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France: Darmanin veut conditionner la délivrance de carte de séjour à la maîtrise d’un niveau minimal de français

juillet 12, 2022
Darmanin veut conditionner la delivrance de carte de sejour a la maitrise d'un niveau minimal de francais
Darmanin veut conditionner la délivrance de carte de séjour à la maîtrise d’un niveau minimal de français© AFP/BERTRAND GUAY

Le gouvernement va proposer de conditionner la délivrance de la carte de séjour pluriannuelle (CSP) à la maîtrise d’un niveau minimal de français afin de conforter l’intégration, a annoncé mardi le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.

« A la demande de la Première ministre, nous doublerons les crédits pour l’intégration et nous conditionnerons notamment le titre de séjour pluriannuel pour un étranger qui passe plusieurs années sur le territoire national (à la maîtrise de) la langue française, soit pour naturalisation soit pour un examen de régularisation », a déclaré M. Darmanin à l’Assemblée nationale.

Actuellement, au terme d’une première année de séjour régulier en France, un étranger peut bénéficier d’une carte de séjour pluriannuelle d’une durée de quatre ans, dès lors qu’il justifie de son assiduité et du sérieux de sa participation aux formations linguistiques et civiques dans le cadre d’un contrat d’intégration républicaine et n’a pas manifesté de rejet des valeurs de la République.

« Demain, pour obtenir la carte pluriannuelle, il faudra justifier d’un niveau minimal de français », a précisé à l’AFP l’entourage du ministre.

Dans un entretien au Monde, M. Darmanin a fait savoir samedi que le gouvernement souhaitait rendre possible l’expulsion de « tout « étranger » qui « a commis des actes graves » en levant notamment la condition de l’âge d’arrivée en France.

« J’ai en effet proposé, à la demande de la Première ministre, l’expulsion (…) des personnes qui sont responsables soit de radicalisation, soit (qui ont été condamnés à des) peines (…) définitivement prononcées par la justice », a détaillé mardi le ministre devant les députés.

Il a ajouté que « 2.650 » personnes avaient été expulsées de France depuis plus d’un an.

Avec Le Point

RDC: Kinshasa délivre un passeport diplomatique è Jean-Pierre Bemba

juillet 14, 2018

 

L’ancien vice-président congolais, Jean-Pierre Bemba, devant la Cour pénale internationale à La Haye, le 21 juin 2016. © Michael Kooren/AP/SIPA

Selon nos informations, un passeport diplomatique a été délivré vendredi à l’opposant congolais Jean-Pierre Bemba, acquitté début juin de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité par la CPI.

Après dix ans de détention à La Haye, le ciel s’éclaircit pour Jean-Pierre Bemba. Depuis son acquittement, le 8 juin, de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, l’opposant congolais a reçu l’autorisation de séjourner à Bruxelles, en attendant son éventuel retour à Kinshasa. Là-bas, son parti, le Mouvement de libération du Congo (MLC), vient de le désigner, vendredi 13 juillet, comme candidat à la présidentielle, prévue le 23 décembre, à l’issue de son congrès en cours.

Mais personne ne sait encore la date du retour au pays du « Chairman ». Il y a deux semaines, Jean-Pierre Bemba s’était rendu discrètement à l’ambassade de la RDC à Bruxelles pour faire sa demande de passeport diplomatique, en sa qualité de sénateur.

« Plus rien n’empêche le retour de Bemba »

Une source au sein du ministère congolais des Affaires étrangères indique à Jeune Afrique que « le passeport diplomatique demandé a été remis aujourd’hui [vendredi 13 juillet] à Fidèle Babala », le bras droit du leader du MLC. « Plus rien n’empêche désormais son retour en RDC », ajoute notre source.

Jeune Afrique avait annoncé début juillet que la délivrance du passeport de Jean-Pierre était imminente. « Cela a un tout petit peu traîné parce que le vice-Premier ministre des Affaires étrangères [Léonard She Okitundu] était souvent en déplacement ces derniers jours », explique un diplomate congolais proche du dossier.

