La date de son procès sera fixée le 5 décembre prochain.
Un agent reconstitutionniste de la Sûreté du Québec et deux témoins civils ont témoigné lors de l’enquête préliminaire, qui a pris fin lundi.
Les procédures ont requis la présence d’un interprète qui parle swahili, une langue d’Afrique de l’Est dans laquelle s’exprime principalement l’accusé.
La tenue de l’enquête préliminaire avait d’ailleurs dû être retardée faute de traducteur disponible en juillet dernier.
Le 19 juillet 2018, alors qu’un policier tentait de l’intercepter dans le cadre après le déclenchement de son lecteur de plaques, Amosi Niyonkuru aurait pris la fuite.