Posts Tagged ‘Déploiement’

Des troupes burundaises de la force régionale arrivées en RDC

mars 5, 2023

Près de trente militaires du Burundi ont atterri dimanche à Goma dans le cadre du déploiement de la force régionale mise en place par les pays de l’EAC pour mettre fin aux violences dans l’est du pays

Des soldats de la force régionale de l’EAC à Goma, dans l’est de la RDC, le 2 décembre 2022. © Glody Murhabazi / AFP

Ce dimanche 5 mars, environ trente militaires burundais ont atterri à Goma, dans l’est de la RDC. Ils sont déployés dans le cadre de la force régionale mise en place par les pays de l’EAC (East African Community) pour tenter d’endiguer l’avancée de la rébellion du M23 et démettre la centaine de groupes armés qui sévit dans la partie orientale du pays.

L’effectif burundais devant être déployé au Nord-Kivu est censé atteindre une centaine d’hommes, qui « est en train de venir par route » dans la journée, a déclaré le général congolais Emmanuel Kaputa Kasenga, commandant adjoint de la force est-africaine. Le porte-parole de la force, le major kényan Wanyoni Nyakundi, a lui annoncé qu’ils arrivaient depuis Bujumbura, la capitale du Burundi, dans un avion de l’armée kényane.

Sake, Kilolirwe et Kitshanga

Sur le tarmac de l’aéroport, au pied des bus devant les transporter jusqu’à leur base dans la périphérie de Goma, dans un ancien camp de miliciens démobilisés évacué récemment, le général Kaputa a rappelé à la petite troupe leur mission : « [vous] déployer dans Sake, Kilolirwe et Kitshanga » et « participer au retrait sans condition de la rébellion du M23 ». Kitshanga et Kilorirwe sont sous le contrôle du M23 depuis fin janvier.

Les troupes burundaises s’ajoutent à un contingent de l’armée kényane d’environ un millier d’hommes déployé dans et autour de Goma depuis novembre 2022. Des troupes sud-soudanaises et ougandaises sont encore attendues sur le sol congolais pour compléter le dispositif militaire décidé par l’EAC.

Le M23, resté en sommeil pendant près de dix ans, a repris les armes fin 2021. Kinshasa accuse le Rwanda de le soutenir, ce qui a été corroboré par des experts de l’ONU, bien que Kigali s’en défende. Samedi, au cours de sa visite en République démocratique du Congo, le président français Emmanuel Macron a déclaré qu’un cessez-le-feu devait avoir lieu mardi et a laissé entendre qu’en cas de non-respect des engagements, des sanctions pourraient être prises, y compris contre le Rwanda.

Par Jeune Afrique avec AFP

Moscou déploie des missiles hypersoniques à Minsk

novembre 2, 2022

Le Kremlin a installé des MiG-31 et leurs missiles Kinjal sur une base biélorusse, un « message adressé à l’Ouest », selon le ministère britannique de la Défense.

Un MiG-31 des forces aerospatiales russes, photo d'illustration.
Un MiG-31 des forces aérospatiales russes, photo d’illustration.© Photo sous licence libre Creative Commons by-nc-nd / Pavel Vanka via Flickr

Moscou a déployé en Biélorussie deux chasseurs MiG-31K, la version la plus moderne d’un avion développé dans les années 1970 pour intercepter les cibles à haute vitesse. Capable de voler à 3 200 km/h, cet appareil biplace est, lorsqu’il emporte un missile hypersonique Kinjal, le vecteur idéal pour frapper n’importe quelle capitale européenne en quelques minutes, y compris avec une tête nucléaire. Le missile Kinjal, qui peut dépasser les 11 000 km/h, est aujourd’hui quasiment impossible à intercepter.