Condamné dans une autre affaire de subornation de témoins, Jean-Pierre Bemba attend de la première chambre de la Cour pénale internationale une nouvelle décision. Sera-t-il définitivement relaxé, comme le demandent ses avocats, ou de nouveau condamné, comme l’espère le bureau du procureur qui a requis cinq ans de prison à son encontre ?

Jean-Pierre Bemba

Congo: Mission ratée: Jean-Jacques Bouya a voulu sacrifier son neveu

février 2, 2018

 

C’est la joie et le réconfort dans la famille du neveu du ministre « Grands travaux » après que la puissance de Dieu par des prières intenses chez un prêtre catholique ait empêché que leur fils laisse de façon mystique la terre des hommes. Cette famille a juré de couper définitivement les ponts avec Bouya.

« Comment Jean jacques pouvait nous faire ça ? » s’est interrogée et continue à le faire cette famille dont le fils et neveu du ministre était sur le point d’être sacrifié dans ce qu’on appelle à Brazzaville crime maçonnique.

Nul n’ignore que ces derniers temps Jean Jacques Bouya est devenu la cible de tous les Congolais lesquels à cause de la crise semblent retrouver la mémoire et courage de pointer du doigt les voleurs de la république. Presque tout le monde demande la tête de Jean Jacques Bouya.

Sans doute pour se protéger et faire passer ce mauvais vent en influençant les décisions du chef de l’État, le seul habilité à le sacrifier, Jean Jacques Bouya aurait été instruis par le grand maître de lui offrir du sang humain familial. Et le malchanceux était son neveu.

Comme tout bon stratège, Bouya a mis en avant sa fortune et son esprit philanthropique pour attirer son neveu. Assoiffé d’argent, le Congolais n’hésite jamais à prendre même celui du diable.

A la surprise de la famille, Jean Jacques Bouya qui partage rarement sa vraie famille, aurait remis selon les témoignages proches de la victime une somme assez considérable et des vêtements fraîchement ramenés d’Europe à son neveu, un brillant étudiant.

Quelques semaines après, le calvaire du neveu a commencé par des crises d’épilepsie, perte de vue et mémoire avant une paralysie partielle de ses membres. La médecine n’ayant rien apporté de positif, c’est vers un prêtre catholique vivant à Mayanga après le pont du Djoué et réputé que la famille s’est confiée.

Après une semaine de jeûne et prières, le prêtre a révélé à la famille la dure vérité, et sauvé leur fils. Les parents ont décidé de prendre leurs distances avec Jean Jacques Bouya et s’est réfugiée dans la prière.

Sacer-infos.com par Stany Franck

 

Congo: un pasteur délivre un fou et devient fou à son tour

décembre 12, 2017

fou

Il y a pasteur et pasteur dans cette Afrique où la religion semble être devenue l’opium des peuples. Plus rien ne se passe dans des familles sans que ces personnes qui se sont autoproclamées pasteurs agissent. Un fou a passé sa folie à un pasteur qui s’est porté volontaire pour le délivrer de sa maladie.

Tout était fin prêt pour que le pasteur Henri K vive ses moments de gloire à Voungou. Pour la circonstance, il a convié toute son église et la famille du fou. Pour affronter ce grand défi pastoral, Henri K a passé une semaine sur une montagne enchaînant des journées de jeûnes et prières. Selon le pasteur, ce n’est qu’après avoir reçu la confirmation de Dieu qu’il a descendu de la montagne et prouver sa grandeur.

Dans cette parcelle située près de banque de vie, à Voungou II, un quartier de Pointe-Noire, le fou a été attaché à un arbre depuis une semaine par la famille pour éviter que les esprits malsains ne l’envoûtent davantage et qu’il s’échappe.

Quand le pasteur Henri K est apparu avec son équipe, l’ambiance est monté d’un cran. Les louanges et adorations envers le Seigneur se sont suivies, soutenues par des prières collectives. Grosse Bible à la main, le pasteur est entré en action invoquant l’esprit divin à qui, il exigeait d’agir.

