effectivité du bel âge,
au bord du rivage d’un bon mariage,
durant lequel ils partagèrent leur belle image.

Bernard NKOUNKOU

Soyez féconds, multipliez

avril 2, 2013

 

En prenant comme référence la Bible, nous voyons que Dieu dans le jardin d’Éden avait tout préparé pour rendre agréable le règne d’Adam sur la terre. Par sa parole puissante, Dieu ordonna aux choses d’exister et cela fut fait ainsi : lumière, eaux, verdure, animaux, astres. Tout fut prêt pour accueillir Adam. L’environnement étant établi, Dieu forma Adam. Se rendant compte de la solitude de ce dernier, Dieu dit : Il n’est pas bon que l’homme soit seul; je lui ferai une aide semblable à lui. Dieu endormit Adam et retira une de ses côtes pour faire une aide qui lui soit semblable : la femme. Adam se réveilla de son sommeil et fut ébloui par la présence de la femme qu’il nomma Ève : Voici cette fois-ci celle qui est os de mes os et chair de ma chair! Le premier mariage humain venait d’être célébré au milieu d’un jardin fort agréable où le murmure des eaux limpides et le doux ramage des oiseaux remplissaient l’air d’une note extraordinairement exquise. Nous osons imaginer les arbres séculaires se courber et chanter pour fêter cet événement unique, les fleurs les couvrir pour orner leur nudité. La gloire de Dieu les environnait. Adam et Ève reçurent la bénédiction de Dieu : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre.

Sans la présence d’Ève que serait devenu Adam, un électron solitaire, sans joie, perdu au milieu d’un jardin magnifique entouré d’animaux qui ne lui ressemblaient pas du tout? Dieu en créant l’homme et la femme par son omniscience savait que les peuples de la terre seraient des myriades et des myriades entières pour sa seule gloire. Imaginez Adam sans descendance est impossible. Dieu est un Dieu de multiplication. Aussi quand Dieu dit L’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme et les deux deviendront une seule chair, il ne dit pas l’homme s’attachera à un autre homme ou une femme à une autre femme.

La Bible est claire. Le mariage existe bel et bien pour un homme et une femme et pas autrement. Aucun homme en union avec un autre homme ou une femme avec une autre ne pourra enfanter sur cette terre. Dieu a tout crée du trône de son royaume en se basant sur la pratique visible du binôme et de la dualité : ciel et terre, homme et femme, soleil et lune, jour et nuit, mâle et femelle.

Dans l’épisode de l’arche, Dieu a demandé à Noé de prendre un mâle et une femelle selon toutes les espèces de la création divine avant le déluge. Et avec Dieu il n’y a pas de hasard : il a appelé à l’existence des éléments contraires pour mettre en route une dynamique de reproduction chez l’humain et dans les choses de la nature.

Et si dès aujourd’hui, gays et de lesbiennes prennent le contrôle de la terre, cela voudrait-il dire que la disparition du genre humain se profile à l’horizon? Car si l’homme et la femme ne s’unissent pas comment le genre humain se multipliera-t-il? Dieu s’est servi de la dynamique des éléments opposés pour construire le monde qu’il a voulu. Il est souverain et aucune loi ne pourra le changer. Aussi longtemps que dureront les semailles et les moissons, l’été et l’hiver, le monde fonctionnera comme Dieu l’a résolu. Le mariage agrée, approuvé, scellé, pesé c’est la rencontre d’un homme et d’une femme. Pas autrement. Et tous les gays et lesbiennes qui refusent de quitter ces chemins d’égarement, passeront leur éternité dans l’étang de feu. Et l’étang de feu est un lieu de tourments, de grincements de dents, de souffrances  terribles, irréversibles. Jésus sachant que l’étang de feu est un lieu effroyable, nous appelle depuis Golgotha à la repentance pour être sauvés. Il nous aime et nous veut avec lui. Et comme nous vivons la dispensation de la grâce, Dieu est prêt à pardonner les égarements, les passions qui dominent notre chair, blessent notre âme et souillent nos corps. Si gays et lesbiennes ignorent les lois de la Bible auxquelles tout humain qui accepte de marcher avec le Seigneur Jésus, doit obéir, ils ne verront pas la gloire de Dieu. Malgré l’immense amour de Dieu qui n’a pas hésité à donner son Fils à l’humanité comme il est écrit : Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse point mais qu’il ait la vie éternelle; Dieu ne les acceptera pas dans son paradis.

Au ciel tout est parfait. Le mariage de même sexe n’est pas en accord avec les lois du royaume de Dieu. De toutes les façons, le mariage est une institution terrestre. Croire en Jésus c’est d’abord se repentir et aller au baptême d’eau : le corps entier et changer totalement de mentalité en laissant tomber notre ancienne nature d’ivrogne, gay, violeur, drogué, lesbienne, voleur,  menteur, impudique, idolâtre, efféminé, adultère etc.

Le sang de Jésus à Golgotha nous lave de toute souillure : l’union d’un homme et d’un autre homme en est une. Mais aujourd’hui, le sang de l’homme coule comme des torrents et souille la terre dans un monde où la paix serait l’arme la mieux privilégiée entre les nations de toute la terre. Les guerres fratricides, les guerres internationales désolent la terre, la dévastent, l’épouvantent. C’est le commencement des douleurs que Jésus n’a jamais voulu. Il a offert son sang comme sacrifice suprême pour apporter sa vie, sa paix dans tous les domaines de notre vie terrestre : notre mariage, – un homme et une femme, cela s’entend- nos finances, notre santé, notre famille, nos amis, nos ennemis, nos entreprises. Si aujourd’hui on refuse de lui ouvrir la porte de notre cœur, au jour du jugement, devant son Père il dira : je ne vous connais pas. Pourtant Dieu nous aime à travers le sacrifice suprême de son Fils. Le sang de son Fils a bien voulu laver les intérêts égoïstes des hommes qui n’hésitent pas à sacrifier les autres pour leur propre gloire. Si nous acceptons ce sacrifice et aimons le Fils et suivons ses commandements, nous vivrons éternellement avec Christ.