L’apport stratégique de ce déploiement pour Moscou n’est pas évident, dans la mesure où les forces aérospatiales russes (VKS) disposent déjà depuis août 2022 d’une paire de MiG-31K et de missiles Kinjal à Kaliningrad, enclave russe aux portes du territoire européen. Il s’agit ainsi d’une mesure essentiellement symbolique pour le Kremlin, qui marque sa coopération sans faille avec l’allié biélorusse, dont le territoire sert de base arrière à l’offensive de Vladimir Poutine en Ukraine.

Un MiG-31K russe défile au-dessus de Moscou le 7 mai 2022, équipé d’un missile Kinjal (ou d’une réplique).© SEFA KARACAN / Anadolu Agency via AFP

L’intérêt de ce déploiement pour le conflit en Ukraine semble quasiment nul, dans la mesure où le stock de missiles Kinjal est très faible et il est hautement improbable que l’armée russe les « gâche » pour frapper le territoire ukrainien, déjà vulnérable à d’autres armes plus classiques comme les missiles de croisière, ou franchement rustiques comme les bombes lisses et les frappes d’artillerie « à l’aveugle ». « Il s’agit sans doute essentiellement d’un message adressé à l’Ouest », commente ainsi le ministère de la Défense britannique. L’arrivée des MiG-31K aurait d’ailleurs eu lieu dans le cadre de la création d’un groupement militaire régional commun avec Minsk, dans le but de renforcer les frontières face aux Européens et à l’Otan.

Avec Le Point par Guerric Poncet

Mexique: déploiement policier dans un camp de migrants haïtiens

septembre 23, 2021
Mexique: deploiement policier dans un camp de migrants haitiens
Mexique: déploiement policier dans un camp de migrants haïtiens© AFP/PEDRO PARDO

La tension régnait jeudi dans un camp de migrants haïtiens installé dans la ville mexicaine de Ciudad Acuña (nord), à la frontière avec les États-Unis, après le déploiement d’une centaine de policiers mexicains, ont constaté des journalistes de l’AFP.

« Ils vont nous expulser ? », demande, visiblement angoissé, un homme après le déploiement des patrouilles. « Je n’ai rien dans mon pays. Que vont-ils faire ? », demande au bord des larmes une Haïtienne, qui dit s’appeler Sonia.

Les forces de l’ordre se sont déployées après l’annonce faite par l’Institut national des migrations (INM) indiquant que la situation des migrants serait examinée afin de les renvoyer dans la ville où ils ont initialement déposé leur demande d’asile.

« Ceux qui sont entrés (au Mexique) et ont demandé l’asile doivent poursuivre leurs démarches devant les instances où leur demande a été déposée », a expliqué à des journalistes Francisco Garduño, l’envoyé spécial de l’INM à Ciudad Acuña.

Cette demande doit permettre à terme aux migrants clandestins de rester légalement au Mexique et d’éviter l’expulsion, dans l’attente d’une entrée éventuelle aux États-Unis.

Les policiers sont arrivés à l’aube près du parc où sont massés depuis près d’une semaine plusieurs centaines de migrants, a constaté l’AFP.

Les forces de l’ordre mexicaines se sont postées le long du fleuve Rio Grande, traversé quotidiennement par des centaines de clandestins qui vont et viennent d’une rive à l’autre pour tenter de s’approvisionner en nourriture et médicaments.

Plusieurs véhicules des garde-frontières américains étaient visibles du côté américain de la frontière. Un hélicoptère survole également la zone en permanence, selon les journalistes de l’AFP.

« Nous sommes venus pour coordonner l’assistance à cette population qui se retrouve en situation de vulnérabilité. Le respect de ces personnes est garanti », a assuré Francisco Garduño.

Des fonctionnaires de l’INM étaient présents au début du déploiement des forces de sécurité, avant de se retirer, selon l’AFP.

Des dizaines de milliers de migrants, pour la plupart des Haïtiens, s’entassent depuis plusieurs semaines dans les villes mexicaines de Tapachula, à la frontière sud avec le Guatemala, et de Ciudad Acuña, à la frontière du Texas.