Le fou a été secoué plusieurs fois pour chasser les mauvais esprits qui hantaient sa vie, le tout, accompagné des prières.

Après une heure de séance intense, le fou s’est levé, et s’est mis à accompagner la prière suscitant la joie de l’assistance.Il a demandé à boire à sa mère et de l’eau pour se laver sous les cris d’allégresse de la famille et fidèles de l’église. La joie était totale, vu que l’objectif avait été atteint. Dieu a agit et le fou était redevenu un personne normale.

Alors que le fou sortait de la douche, le pasteur Henri K qui recevait les félicitations de la famille a piqué une crise et s’est retrouvé par terre. Paniqué, tout le monde a tenté de le secourir avant de se remarquer, qu’il y a eu une passation de folie entre lui et le fou. Il a été ramené dans son église pour des prières intenses de délivrance, et attaché avec des chaînes comme l’était le fou pour ne pas s’échapper.

Sacer-infos.com

Nigeria: l’armée délivre plus de 300 femmes et enfants captifs de Boko Haram

octobre 28, 2015

Lagos – Plus de 300 femmes et enfants retenus en captivité par le groupe islamiste Boko Haram dans le nord-est du Nigeria ont été délivrés, a annoncé l’armée nigériane mercredi dans un communiqué.

Une unité de l’armée a secouru 338 personnes retenues en captivité par les terroristes, dont 192 enfants et 138 femmes, lors d’opérations menées mardi, a déclaré l’armée.

Ces opérations visaient des camps présumés des terroristes de Boko Haram dans les villages de Bulajilin et Manawashe dans la région de la forêt de Sambisa, un fief des rebelles islamistes.

L’armée a également revendiqué avoir tué 30 membres présumés de Boko Haram et récupéré des armes et des munitions.

Dans ce même communiqué, l’armée affirme également avoir pris en embuscade et tué quatre insurgés présumés qui se dirigeaient vers la ville de Gubula dans l’Etat voisin d’Adamawa pour y mener des attentats-suicides, saisissant également des armes, des munitions, des obus de mortier et de l’argent.

L’armée de l’air a déclaré mardi avoir lancé des frappes sur les entrepôts de véhicules et de carburant du groupe islamiste dans un effort renouvelé pour dégrader davantage ses ressources. Selon le chef de l’armée de l’air Sadique Abubakar, ces frappes ouvrent la voie à l’assaut final par les troupes au sol.

L’armée fait régulièrement état de succès dans sa lutte contre l’insurrection. Fin septembre, elle affirmait avoir sauvé 241 femmes et enfants au cours d’opérations contre les insurgés dans le nord-est du pays.

Mais les raids meurtriers et attentats-suicides perpétrés par Boko Haram se succèdent à un rythme quasi-quotidien, malgré la promesse du président Muhammadu Buhari d’en finir avec les insurgés d’ici la fin de l’année.

Il a obtenu des succès militaires, avec l’aide de l’armée tchadienne notamment, mais Boko Haram apparaît loin d’être vaincu.

Les insurgés islamistes ont intensifié leurs attaques contre des cibles civiles au cours des derniers mois et, selon Amnesty International, ont enlevé au moins 2.000 femmes et filles au Nigeria depuis janvier 2014.

L’enlèvement par Boko Haram de plus de 200 lycéennes à Chibok, en avril 2014 avait notamment suscité une indignation internationale.

Boko Haram, dont l’insurrection a fait au moins 17.000 morts et plus de 2,5 millions de déplacés depuis 2009, est tenu pour responsable de la mort de plus de 1.420 personnes depuis la prise de fonctions du président Buhari le 29 mai, selon un décompte établi par l’AFP.

Le Nigeria et ses voisins, également ciblés par Boko Haram, – Cameroun, Tchad, Niger et Bénin – ont mis sur pied une Force d’intervention conjointe multinationale (MNJTF) pour combattre le groupe islamiste.

Romandie.com avec(©AFP / 28 octobre 2015 13h38)