Dans le cas contraire, l’étang de feu sera leur partage et c’est bien dommage. Au jour de la résurrection ce sera trop tard. C’est maintenant qu’il faut choisir. Dieu n’enverra plus jamais son Fils mourir à la croix. Le Fils en repartant vers son Père nous a laissé le Saint-Esprit pour nous guider et le Saint-Esprit parle de la part de Dieu le Père et Dieu le Fils.

Rendons nos vies conformes à la parole de Dieu : que le mariage ne soit pas souillé mais que le lit conjugal soit honoré. Aucune union de même sexe n’honorera le lit conjugal car coucher avec un homme comme on couche avec une femme est une abomination à l’Éternel. Le lit conjugal homme-homme/femme-femme n’existe pas dans la pensée de Dieu, et de même les hommes, abandonnant l’usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement, comme il est écrit. De même une femme ne peut coucher avec une femme. Pour les personnes qui sont mortes gays ou lesbiennes, c’est trop tard, mais pour celles qui vivent encore, il est temps de choisir la vie avec le Christ : Dieu aime le pécheur qui se repent. Laissons Dieu entrer dans nos cœurs et vivons l’espérance de l’éternité avec Jésus-Christ l’unique et véritable Seigneur et Sauveur de toute la terre. Que choisissez-vous gay ou lesbienne du monde: la vie éternelle avec Jésus-Christ ou la mort dans l’étang de feu?

Marie-Léontine Tsibinda 

 

Explosions au Congo: la vie des sinistrés encore plus précaire avec les pluies

mars 13, 2012

« Nos enfants ont pleuré toute la nuit »: comme Estelle, des  milliers de sans-abri depuis les explosions meurtrières du 4 mars à Brazzaville  ont été effrayés dans la nuit lundi à mardi par un violent orage, au début de  pluies faisant craindre une détérioration de conditions de vie déjà précaires.

« J’aurais voulu rentrer chez moi, mais je ne peux pas le faire parce que  toute notre maison est par terre », raconte à l’AFP Estelle Wanangouti, 25 ans,  hébergée dans la cour de la cathédrale Sacré Coeur comme quelque 6. 500 autres  sinistrés, selon la Croix-Rouge.

Ce site, un marché couvert et deux stades, entre autres, accueille au total  plus de 14. 000 sans-abri.  Ils ont tout perdu lors des explosions d’un dépôt de  munitions dans l’est de la capitale du Congo, qui ont fait 223 personnes morts  et plus de 2. 300 blessés.

« Ni moi, ni mon enfant, ni les amis que vous voyez à mes côtés, personne n’a  fermé l’oeil de toute la nuit.  La pluie qui s’est abattue sur la ville a tout  mouillé », explique la jeune femme.

A la cathédrale, à moins de 3 kilomètres de l’épicentre de l’explosion, une  vingtaine de tentes ont été dressées dans le jardin recouvert de gazon, mais de  nombreuses familles sont toujours installées à même le sol et dorment à la belle  étoile.

Défaisant les cheveux de sa fille de 3 ans, Estelle prie que son matelas  détrempé sèche avant la nuit.  Bien d’autres sinistrés sont dans le même cas et  ont étendu leurs vêtements et leur matelas sur le toit des tentes, notamment.

« La plupart des sinistrés que nous avons ici dorment à la belle étoile.  Avec  les pluies, il faut craindre l’apparition des épidémies », s’inquiète Martin  Bouiti, responsable du site.  Des eaux de lessive et de vaisselle ruissellent.

« L’eau potable manque.  Il faut en apporter et sensibiliser les occupants des  sites », avait déjà prévenu il y a peu le ministre de la Santé, Georges Moyen,  craignant une épidémie de maladies hydriques, comme le choléra.

Au milieu de la cour, une bâche à eau d’ordinaire alimentée par les  humanitaires est vide et les sinistrés s’approvisionnent dans les environs en  attendant qu’elle soit de nouveau remplie.  Ailleurs, des fontaines sont en  construction pour d’autres centres d’accueil.

Derrière le bâtiment où les repas sont distribués, les enfants font leurs  besoins à l’air libre.  « Nous demandons à tout le monde d’essayer de s’organiser  en attendant que les latrines soient prêtes, mais chacun se soulage où il peut »,  déplore Leonel Omi, de la Croix rouge congolaise.

La situation des enfants devient préoccupante.  « Depuis hier (lundi), nous  avons recensé plus de dix enfants malnutris.  Ce ne sont pas des cas graves », a  indiqué à l’AFP Flora Pouela-Pouela de l’ONG Médecins d’Afrique (MDA).

L’Observatoire congolais des droits de l’homme (OCDH) a critiqué mercredi la  gestion de la crise par les autorités « à tous les niveaux », déplorant notamment  l’insuffisance des mesures d’accompagnement des sinistrés.

Dans le quartier de la cathédrale, une équipe du Centre de santé intégré  (CSI) a commencé à vacciner contre la rougeole les enfants de 6 mois à 15 ans.   Les moins de cinq ans reçoivent aussi de la vitamine A.

Pour reloger durablement les sinistrés, dont beaucoup ont aussi été  accueillis chez des proches, le gouvernement a notamment promis la construction  d’un « quartier d’habitation moderne de 5. 000 maisons », en banlieue de  Brazzaville, promettant « un achèvement rapide des travaux ».

Jeuneafrique.com  avec AFP