Fuyant la pauvreté et le chaos, ils cherchent à gagner les États-Unis, pour nombre d’entre eux après avoir traversé une douzaine de pays comme le Panama et la Colombie, où quelque 19.000 migrants, en majorité Haïtiens, sont également massés à la frontière.

Des centaines de migrants ont été expulsés par avion cette semaine vers Port-au-Prince par les autorités américaines.

Le Mexique a affecté 28.395 soldats à la surveillance des frontières, selon le gouvernement, qui a indiqué mercredi que 147.033 migrants irréguliers avaient été interceptés jusqu’à présent en 2021.

Cette nouvelle vague de migration a été déclenchée après que Washington a prolongé le statut de protection temporaire (TPS) pour tous les Haïtiens qui se trouvaient aux États-Unis le 29 juillet ou avant. Cette décision a incité des milliers de personnes à se précipiter vers la frontière américaine.

Avec Le Point avec AFP

France-Violences conjugales: autant de bracelets et de « téléphones grave danger » que nécessaire dit Castex

septembre 3, 2021
Violences conjugales: autant de bracelets et de "telephones grave danger" que necessaire dit Castex
Violences conjugales: autant de bracelets et de « téléphones grave danger » que nécessaire dit Castex© AFP/JEAN-FRANCOIS MONIER

Le gouvernement déploiera autant de bracelets anti-rapprochement et de « téléphones grave danger » que nécessaire pour protéger les femmes de la violence de leurs ex-conjoints, a annoncé vendredi le Premier ministre Jean Castex.

« Il n’y a pas de problème de moyens » pour financer ces équipements, a souligné le chef du gouvernement lors d’un déplacement à Saint-Lô à l’occasion du deuxième anniversaire du lancement du Grenelle contre les violences conjugales.

Un millier de bracelets anti-rapprochement, imposés par la justice aux hommes violents pour les contraindre à rester à distance de leur victime, sont à disposition des magistrats et 245 sont « actifs », a précisé M. Castex, mais « nous en achèterons autant que nécessaire », a-t-il insisté.

De même, 2.310 « téléphones grave danger », qui permettent aux femmes d’appeler les secours en urgence et d’être géolocalisées, sont déployés, dont 1.652 « actifs ». L’objectif de 3.000 téléphones déployés d’ici novembre sera tenu, et « si fin novembre les besoins continuent d’augmenter, nous en mettrons autant que nécessaire à disposition des juridictions », a encore souligné le chef du gouvernement.

Accompagné de trois de ses ministres, Eric Dupond-Moretti (Justice), Elisabeth Moreno (Egalité femmes/hommes) et Marlène Schiappa (Citoyenneté), M. Castex était venu dans la Manche pour s’assurer de la bonne application sur le terrain des 46 mesures décidées à l’issue du Grenelle.

Les ministres ont visité un « centre d’hébergement et de réinsertion sociale » pour femmes victimes de violence, à Saint-Lô, où M. Castex s’est entretenu en privé avec deux des résidentes.

Les femmes victimes de ce « fléau » ne doivent pas attendre « le 2e, 3e ou 4e épisode de violences » pour être mises à l’abri, a insisté M. Castex, qui a signé une circulaire visant à améliorer la coordination et l’échange d’informations entre policiers, magistrats, associations…

« Bouts de ficelle »

Pour « améliorer la détection des signaux faibles », le gouvernement a prévu de créer un fichier des auteurs de violences conjugales, mais la création de ce nouvel outil prend du retard, a-t-il reconnu.

La conformité du projet avec la loi « informatique et libertés » doit être vérifiée, « et cela prend du temps, un peu trop à mon goût, puisqu’on nous dit que ça prendra 18 mois », a regretté M. Castex, qui « serait heureux » si « on pouvait accélérer ces délais ».

Depuis le début de l’année, 76 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-conjoint, selon le Premier ministre. L’an dernier, le bilan avait atteint 102 victimes, après 146 en 2019.

