Ce pasteur donne plus de la valeur à la sapologie qu’à la parole de Dieu et ignore totalement la phrase :«vanité des vanités ». Le pasteur Anatole d’une église de réveil située à Madibou après le pont du Djoué a refusé de célébrer une messe après le vol de son costard et ses chaussures en Croco. Une tenue qu’il a prévu porter ce dimanche.
Le paraître est devenu l’obsession principale de certains serviteurs de l’éternel qui lance des piques à d’autres pasteurs qui ne s’habillent pas bien. C’est le cas du pasteur Anatole d’une église de réveil de Madibou qui n’a pas supporté que son costard et ses chaussures en Croco soient volés.
Le plus su prenant est de constater que le vol a eu lieu dans les loges de sa propre église quelques heures avant le début du culte d’où les soupçons qui pèsent sur les fidèles. Comme représailles, le pasteur a tout simplement décidé de ne pas se présenter devant ses fidèles comme signe de protestation à cet acte.
Ce costard et ses chaussures en Croco étaient le don d’un fidèle de retour d’un voyage en Europe et le pasteur devrait les mettre en valeur pour la première fois. Une inauguration vestimentaire que le voleur a mis en échec.
Le pasteur Anatole a demandé à Dieu de confondre ce voleur afin qu’il vienne de lui-même remettre son butin et se faire pardonner.
Un système modeste balaiera le Québec, dimanche. Même s’il est en apparence de moindre envergure, il pourrait causer des problèmes.
Un système dépressionnaire en provenance de l’Ouest canadien a fait son entrée sur le nord du Québec méridional (soit au sud du 49e parallèle). Son vigoureux front froid aura cependant des impacts jusque dans le sud de la province.
Ce front balaiera la province au cours de la journée de dimanche, traînant des flocons dans son sillage. Une neige soutenue est possible pour une courte période, soit au passage du front froid.
Au chapitre des précipitations, les quantités seront minimes pour la majorité des secteurs : entre trois et cinq centimètres sont prévus. Jusqu’à 10 centimètres sont néanmoins possibles localement, notamment dans les Hautes-Laurentides.
De fortes rafales sont également possibles, avec des pointes pouvant atteindre les 60 km/h.
Ce front a également une particularité intéressante : il est accompagné d’une certaine instabilité. Quelques coups de tonnerre pourraient donc être entendus au cours de la journée de dimanche.
Prudence sur les routes
Tous les ingrédients sont donc réunis pour la formation de bourrasques de neige. Les conditions routières pourraient se détériorer rapidement, et la visibilité pourrait être réduite, voire nulle, pendant un court laps de temps.
Bon à savoir : une bourrasque de neige survient lorsqu’une bande de neige forte est combinée à des vents de plus de 45 km/h, rendant la visibilité nulle pendant une courte période.
La fin d’avant-midi et le début d’après-midi, dimanche, seront particulièrement à surveiller pour de nombreuses régions.
De plus, il ne faut pas oublier que le dernier épisode de pluie verglaçante a laissé des surfaces glissantes un peu partout à travers les secteurs près du fleuve. Les automobilistes qui emprunteront les autoroutes 10, 15, 20, 30 et 40 devront donc être particulièrement vigilants.
L’ex-président algérien Abdelaziz Bouteflika a été inhumé dimanche au carré des martyrs du cimetière d’El Alia à Alger, réservé aux héros de la guerre d’indépendance, mais il a eu droit à bien moins d’honneurs que ses prédécesseurs.
Le cortège funèbre est arrivé au cimetière d’El Alia, après avoir parcouru une trentaine de km depuis Zeralda. La dépouille a été portée sur un affût de canon tiré par un véhicule blindé couvert de fleurs.
Aux côtés de membres de la famille, le président Abdelmadjid Tebboune, qui fut Premier ministre sous Bouteflika, les ministres et des diplomates étrangers étaient présents au cimetière, selon les médias.
Signe d’un certain embarras officiel, l’exposition de la dépouille initialement prévue pour un hommage des dignitaires et du grand public au Palais du peuple d’Alger, a été annulée, selon des sources concordantes.
Les corps des prédécesseurs de Bouteflika et même son ex-chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah ont tous été exposés dans ce bâtiment d’apparat avant d’être enterrés.
Le ministre des Moudjahidine (les anciens combattants), Laïd Rebigua, a prononcé l’oraison funèbre de celui qui fut aussi, dans les années 1970, un flamboyant chef de la diplomatie algérienne pendant 14 ans.
La dépouille d’Abdelaziz Bouteflika a ensuite été mise en terre au carré des Martyrs où reposent ses prédécesseurs, aux côtés des figures de la guerre d’indépendance (1954-1962).
« La mort d’un simple quidam » ?
Affaibli et aphasique depuis son AVC en 2013, l’ex-président avait été contraint à la démission le 2 avril 2019, sous la pression des manifestations massives du mouvement pro-démocratie Hirak contre son intention de briguer un 5e mandat consécutif.
Au terme de plusieurs heures de flottement sans réaction officielle, M. Tebboune, au pouvoir depuis fin 2019, avait fini par décréter samedi la mise en berne du drapeau national et un deuil de trois jours pour honorer « le moudjahid Abdelaziz Bouteflika ».
