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Sexe et danse sur les tables, quand la police allemande dérape…

juin 28, 2017

Des policiers allemands à Oggersheim, le 16 juin 2017 / © AFP / Daniel ROLAND

La police allemande se voulait exemplaire en vue du sommet du G20 à Hambourg. Mais elle se retrouve plongée dans un scandale haut en couleur après une soirée mêlant alcool et sexe entre policiers venus assurer la sécurité de la réunion.

La police berlinoise, empêtrée dans cette affaire qui a éclaté mardi et provoque aussi l’hilarité générale en Allemagne, a tenté mercredi d’éteindre l’incendie avec humour.

Les fonctionnaires de police ne sont « que des êtres humains derrière leurs uniformes » et « oui nous avons fait la fête! », admettent-ils sur la très officielle page Facebook de la police berlinoise.

Plus de 220 policiers de la capitale, appelés en renfort à Hambourg pour assurer la sécurité lors du sommet des dirigeants du G20 les 7 et 8 juillet, ont été renvoyés chez eux après une soirée de tous les excès avec alcool, sexe en public et danse sur les tables.

« Ils ont bu, dansé, pissé et oui manifestement ‘baisé' », écrit poétiquement la police berlinoise, qui justifie cette fête spontanée par l’anniversaire de deux collègues.

Mais il s’agit aussi de personnes sur lesquelles pèsent de lourdes responsabilités et qui agissent généralement « de manière très professionnelle », assure-t-elle pour se défendre.

La veille, la police de Hambourg avait annoncé que ces fonctionnaires avaient été priés de rentrer à Berlin en raison « d’un comportement inapproprié (…) et inacceptable » à un peu plus d’une semaine du sommet qui se tient sous haute sécurité.

Durant une « fête » dans le village de containers dans lequel ces policiers étaient provisoirement hébergés au nord de Hambourg, un policier et une policière ont eu des relations sexuelles en public, selon le quotidien Bild.

– Urine –

Une autre a dansé sur les tables, vêtue seulement d’un peignoir et avec son arme de service en main, rapportent d’autres journaux qui se délectent de cette affaire.

Certains se sont aussi mis à uriner contre une barrière, chacun attendant en rang son tour pour se soulager, détaillent encore les médias.

Selon la radio publique berlinoise rbb, qui s’appuie sur des conversations sur internet de policiers, une bagarre a aussi éclaté entre des policiers « fêtards » de Berlin et leurs collègues de Wuppertal, qui devaient prendre leur service à 03h30 du matin (01h30 GMT).

Mercredi la police berlinoise s’est d’ailleurs excusée auprès de ces collègues de la région Rhénanie du Nord-Westphalie, hébergés eux aussi dans ces containers à proximité et qui se sont plaints des nuisances sonores de la fête.

Bild a publié une photo où l’on voit des policiers en civil levant leurs verres tandis que d’autres fument la chicha dans une ambiance manifestement très joyeuse.

Plus de 15.000 policiers venus de toute l’Allemagne sont mobilisés pour le G20 placé sous haute surveillance en raison des menaces terroristes en Europe et des manifestations d’opposants attendues en marge de la réunion.

Les frasques de la police berlinoise ont provoqué nombre de commentaires savoureux dans la presse et sur les réseaux sociaux.

L’association réunissant les clubs de techno berlinois a remercié les agents pour « leur joie de vivre et leur engagement corporel » et leur a proposé de les inscrire sur la « guestlist » d’une discothèque de leur choix.

Un nouvel « insigne » de la police berlinoise circulait également sur internet avec des ours (l’animal symbole de la capitale allemande) en train de boire ou d’avoir des relations sexuelles.

Non sans humour, les forces de l’ordre à Berlin veulent profiter de cette publicité pour recruter de nouveaux fonctionnaires qui pourront ainsi se rendre compte que « nous ne sommes pas une police fêtarde mais plutôt la force de police professionnelle de la capitale ».