Pour la Fondation des femmes, la « persistance des violences » montre qu’il faut compléter l’arsenal des mesures, et que les moyens financiers dédiés à cette cause sont toujours « largement insuffisants ».

« J’aimerais entendre le gouvernement dire qu’il met les moyens +quoi qu’il en coûte+ pour défendre les femmes », a dit à l’AFP Anne-Cécile Mailfert, la présidente de cette fondation. Annoncée comme une priorité du quinquennat, cette lutte est menée « avec des bouts de ficelle », a-t-elle regretté.

Selon elle, il faudrait par ailleurs multiplier par 10 le nombre d’ordonnances de protection accordées aux femmes qui se disent en danger, en attendant qu’elles réunissent les éléments pour étayer leur plainte. Mais les magistrats sont encore trop « réticents » à utiliser cet outil, a-t-elle estimé.

Enfin, plaide la fondation, il faudrait développer des « stages de responsabilisation » des agresseurs, et améliorer leur suivi par les services de probation et d’insertion pénitentiaires.

Avec Le Point par clc-mas-ab-cac/cel/cal

Migrations: l’Italie va déployer 470 militaires au Niger (Gentiloni)

décembre 28, 2017

Rome – Le chef du gouvernement italien, Paolo Gentiloni, a annoncé jeudi le déploiement de 470 militaires au Niger, à la demande de Niamey, afin de « renforcer le contrôle du territoire » de ce pays par lequel transitent de nombreux migrants.

« Nous allons au Niger à la suite d’une demande du gouvernement local, reçue début décembre, concernant une contribution italienne pour faire ce que nous faisons normalement dans ces pays, comme par exemple en Libye: renforcer les instruments de contrôle du territoire et des frontières et renforcer les forces de police locales », a déclaré M. Gentiloni lors d’une conférence de presse bilan de l’année.

Le Niger représente « le principal pays de transit » pour des dizaines de milliers de migrants qui arrivent en Libye et tentent ensuite de gagner les côtes italiennes et l’Europe, a-t-il rappelé.

« Si nous apportons notre contribution au renforcement de ce pays, nous faisons quelque chose de sacro-saint pour les intérêts nationaux », a ajouté M. Gentiloni, rappelant également la prolifération de groupes jihadistes dans le Sahel.

De surcroît, « le Niger est un pays peut-être plus disposé que les autres à coopérer dans le domaine des migrations car c’est un pays de transit » dont l’économie ne dépend pas de l’argent envoyé par ses citoyens à l’étranger, a précisé M. Gentiloni.

L’envoi des soldats italiens au Niger avait déjà évoqué par la ministre de la Défense, Roberta Pinotti, devant les parlementaires en octobre, et par M. Gentiloni lors du G5 Sahel (Mali, Tchad, Burkina Faso, Niger, Mauritanie) mi-décembre à la Celle-Saint-Cloud, près de Paris. La décision doit être entérinée lors d’un conseil des ministres prévu jeudi ou vendredi.

Selon des sources diplomatiques, il s’agira de 470 militaires, essentiellement du personnel retiré d’Irak et du Koweït.

Un premier contingent de moins de 200 personnes doit partir début 2018 pour gérer l’aspect logistique de cette mission, et sera rejoint dans le courant de l’année par les autres militaires et un total de 130 véhicules et deux avions, selon la presse italienne.

Romandie.com avec(©AFP / 28 décembre 2017 12h40)                                            

Cameroun: 2.000 soldats supplémentaires seront déployés dans l’Extrême-Nord

juillet 28, 2015

Yaoundé – Quelque 2.000 soldats supplémentaires seront déployés pour lutter contre les islamistes nigérians de Boko Haram dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, en proie à une vague d’attentats-suicides ces derniers jours, a rapporté mardi la radio d’Etat.

Près de 2.000 soldats supplémentaires seront déployés dans la région de l’Extrême-Nord, a rapporté la Cameroon Radio-Television (Crtv), sans donner de précision sur la date de ce déploiement.