Ces atermoiements illustrent, selon les observateurs, des craintes de manifestations hostiles contre un ex-président à l’image ternie.
« Franchement, j’ai mieux à faire que de m’intéresser aux obsèques d’un président qui a laissé le pays dans un état lamentable. Je préfère m’occuper de mes oiseaux », a déclaré dimanche Farès, 62 ans, un retraité des finances qui habite à Alger.
Pour Islam, 45 ans, postier dans la capitale, « cet enterrement est un non-événement. Autour de moi, personne n’en parle en tout cas. C’est comme s’il s’agissait de la mort d’un simple quidam, qui n’a jamais été président. Les Algériens donnent l’impression d’avoir oublié Bouteflika, d’avoir tourné la page de son règne ».
« Enormément de haine »
« Il y a énormément de haine autour de la figure de Bouteflika sur les réseaux sociaux », a indiqué Isabelle Werenfels, chercheuse suisse spécialiste du Maghreb à l’institut allemand SWP.
Cela a rendu les décideurs actuels « nerveux » sur l’organisation des obsèques, selon elle, car « parmi les élites politiques, économiques et administratives, il y a un nombre assez important de personnes qui sont des produits ou des profiteurs de l’ère Bouteflika ».
Tous les anciens chefs d’État ont eu droit à des funérailles solennelles et huit jours de deuil national, à l’instar du premier président de l’Algérie indépendante Ahmed Ben Bella (1963-1965) et du troisième chef d’Etat Chadli Bendjedid (1979-1992), tous deux décédés en 2012.
Sans parler des funérailles grandioses du mentor de Bouteflika, l’ex-président Houari Boumedienne (1965-1978), marquées en 1978 par le tir de cent coups de canon et qui rassemblèrent des centaines de milliers de personnes.
Après l’annonce du décès du président déchu vendredi par une simple brève lue à la télévision nationale, les médias officiels lui ont réservé un traitement minimaliste.
Le puissant chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, un ancien ministre sous Bouteflika, a lui attendu jusqu’à dimanche pour transmettre ses condoléances à la famille.
À l’étranger, le roi du Maroc Mohammed VI a adressé un message de « compassion » à M. Tebboune, en dépit de fortes tensions entre les deux pays.
CITE DU VATICAN (Reuters) – Le pape François se remet normalement de son opération du côlon, est capable de marcher et de travailler mais son état ne lui permet pas pour le moment de retourner au Vatican pour la prière du dimanche midi, a déclaré vendredi le Saint-Siège.
La prière du dimanche se fera de sa chambre de l’hôpital Gemelli à Rome, a précisé le Vatican. Cette annonce donne à penser que la durée de convalescence du pape, hospitalisé dimanche, dépassera les sept jours initialement prévus.
Le pape François, âgé de 84 ans, a été opéré pour une « sténose diverticulaire du côlon », une pathologie qui touche davantage les personnes âgées et se manifeste par des douleurs à l’abdomen et des troubles du transit.
Depuis son élection en 2013, c’est la première fois que le pape ne prononcera pas cette prière du dimanche de la place Saint-Pierre. Les seules fois où un tel événement a lieu, François était en déplacement à l’étranger.
Avec Reuters par (Reportage Philip Pullella; version française Claude Chendjou, édité par Sophie Louet)
Le port du masque à l’extérieur ne sera plus obligatoire dès jeudi 17 juin en France, sauf certaines exceptions, et le couvre-feu sera levé dès dimanche, a annoncé Jean Castex mecredi, au vu de la baisse des contaminations.
Le masque en extérieur ne restera de rigueur que dans des situations de promiscuité (file d’attente, transports, lieux bondés, tribune de stade), a-t-il précisé.
La levée du couvre-feu n’empêchera pas le maintien des protocoles sanitaires pour les lieux publics et la fête de la musique du 21 juin et autres événements jusqu’au 30 juin (organisation de concerts seulement en extérieur avec gestes barrière et pas sur la voie publique, règles de jauges pour les bars restaurants et lieux de spectacles…), a-t-il ajouté à l’issue du Conseil de ministres et du conseil de défense présidé par Emmanuel Macron.
Les supporteurs du match France-Portugal de l’Euro de football pourront également profiter de cette levée le 23 juin.
L’objectif a été fixé à 35 millions de Français complètement vaccinés fin août, a-t-il poursuivi, en se félicitant que les contaminations aient baissé à 3.200 cas quotidiens en moyenne sur 7 jours.
La France était l’un des trois derniers pays en Europe à imposer un couvre-feu. Il était entré en vigueur le 30 octobre à 21H00 dans toute la métropole, puis avait été avancé à 20H00 pour la période des fêtes de fin d’année avec dérogation pour Noël. Il avait ensuite été avancé à 18H00 pour toute la métropole le 16 janvier, puis repoussé à 19H00 le 20 mars, puis à 21H00 le 19 mai et enfin à 23H00 le 9 juin.
Cet allègement est le plus important depuis le 2e confinement.