Romandie.com avec(©AFP / 28 juin 2017 15h18)                

Décès de l’Américaine Trisha Brown, grande figure de la danse contemporaine

mars 20, 2017

New York – La chorégraphe américaine Trisha Brown, grande figure de la danse contemporaine, est décédée samedi au Texas à l’âge de 80 ans, a annoncé lundi la compagnie qui porte son nom.

« C’est avec une immense tristesse que nous vous annonçons que l’artiste Trisha Brown, née en 1936, est décédée le 18 mars à San Antonio, au Texas, au terme d’une longue maladie », a écrit dans un communiqué la compagnie Trisha Brown.

Sa compagnie salue « une des chorégraphes les plus acclamées et influentes de son époque », dont le travail « avant-gardiste a changé pour toujours le paysage artistique ».

Née à Aberdeen, dans l’Etat de Washington (nord-ouest), elle est diplômée de la faculté de danse du Mills College en 1958 et arrive à New York en 1961.

Elève de Anna Halprin, elle participe aux ateliers de chorégraphie de Robert Dunn, dans un esprit de « créativité interdisciplinaire », marque de la ville de New York dans les années 1960.

Elle fonde en 1970 sa propre compagnie à partir de laquelle elle va pendant quarante ans explorer toutes les voies de la danse contemporaine, marquée par l’improvisation et les expérimentations.

Elle introduit notamment la danse dans les musées. Elle a aussi peint et dessiné, et a été exposée à de nombreuses reprises.

Trisha Brown a créé plus de 100 chorégraphies et six opéras avant de quitter la scène en tant que danseuse en 2008.

Sa mort suit de quelques mois celle de son mari, l’artiste vidéaste Burt Barr, décédé le 7 novembre.

Elle laisse un fils et quatre petits-enfants.

Romandie.com avec(©AFP / 20 mars 2017 17h32)                   

Rihanna très excitée par des danseuses de lap-dance

octobre 17, 2011

Dépasserait-elle les bornes ?

Rihanna très excitée par des danseuses de lap-dance A Londres, Rihanna s’est laissé aller à ses instincts en regardant d’un peu trop près des danseuses de lap-dance.

Rihanna a le feu aux fesses. Alors que les yeux sont braqués vers son nouveau clip, We found love, qu’elle ne devrait pas tarder à sortir, Rihanna ne se tient pas tranquille. A Londres pour une soirée en boîte de nuit avec son ex, Matt Kemp, elle a soudainement été très troublée par des danseuses de lap-dance.

Elle aurait alors dépassé les limites fixées par le règlement de l’établissement, comme le rapporte un témoin cité dans The Sun. Dans un premier temps, « elle a payé pour des danses » car elle adorait « regarder les filles en pleine action ».

Mais peu à peu, portée par la volupté de ces danses érotiques, Rihanna a eu du mal à se contrôler et a mis « sa tête entre les jambes d’une danseuse ». Le personnel du club « n’était pas très content » car Rihanna « n’arrêtait pas de toucher les danseuses, en ignorant les avertissements ». Ah bon ? Étonnant, pour un petit ange pareil.

Voici.fr par A-C.M.

Le prince William a mis le feu au mariage de sa cousine

août 2, 2011

Le prince William a mis le feu au mariage de sa cousine

Qui a dit que le prince William ne savait pas s’amuser ? Certainement pas les invités du mariage de Zara Phillips et Mike Tindall.

Zara Philips, la cousine du prince William, et Mike Tindall se sont dit oui à l’église Canongate Kirk à Edimbourg, en Écosse. Après la cérémonie, les invités ont dîné au palais d’Holyroodhouse et on ensuite fêté l’événement comme il se doit. Comme lors du mariage de William et Kate, la reine Elizabeth II s’est éclipsée juste après le repas, laissant tout le loisir aux jeunes de s’éclater comme des fous. Et comment s’amusent les membres de la famille royale ? Avec un simple karaoké.