Ces renforts porteront officiellement à 8.500 le nombre de soldats envoyés dans cette région pour combattre les insurgés de Boko Haram qui y mènent depuis deux ans des raids meurtriers et des enlèvements.

Ce déploiement s’inscrit dans le cadre du renforcement des mesures de sécurité prises après cinq attentats-suicides meurtriers sans précédent en deux semaines dans l’Extrême-Nord.

Depuis dimanche, sept personnes ont encore été tuées, dont trois décapitées, dans la région lors d’attaques menées par les islamistes.

Les autorités de l’Extrême-Nord – ainsi que d’autres régions camerounaises – ont également interdit le port du voile islamique intégral.

Ainsi, plus de 600 voiles islamiques ont été saisis lundi à Kousseri, poste-frontière camerounais situé en face de la capitale tchadienne N’Djamena, selon un responsable local de la gendarmerie.

Nous avons saisi les voiles des femmes qui les portaient dans la rue. Il s’agit de simples voiles et de voiles intégraux, a expliqué ce responsable.

Toujours selon cette source, la circulation des charrettes a été interdite, tout comme la mendicité et la circulation des motos dans les marchés de Kousseri, afin de prévenir le risque d’attentat.

Un peu partout dans le pays, la sécurité a été renforcée. Sur les principaux axes routiers menant à Yaoundé ou à Douala, la capitale économique, les contrôles se multiplient avec des fouilles au corps et de véhicules.

Le président nigérian Muhammadu Buhari se rendra mercredi au Cameroun pour s’entretenir avec son homologue Paul Biya de la lutte contre Boko Haram.

Cette visite a pour but de construire une alliance régionale forte pour affronter Boko Haram, selon un porte-parole de la présidence nigériane, Garba Shehu.

Le déploiement de la Force d’intervention conjointe multinationale (MNJTF) avait été annoncé d’ici au 30 juillet. Cette force régionale a son siège à N’Djamena et doit compter 8.700 militaires, policiers et civils, fournis par le Nigeria, le Cameroun, le Tchad, le Niger et le Bénin.

De son côté l’armée tchadienne, en première ligne dans cette coalition, a lancé une vaste opération militaire sur les îles du lac, où de nombreux insurgés, affaiblis dans leurs fiefs nigérians, s’étaient repliés ces derniers mois.

Romandie.com avec(©AFP / 28 juillet 2015 16h52)

Les Etats-Unis déploieront des armements lourds sur le flanc Est de l’Otan

juin 23, 2015

Tallinn – Les Etats-Unis vont temporairement déployer des armements lourds pour une brigade dans les pays d’Europe centrale et orientale, afin de renforcer l’Otan sur son flanc Est, a déclaré mardi à Tallinn le secrétaire américain à la Défense, Ashton Carter.

Nous allons temporairement stationner des armements pour une brigade, comprenant des véhicules de combats et des équipement associés, dans les pays de l’Europe centrale et orientale, a déclaré M. Carter lors d’une conférence de presse.

Il a précisé qu’il s’agira notamment de chars et des équipement d’artillerie mobile pour l’infanterie.

Une brigade américaine compte environ 5.000 hommes.

L’Estonie, ainsi que la Lituanie, la Lettonie, la Bulgarie, la Roumanie et la Pologne ont accepté d’accueillir du matériel suffisant pour équiper entre une compagnie et un bataillon. Ce matériel tournera dans la région pour entraînements et exercices, a ajouté M. Carter.

Des armes lourdes américaines seront ainsi déployées pour la première fois dans ces pays qui ont adhéré à l’Otan et qui, avant la chute du mur de Berlin, appartenaient à la sphère d’influence de l’Union soviétique.

Les pays baltes et d’autres pays d’Europe de l’Est sont très inquiets depuis l’annexion de la Crimée et les combats en Ukraine, où des séparatistes pro-russes contestent l’autorité de Kiev dans l’est du pays.

Romandie.com avec(©AFP / 23 juin 2015 14h38)