« Zara a été la première à se lancer et Mike l’a rejointe. Ils ont chanté du Abba et tout le monde a dansé et les a acclamés », a raconté un témoin à Us Weekly. Mais la soirée a atteint son apogée lorsque le prince William s’est à son tour emparé du micro. Point de Kate Middleton sur scène pour encourager son époux, elle est restée en retrait, béate d’admiration pour son chanteur de mari. Il a interprété Livin’ on a prayer de Bon Jovi. « C’était fantastique, a ajouté cette source. Pratiquement tout le monde est resté debout toute la nuit et les jeunes mariés ne sont pas allés se couchés, bien trop occupés à faire la fête avec leurs amis ». Kate, et surtout cet « ambianceur » de William, n’ont pas été les derniers à les accompagner !

Voici.fr par M-A.K.

Expression de joie festive

février 15, 2011

La joie festive expression de joie
Au sourire glamour scintillant de jais
Dans une esquisse de dentition blanche
Au grand sommet de la Maison blanche
Les doigts fins entrelacés en l’air
Au contact de la paume en chair
Fusaient d’ample délectation
Au parfum d’ultime attention
Avec des pas d’une belle envolée de danse
Bonheur savouré au rythme de la cadence

Bernard NKOUNKOU

Le Gala des 5 continents à Trois-Rivières

février 6, 2010

La soirée du Gala des Cinq Continents organisée par le Comité d’Intégration International Universitaire(CIIU), de l’université du Québec à Trois-Rivières(UQTR), avait eu lieu, le samedi 5 avril 2008, à la bâtisse industrielle. Il réunissait un grand nombre d’invités, plus de 500 personnes, ayant répondu à la diffusion de l’événement.

Le Comité d’organisation avait mis en place des voitures pour des facilités de transport qui se relayaient entre l’université (point de rassemblement) et le lieu de destination de la fête officielle pour
tous ceux qui éprouvaient des difficultés à s’y rendre et qui ne connaissaient pas ledit endroit.

Dès l’entrée, l’on exhibait son carton d’invitation de 15$, vous donnant le droit d’accès ou au besoin l’on achetait, à gauche, le même carton, cette fois-ci, au prix de 18$ (à la porte).

Respectant les usages – comme un peu partout – en cette période de froid, l’on se dévêtait de son manteau qui était rangé précautionneusement dans une réelle assurance du propriétaire, moyennant un ticket numéroté de reconnaissance et de récupération, à la fin de la cérémonie.

Les étudiantes et les femmes des hôtes s’étaient parées de belles coupes comme le jour du mariage. Elles étaient toutes reluisantes et attrayantes. On croirait que c’était une fête des femmes où les hommes leur servaient de compagnie.

La soirée qui devait commencer, à 18h30, trainait ses pas, permettant aux premiers arrivants de déguster un apéritif pour gérer l’attente. D’autres se plongeaient dans des conversations pour mieux entretenir la patience.

Le clou de la manifestation était ouvert à 20h par un buffet exotique où chacun pouvait passer devant le service des hôtesses d’une remarquable beauté, au sourire chaleureux et au regard tendrement affectueux pour bénéficier du repas de circonstance. L’on y servait de l’ « attieké », fécule de manioc cuit à l’étouffée : une spécialité de Côte d’Ivoire qui se mange avec du poulet. On pouvait y trouver aussi de l’alloko (friture de banane plantain coupée en rondelles ou incurvée, assaisonnée de sauce tomate et d’oignon), autre spécialité ivoirienne et du riz parfumé au safran qui donnait une teinte jaune aux allures caribéennes.

Mets succulents qui donnaient de l’appétit aux premiers servis. Contre toute attente, la quantité des convives avait fini par pécher sur le coté de l’insatisfaction de tous ceux qui attendaient (debout) pendant trente minutes dans le rang avant de prendre l’assiette blanche et de constater que plus rien ne pouvait plus soulager le creux du ventre.

Heureusement que la sagesse était au rendez-vous pour gérer et combler – ce manque culinaire et gastronomique – par une excuse de politesse suivie d’une proposition protocolaire, invitant tous ceux qui le désiraient de s’inscrire et de passer la commande de la nourriture afin de réparer le préjudice coupé de l’appétit.

Après une pause de digestion, le présentateur annonçait le début du défilé, en habits traditionnels, appuyé par les drapeaux de vingt cinq nations (Gabon, Cameroun, Burundi, Côte d’Ivoire, Burkina Faso, Madagascar, Mali, Ile Maurice, Niger, Rwanda, Chine, Inde, Espagne, France, Guyane, Ile de la Réunion, Tahiti, Belgique, Argentine, Brésil, Pérou, Canada, Attikamek et Québec). L’ambassadeur de la nation devrait dire la salutation dans la langue nationale.

Le festival des chants et des danses s’ouvrait et était inauguré par le folklore du peuple Attikamek, rythmé aux sons d’un tambour central qu’accompagnait une chorale assise (des hommes à la tête ronde) d’où se dégageait dans la salle des cris, sorte d’onomatopées dialectales. Sur l’estrade le chef avec sa suite dansaient dans une tenue de chasseur guerrier (le derrière entouré d’un cercle de plumes d’oiseaux aux nombreux coloris).

Honneur effectivement était accordé et donné à ce peuple autochtone, dans un souci d’accueil et d’amabilité du territoire, expression solennelle de la manifestation.

Ensuite, le tour revenait au duo Transcendance de Shawinigan où la femme, de rouge vêtu, avec un dessous noir, se livrait à une danse spectaculaire où son partenaire masculin, avait une agilité exceptionnelle pour son jeu de pied flexible. Ce couple venait de brancher et d’électriser la salle. Tous les regards avaient opté pour une seule direction. Fondre dans la magie gestuelle du duo à la pleine maitrise de leur art.

Un glissement furtif d’Extra musica s’intercalait pour annoncer la danse du Cameroun qui était exécutée par six filles en rouge et noir après une invite de la danse de Tahiti – exubérante – au rythme empreinte à la mélodie des cascades et des flots de l’eau sauvage.

La Côte d’Ivoire, cet autre pays, actuellement miroir et temple de la musique africaine, nous livrait un aperçu cérémonial du pays Akans où le roi, en contre sueur blanc avec un collier en or, avançait aux pas de chef traditionnel, en compagnie de sa femme jetant un pagne « kita » sur l’épaule. Les pages du roi lui ventilaient l’air frais pour arroser sa dignité.

La cérémonie se poursuivait et s’ouvrait, encore, sur un tableau de la danse du Niger où la femme et l’homme de blanc vêtu s’exhibaient, à pas rapides, et aux mains qui fouettaient le vent comme des ailes d’oiseaux. Un danseur rwandais accompagnait une mélodie qu’il dédiait à sa chère Esperance, sorte de cantate ou de sérénade sentimentale.

Trêve de détente et de relaxe, l’animateur du gala, à la boucle d’oreille de prestige, passait, à la phase de la remise des médailles et des trophées, à quelques équipes qui s’étaient distinguées dans le soccer ou autres sports de compétition. Le Cameroun, le Sénégal, la Côte d’Ivoire… étaient les heureux récipiendaires.

La giroflée du gala éclatait à la lumière de la soirée, par la danse de la Réunion où quatre réunionnaises (habillées de blanc, rouge et vert), symbolisant la clarté, la force et l’espérance, au teint de miel pur, gesticulaient avec des coups de reins qui faisaient rêver la foule des hommes.

Une prestation fulgurante de quatorze danseurs  camerounais défilait sur le plateau avant de s’exhiber dans un mélange de mapuka, dombolo et makossa. L’atmosphère devenait chaude par l’ambiance résonnante à couper le souffle. Hip pop et remake de sept danseurs en jaune et blanc apportaient un surplus de dose à la fête mettant la salle en feu.

La danse de Côte d’Ivoire clôturait le Gala des Cinq Continents avec la musique saoul et zouglou de Magic System, Salif Traore « Asalfo »: la machine à penser et à danser.

Bernard NKOUNKOU